Les médicaments allopathiques de la médecine conventionnelle

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Une des meilleures source d' infos sur le sujet des ESCROCS

dans le domaine de la santé est sur:

http://www.bienetravie.com/saga-pasteur-1/#more-720

D'autres encore:

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Ces médicaments qui sont de véritables poisons

et BOMBES à RETARDEMENT !

Les corticoïdes

 

Aujourd’hui je vais vous parler des corticoïdes

Tout le monde en a entendu parler mais savez-vous ce qu’ils peuvent en réalité provoquer dans votre corps lorsque vous les avalez ?

N’oubliez pas que votre bien-être est fortement mis à mal lorsque vous utilisez ce genre de produits, en voici la liste des corticoïdes anti-inflammatoire les plus vendus :

  • cortancyl *    ]Prednisone[
  • solupred *     ]Prednisolone[
  • celestene*     ]Bétaméthasone[
  • medrol*         ]Méthylprednisolone[
  • hydrocortisone* ]Hydrocortisone[
  • cortisone*     ]Cortisone[
  • dectancyl*     ]Dexaméthasone[
  • triamcinolone* ]Triamcinolone[
  • Et le dernier né, CORTIVASOL – 5 fois plus puissant que le médrol par exemple !

 

Patient Breakfast – ou de la cortisone au petit déjeuné!

Les corticoïdes sont à bas de cortisone qui est du cortisol de synthèse, le cortisol naturel est une hormone produite par les glandes surrénales (situées sur les reins) commandée par l’hypophyse  et l’hypothalamus.

Si vous êtes atteint d’une tumeur cérébrale, on vous en donnera, à juste titre. Mais il s’avère que la prescription de ces corticoïdes se fait de manière systématique pour toutes sortes d’inflammation!

Et preuve en est, un bébé de moins de deux ans s’est vu prescrire par un spécialiste dermato,  dans un hôpital de Rennes, des médicaments à base de cortisone à prendre quotidiennement (sans date limite dans le temps) pour un simple eczéma allergique !

Résultat escomptés?

Peut-être arrêt de l’allergie, momentanément, car celle-ci reprendra à l’arrêt du traitement, immanquablement! Car le premier effet obligatoire sur un enfantest l’ ARRÊT DE CROISSANCE!

 

Les effets secondaires courant et pratiquement obligatoires des corticoïdes sous la forme la moins dangereuse, en comprimés :

  • prise de poids, atrophie de la peau, obésité, acné

 

Or on connait les dégâts de la cortisone prise au quotidien :

  1. -      augmente de la production des sucres par le foie donc hyperglycémie et diabète
  2. -      destruction protidique, donc destruction des muscles, de la peau, des os, faiblesse des membres inférieurs
  3. -      inhibition de la lipogenèse, donc cholestérol
  4. -      rétention de sel et perte de potassium et de calcium dans les urines
  5. -      diminution de la sécrétion des hormones de croissance, des œstrogènes, progestérone, testostérone, inhibition de la croissance par action sur le cartilage, donc arrêt de la croissance surtout catastrophique chez l’enfant
  6. -      favorise les thromboses
  7. -      cataracte
  8. -      l’ostéoporose
  9. -      fragilisation de la peau et des veines, l’apparition de bleus
  10. -      modification de la répartition des graisses dans le corps pour se concentrer sur la face, gonflement du visage et sur le tronc
  11. -      stimulation de l’appétit et une prise de poids importante
  12. -      euphorisant à sa source, inventé par les américains pour empêcher les soldats de dormir. Il stimule le système nerveux central donc insomnie, hyperactivité et donc au final hyperfatigue
  13. -      Accroissement de l’acidité gastrique donc ulcères

Conclusion :

Avant d’accepter un traitement aux corticoïdes, renseignez-vous s’il n’y a pas d’autres solutions beaucoup moins agressives qui ne vont pas vous entrainer dans une spirale de dépendance pharmaceutique, recherchée par la « médecine market » actuelle.

Vu sur : http://www.bienetravie.com/breakfast-corticoides/

Les anti dépresseurs

Les benzodiazépines rétrécissent le cerveau !

 

Benzodiazépines : des médicaments qui rétrécissent le cerveau... depuis 30 ans !

En 1982, le gouvernement britannique apprenait que les benzodiazépines (dérivés du valium : Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan...) pouvaient provoquer des troubles neurologiques graves. 30 ans plus tard... les médecins continuent de distribuer les pilules comme des Smarties !

Scandale : Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan provoquent un rétrécissement du cerveau

The Independent on Sundayvient de lâcher une bombe. Le canard britannique s'est procuré des documents confidentiels plutôt gênants. En 1981, suite aux trouvailles du professeur (aujourd'hui émérite) Malcolm Lader, chercheur de renom dans le domaine de la psychiatrie, le Medical Research Council (MRC, institut gouvernemental) avait organisé un brainstorming scientifique pour évoquer le rétrécissement du cerveau survenu chez certains patients gobant des benzodiazépines. L'année suivante, le MRC décidait d'approfondir le sujet pour évaluer l'impact à long terme de ces molécules. Puis, plus rien. Le ministère de la Santé n'a pas donné suite.

La bourse ou l'avis

Aucun test "officiel" de toxicité neurologique à long terme n'a jamais été réalisé sur ces médicaments (Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan...) vendus à des dizaines de millions d'exemplaires, censés lutter contre l'anxiété, le stress, l'insomnie et les spasmes musculaires. Le Pr Lader a déclaré : "Je recevais de l'argent pour d'autres recherches et ne voulais pas être étiqueté comme la personne qui a tué les benzodiazépines... J'aurais dû être plus proactif... J'ai supposé que la prescription allait se tarir, mais les médecins ont continué de les balancer comme des Smarties".

La camelotte qui ramolit le cerveau

En 1995, Heather Ashton, professeur émérite de psychopharmacologie clinique, a elle aussi fait une proposition à la MRC pour étudier le lien entre la consommation de "benzos" et les dommages permanents induits sur le cerveau. Sa proposition a été rejetée. La MRC se défend en prétendant qu'une fois "acceptées les conclusions du rapport de Malcolm Lader", elle était prête à financer "toute demande de recherche répondant aux normes scientifiques requises"... ce qui n'est, prétend-elle, toujours pas arrivé à ce jour. La faute à pas-de-chance...

Benzodiazepines : scandale médicaments dangereux

"Enorme scandale"

Députés et avocats se liguent aujourd'hui pour dénoncer un "énorme scandale"  (dixit Jim Dobbin, président d'un groupe parlementaire multipartite sur les addictions médicamenteuses) qui pourrait ouvrir la voie à des recours collectifs pouvant impliquer jusqu'à 1,5 million de patients devenus accros à leurs dépends. Un grand nombre d'entre eux présenterait des symptômes neurologiques compatibles avec les constations de Malcolm Lader. Dans les années 1960, annoncés comme totalement inoffensifs, les benzos étaient présentés comme la première merveille du monde pharmaceutique. En une décennie, ils sont devenus les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Sauf que ces médocs révolutionnaires induisent une addiction particulièrement puissante, et cela en quelques jours.

Descente aux enfers

Valerie Bell a fait une attaque de panique, en 1984. Son médecin lui a immédiatement prescrit du lorazépam. Aujourd'hui, elle a 67 ans. Elle est sevrée depuis 2007 mais souffre toujours de douleurs neurologiques à la tête, au cou et aux pieds.

"Nous avions deux magasins de fleurs dans l'Essex, avec mon mari. Nous avons eu une belle vie [...] j'ai eu une attaque de panique lors d'une soirée. Mon médecin m'a dit qu'il y avait un nouveau médicament merveilleux en provenance des Etats-Unis, alors je l'ai pris sans poser de questions. Immédiatement après, je me suis senti mal. Le médecin a dit que c'était ma maladie et a augmenté les doses, tout en ajoutant un antidépresseur. Cela a duré pendant des années, une nouvelle pilule suivait de nouvelles pilules. Certains jours, je ne pouvais même pas sortir du lit.

J'ai vu 32 médecins, mais personne n'a dit que mes symptômes pouvaient provenir des pilules. Pendant des années, j'ai cru ces hommes en blouse blanche et costumes Armani. Quand j'ai décidé que ça suffisait, il m'a fallu 15 ans pour m'en sortir [...] j'étais totalement incohérente, j'entendais des voix, j'étais incapable de faire du thé. Aucun être humain ne devrait souffrir comme ça. Nous avons perdu notre maison et nos entreprises. Les médicaments ont détruit nos vies".

(Article publié sur le site "Les mots ont un sens")

 


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Poisons légaux et remboursés !

01 SEP 2013 

Introduction aux principes de la médecine moderne


Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !

"la médecine est devenue folle" (ARTE télé)
01 SEP 2013 

Les médicaments : "COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER"

viéos, infos, dangers, escroqueries…
 
L’Afssaps annonce que “plusieurs cas graves d’atteintes hépatiques ont été rapportés chez des patients traités par orlistat ayant conduit dans certains cas à une transplantation hépatique voir au décès du patient”.
 
Une nouvelle recherche a permis de découvrir que des médicaments usuels utilisés suite à une attaque cardiaque pourraient provoquer la mort chez certains patients
 
Tous ces médicaments ont un potentiel d’abus et de dépendance 
 
Aricept 23 : Découvrez pourquoi Public Citizen et un expert dans la maladie d’Alzheimer de Johns Hopkins ont demandé à la FDA à interdire la drogue l’a récemment approuvé la maladie d’Alzheimer, l’Aricept 23, sur le marché.
Rivastigmine transdermique (Exelon) Patch : Un autre problème a surgi avec ce médicament que nous avons énumérés en tant NE PAS utiliser pour un long moment. . Il ya un nombre croissant de personnes qui ont involontairement font une overdose à l’Exelon Patch, conduisant à des symptômes de toxicité décrite dans l’article. Nous avons également discuter des moyens d’éviter ce surdosage dangereux.
galantamine (Reminyl) : Il n’existe aucune preuve que ce médicament entraîne une amélioration fonctionnelle importante ou empêche la progression de la maladie, et de nouvelles preuves indiquent qu’il pourrait accroître le risque de décès.
La FDA, basée sur les preuves actuelles, ne devrait pas approuver florbetapir pour l’évaluation des patients suspects d’avoir la maladie d’Alzheimer. 

médicaments Alzheimer : inutiles dangereux et mortels
ils doivent être simplement retirés du marché
Les médicaments prescrits en cas de maladie d’Alzheimer accélèrent le déclin mental et la mort
La conclusion d’une étude de longue durée de The Lancet Neurology, montre qu’il y a une forte hausse des risques d’effets secondaires graves et de mort chez les patients recevant ces médicaments. En plus, ils accélèrent la détérioration mentale 

Les médicaments Anticholinergiques pourraient augmenter le risque du handicap cognitif, mort dans des personnes plus âgées
Un effet secondaire de beaucoup de médicaments utilisés généralement semble augmenter les risques du handicap cognitif et de la mort dans des personnes plus âgées, selon la recherche neuve aboutie par l'Université d'East Anglia (UEA).

Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.
 
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Alimemazine, Alprazolam , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone, Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine....
La majorité des médicaments contre le rhume contiennent de la phénylpropanolamine, une substance décongestionnante, certes efficace pour empêcher le nez de couler, mais accusée d’être responsable d’effets secondaires rares mais graves,
 
Le spray pour l’asthme Isoproterenol, commercialisé sous le nom de Isuprel, a tué durant les années '60 environ 3500 patients
Cependant, il continue d'être commercialisé dans notre pays et il est recommandé pour différentes affections du coeur. 

Asthme : de nombreux médicaments contre l'asthme ont effectivement tuer plus de patients que l'asthme lui-même
Il peut être difficile pour vous de le croire, mais de nombreux médicaments contre l'asthme populaires comme Symbicort, Advair Diskus, Serevent Diskus, Dulera et Foradileffectivement en garde les consommateurs sur leurs étiquettes qu'ils causer une augmentation de "risque de décès par des problèmes d'asthme." 
 
La psychose liée à la démence chez les personnes âgées augmente le risque de décès, comparativement au placebo, chez les patients traités avec des médicaments antipsychotiques y compris  Abilify peut également augmenter les pensées suicidaires en particulier dans les premiers mois de traitement
 
parkinson, syndrome des jambes sans repos (médicaments pour) alerte afssaps
Troubles du comportement observés avec des médicaments dopaminergiques indiqués essentiellement dans la maladie de Parkinson ou le syndrome des jambes sans repos. TRIVASTAL, STALEVO, SINEMET, SIFROL, ROPINIROLE, QUALIMED
 
La vente est interrompue immédiatement dans toutes les pharmacies des 18 pays de l’Union européenne qui le distribuent”
 
Les spécialistes ont “estimé que le médicament n’était pas sûr”, selon une porte-parole de la FDA.
 
rapport qui montre que le risque de cancer de la vessie augmente d’une manière générale de 22 %, et même de 75 % pour les traitements à dose élevée de pioglitazone, la molécule mise en cause.
les dangers des antidepresseurs. Les antidépresseurs tuent ! (zoloft, effexor, déroxat, ixel, norset, atymil…)
Mais dangereux !
attention a la très forte dépendance physique !
AVK, antivitamine k (anticoagulant) : Previscan, Pindione, coumadine, Sintrom, Warfarine, Apegmone, Minisintrom…
les traitements par AVK exposent à des risques hémorragiques, parfois sévères, mais souvent évitables. Ainsi, environ 17 000 hospitalisations sont dues, chaque année, aux complications hémorragiques de ce type de traitement.
Les anti-vitamine K ont été découverts par hasard, au Canada, dans les années 1920 après stockage de luzerne (trèfle) après une récolte non fânnée correctement. Les moisissuress’étant développé sur cette luzerne avaient tué tous le bétail ayant consommé « foin », tous morts d’hémorragies intestinales massives a permis de suspecter l’effet [1]. Sa première application fut dans la compositions de la “mort-aux-rats”, provoquant des hémorragies intestinales globales conduisent à la mort de l’animal.
l’Agence Européenne du médicament recommande de suspendre la commercialisation d’Agréal dans toute l’Europe. Une décision appliquée en France depuis l’automne 2007
Les patients prenant Avandia ont plus de 66 pour cent de crises cardiaques, 39 pour cent de plus les accidents vasculaires cérébraux et de 20 pour cent de plus de décès liés à des problèmes cardiovasculaires
La rosiglitazone a fait l’objet d’une controverse considérable depuis 2007, quand une analyse de 42 études publiées a conclu que le médicament peut accroître considérablement le risque de crises cardiaques et d’autres événements cardiovasculaires
diabete ,AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé
Avandia augmenterait de 43 % le risque d’être victime d’un infarctus du myocarde
aspartame :
Après le scandale du Médiator, le dossier de l’aspartame révèle que les experts chargés des études sanitaires sont liés à des entreprises du secteur agro-industriel. La récente réforme du médicament s’appliquera-t-elle au secteur alimentaire ?
»ne pas utiliser le salmeterol (Serevent), la combinaison de salmeterol avec le corticostéroïde fluticasone (Advair, Seretide en France) ou le formoterol (Foradil, Symbicort en France) pour le traitement de l’asthme. »
Les AINS sont responsables, chaque année en France, de plus de décès que le SIDA ! Pr René-Marc FLIPO
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer
Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair…)
Avastin, Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, tamiflu.... 
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.
Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.
AZT
“je dis meme que l’AZT, c’est le sida sur ordonnance”
Dorway. Le site de reférence
Les dangers des benzodiazepines : havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®,  myolastan, panos et assimilés  : imovane, stilnox, stresam, lyrica,  neurontin, atarax…
les dangers de la toxicomanie aux beta-bloquants
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d’AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2 millions de Britanniques sont prises au large de la drogue de la pression artérielle
Benfluorex (Mediator) : encore l’afssaps !
Le benfluorex, un amphétaminique dérivé de la fenfluramine, est commercialisé en France depuis plus de 30 ans malgré une balance bénéfices-risques nettement défavorable
Belviq 
Le benzène est un poison. En forte dose, il peut arrêter le coeur, arrêter les poumons, ou endommager définitivement le cerveau. S'il a des effets bénéfiques, ils doivent certainement être mis en balance avec ses effets nuisibles potentiels. Quoi qu'il en soit, la FDA vient d'approuver le Belviq, un médicament pour perdre du poids, contenant du benzène !
26/11/2009. Suspension d’autorisation de mise sur le marché des médicaments contenant du benfluorex
les risques graves et les effets secondaires de cet antibiotique, commercialisé sous plusieurs noms, notamment Bactrim, Bactrim DS, Septra , Septra DS, Septrin, Sulfatrim, SMZ / TMP, Septran et co-trimoxazole
première grande enquête sur les risques d’utilisation d’antibiotiques par les femmes enceintes
Champix peut provoquer des suicides 
champix
Arrêter de fumer tue ?
Champix tue- Pfizer ramasse des milliards
effets indésirables neurologiques et cardiovasculaires du Champix
Clioquinol (Iodochlorhydroxyquin)
Il a fallu plus de 1 000 morts et environ 30 000 handicapés, aveugles ou paralysés, pour attirer l’attention sur la nocivité du clioquinol, responsable d’une grave maladie du système nerveux dénommée SMON (neuropathie myélo-optique subaiguë), qui causa les mêmes dégâts en France, au Danemark, en Suède, aux Pays-Bas, en Allemagne fédérale, au Royaume-Uni, en Italie et au Japon. 
cancer : les médicaments contre le cancer tuent plus rapidement
Les chercheurs ont examiné les médicaments tels que imatanib (un médicament contre la leucémie qui va par le nom de la marque Glivec) et le sunitinib (un médicament pour les tumeurs gastro-intestinales - Sutent nom de marque), estimant que ces médicaments peuvent réduire initialement taille de la tumeur, mais par la suite causer des tumeurs au «metasize 'agressive .  Cela signifie que les tumeurs de revenir beaucoup plus fort et se développent beaucoup plus grande que leur taille originale. 
les dangers de la toxicomanie au cymbalta
Menée sur 8.000 personnes ne présentant aucun problème cardiaque, l’étude démontre que la consommation de ce médicament serait associée à un risque accru de 72% d’hospitalisation pour accident cardio-vasculaire grave comme une attaque ou une arythmie cardiaque.
A noter qu’au Etats Unies, 1.200 plaintes ont déjà été déposées contre le laboratoire Pfizer, à cause des effets secondaires provoqués par le Champix, notamment ses effets suicidaires avec parfois passage à l’acte.
Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anti-cancéreux.”- Professeur G. Mathé, “L’Express” – 4/10/85
FDA ALERT [1/31/2008] : environ deux fois le risque de comportement suicidaire ou idées . FDA ALERT [12/12/2007] : dangereux voire mortels réactions cutanées (syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique),
Finalement, on “termine” le supplicié avec du chlorure de potassium qui provoque un arrêt cardiaque
par fibrillation ventriculaire…
l ’injection de chlorure de potassium, est un acte d ’euthanasie active. Elle n ’est jamais justifiable et est juridiquement qualifiable d ’homicide volontaire (Art. 221- 1 du Code pénal). » 
dépakote, dépakine (valproate de sodium)
Le scandale du syndrome de l'anti-convulsivant 
di antalvic meurtrier
Une enquête avait démontré que plus de 300 décès par an étaient liés à un surdosage, volontaire ou non, de ces médicaments
au vu des données du réseau Dawn (Drug abuse warning network), qui a recensé 2 110 décès accidentels liés au dextropropoxyphène entre 1981 et 1999 (5).
déroxat / paxil / séroxat
les dangers
En janvier 2009, un comité de spécialistes réunis par la Food and Drug Administration (FDA) s’est prononcé pour le retrait du marché étatsunien du dextropropoxyphène, un antalgique opiacé associé en France au paracétamol dans Di-Antalvic° ou autre
Le donormyl, le théralène, le phénérgan sont des phénothiazines (neuroleptique). Il engendre donc une forte dépendance chez la majorité des victimes et les mêmes dangers que les autres neuroléptiques
L’une de ces dangereuses conséquences est l’augmentation du risque de cancer associé à long terme à l’hormonothérapie.
Enantone (traitment du cancer de la prostate et endométriose) 
la dernière méta-étude de Harvard 2006 sur plus de 70.000 cas; étude qui compare par ailleurs castration chirurgicale et castration chimique pour aboutir à la conclusion que les effets ne sont pas du tout les mêmes, et qu’il y a un très fort risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité qui n’est pas constaté dans le groupe ayant subi une orchidectomie.
Enantone, Décapeptyl pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse)
Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.
Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie :Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).
Un crime contre l’humanité 
le fluorure est un poison. (le fluorure comme plus toxique que le plomb et légèrement moins toxique que l’arsenic.)
Il y a aussi eu encore 1.824 réactions indésirables au médicament, ce qui porte le nombre total des problèmes connus à 3.461, selon le groupe d’intérêt public qui enquête et poursuit la corruption gouvernementale. 
gardasil (vaccin)
25 132 victimes, dont 110 décès et 826 infirmes. 
Herceptin : le médicament contre le cancer Herceptin causes des lésions cardiaques chez 28 pour cent des patients
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
héroïne de Bayer
« La campagne en faveur de l’héroïne montre que l’habitude qu’ont les multinationales pharmaceutiques de mettre en vente sciemment et en dépit de toutes les mises en garde des produits dangereux dans le seul but de faire du profit ne date pas d’hier. »
interféron: le tueur silencieux
dommages au cerveaux et vie détruite
interféron
Les évenements indésirables graves du traitement interferon
interféron (betaferon, multiferon, avonex, roferon, pegasis...)
recours collectif
Januvia et Byetta  (sitagliptine et l’exenatide)
augmentent significativement le risque de cancer du pancréas, de pancréatite et de cancer de la thyroïde
Javlor (vinflunine) : 
a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie
Vinflunine (anticancéreux) : un cytotoxique à éviter
killer pill
psychotropes : meurtres, suicides…dus aux médicaments
Que vaut la santé de quelques uns, au regard des profits de l’industrie pharmaceutique ? Rien, pour le Conseil d’Etat.
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1 pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de 16 ans).
tératogène, risque de fractures, méningites, risque de suicide…
Ce médicament antipaludique qui rend fou
La substance connue aussi sous le nom de largactile ou torasine est un neuroleptique d’ancienne génération, utilisé encore dans certains hôpitaux psychiatriques. Il a des effets désastreux sur l’organisme
fraude, suicide, dangers, prescription hors AMM, escroquerie
lovenox (héparine,anticoagulant) : la vache folle sur ordonnances ?
80 morts
Levothyrox dans la liste des 77 médicaments sous surveillance
Enquête de PV en cours, Signal d'inefficacité des, génériques identifié en juin 2010

LA SUITE DANS LE MESSAGE SUIVANT
01 SEP 2013 

danger médicaments : suite

01 SEP 2013 

les listes de médicaments dangereux, défectueux voir mortels

une liste de médicaments défectueux
la liste du cabinet Parker Wicheman et Alonso
revue Prescrire janvier 2013
une vidéo du professeur philippe Even
liste des 77 médicaments dangereux de l’afssaps
Actos (diabète) , … Arcoxia, Arixtra, Bleu patente V, Byetta (diabète), Celance, Cervarix, Champix (sevrage tabac), Cimzia, Colokite, Cymbalta (dépression), Diantalvic, Efient, Elaone, Equanil (sevrage alcool), Exjade, Ferrisat, Fonzylane, Galvus, Eucreas, Gardasil, Gliven, Hexaquine, Intrensa, Isentress, Ianumet, Ianuvia, Ketum, Levothyrox, Lipiocis, Lyrica, Mepronizine (insomnie), Methadone, Ritaline, Mynocine, Multaq, Nexen, Noctran (sommeil), Ongliza, Orienca, Parlodel, Pedea, Pholcodine (toux), pradaxa,praxinor (hypotension), prevenar, primalan, procoralan,protelos,protopic, revlimid, Rivotril, Roacterma, Rohypnol (sommeil), Soriatane, Stablon (dépression), Stelara, stilnox, Subutex, Thalidomide Celgene, Toctino, Tramadol, Trivastal, Tysabri (sclérose), Valdoxan, Vastarel, Vfend, Victoza, Xarelto
Médicaments cardio-vasculaires : 4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor (Derono), Ikorel (Sanofi), Vastarel et Trivastal (Servier), 1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan (Servier),  1 antiarythmique : Multas (Sanofi), 3 anticoagulants ou antiagrégants : Ticlid (Sanofi), Pradaxa (Boehringer), Xigris (Lilly).
Pilules contraceptives : Cycleane, Mercilon, Varnoline (Schering Prough), Melodia, Yaz, Diane 35, Jasmine-Jasminelle (Bayer), Carlin, Triafemi, Holgyème (Effik), Minesse (Wyeth), Felixita (Theramex), Lumalia (Pierre Fabre), Evépar (Mylan), Minerva (Biogaran).
Anti-inflammatoires : Indocide (MSD), Nexen (Therabel), Ketum cutané (Ménarini), Celebrex (Pfizer), Arcoxia (MSD).
Antidiabétiques : Byetta (Lilly), Victoza (NovoNordisk), 8 Gliptines : Galvus et Eucrers (Novartis), Januvia et Janumet (MSD), Xanuvia et Velmétia (Pierre Fabre), Trajenta et Onglyzia (Boehringer), 2 glitazines : Actos et Compecta (Takeda).
Antiparkinsonniens : Celance (Lilly), Parlodel (Pfizer, également prescrit pour inhiber la lactation lors de l’allaitement), Requip (GSK) et Tasmar (Madiapharma).
Anti-ostéoporose : Protelos ( Servier).
Médicaments psychiatriques : Ritaline (Novartis), Concerta (Janssen), Tofranil (CSP), Anafranil (Sigma-Tau), Surmontil (Sanofi) et Stablon ( Servier).
Anticrampes musculaires : Hexaquine et Quinine-vitamine C (Goménol) et Okimus (Biacodex).
Stimulant respiratoire : Vectarion (Servier).
Antitabac : Champix (Pfizer) et Zyban (GSK).
Anti-angiogènes en cancérologie : Avastin (Roche).
et leurs indications médicales
10 médicaments à retirer du marché
Actos, Adartrel, Di-Antalvic, Hexaquine,Intrinsa, Ketek, Nexen, Vastarel, Zyprexa, Zyban
à retirer du marché sans attendre : Actos (diabète), Arcoxia (arthrose, rhumatologie), Equanil (sevrage alcoolique), Hexaquine (crampes), Nexen (douleur), Valdoxan (dépression), Vastarel (angine de poitrine, vertige, acouphènes) et Zyban (sevrage tabagique)"
Les autres médicaments à éviter sont le Procoralan (angine de poitrine instable) ; l’Intrinsa (testostérone contre la baisse du désir féminin) ; le Ferrisat (carence en fer) ; le buflomédil (Fonzylane et génériques retirés du marché en février, rappelle la revue) ; le Cymbalta (dépression) ; le Protopic (dermite atopique) ; Victoza, Eucréas et Galvus (diabète) ; Multaq (fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque) ; Praxinor (hypotension) ; Mépronizine, Rohypnol et Noctran (insomnie) ; Celance (Parkinson) ; Alli (obésité) ; Protelos (ostéoporose postménopause) ; Arixtra et Xarelto (prévention des thrombo-embolies veineuses) ; Zypadhera(zyprexa) (schizophrénie, récidive de trouble bipolaire) ; Tysabri (sclérose en plaques) ; Champix (sevrage tabagique) ; Ketum gel (tendinites superficielles).
La liste noires des médicaments : les effets nocifs majeurs par classe de médicaments
ces médicaments que tant de personnes bien intentionnées vous font avaler depuis des années
médicaments retirés du marché
revue Prescrire : Les arrêts de commercialisation depuis 1981
liste de plus de 70 médicaments : Ces molécules qui mettent en danger la vie des seniors (les médicaments qui ont un effet dit «anticholinergique» favorisent la mortalité des personnes âgées.)
Le Figaro cite des tranquillisants tels que Largactil, Terfluzine, des antitussifs tels que Broncalene, Broncorinol, des antidépresseurs tels que Elavil, Laroxyl, Tofranil, des antihypertenseurs comme Atenolol, des diurétiques comme Aldalix, Furosemide, des antiashmatiques comme Asmabec, Beclojet, des antiépileptiques comme Tegretol, des molécules prescrites dans le traitement du glaucome telles qu’Azarga, Combigan, Cosopt ou pour les incontinences urinaires comme Ditropan, Oxybutynine
Des médecins listent 13 médicaments dangereux à retirer (Revue Prescrire, Mutualité française)
L’antidiabétique Actos (pioglitazone), Art 50 (diacéréine) et Chondrosulf (condroïtine), contre l’arthrose de la hanche et du genou,  antidépresseur Cymbalta (duloxétine),  antidouleur Ixprim (paracétamol et tramadol), antidiabétiques Januvia et Xelevia (sitagliptine), anti-inflammatoire Nexen (nimésulide), antidépresseur Stablon (tianeptine), Structum, Vastarel (trimétazidine), Zyprexa ou Zypadhera (olanzapine).
une liste des alertes : Accupril  Accutane (roaccutane)  Aceon Actimmune  Actonel Actoplus Met Actos  Adderall  L’alemtuzumab ( alemtuzumab ; Campath )  L’alendronate ( Fosamax , alendronate )  Aleve Almotriptan  Altace  Amerge  L’amiodarone ( amiodarone ; Cordarone ; Pacerone ) Amnesteem  Sels d’amphétamine ( sels d’amphétamine ; Adderall ) Anaprox Aranesp…
01 SEP 2013 

iatrogenie ( maladies et morts provoqués par le medecin)

Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans

maladies et morts provoqués par le médecin
 
Dans les faits, le système pharmacologique et médical moderne s'octroie la première place au palmarès des causes de décès aux Etat Unis.
 
la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies.
 
Quand la médecine rend malade
 
la médecine est le premier vrai danger pour la santé. 

la médecine fondée sur des produits pharmaceutiques est une des principales causes de décès et de blessures dans les pays développés. 
Ces articles vous expliquent comment éviter d'être une victime
 
constat : c'est une catastrophe !
 
La FDA est simplement une branche criminele d'un gouvernement fédéral qui est devenu une menace pour les personnes mêmes qu'il est censé protéger et servir.
 
"seul un pays authentiquemement moderne était capable de traiter les vieillards comme de purs déchets"
 
Des victimes par dizaines de milliers du fait de médicaments dangereux mis sur le marché par des laboratoires sans scrupules pour des profits maxima. Décidemment la « pilule » ne passe plus
 
actionminddrugs
 
Il ya plus de 2 180000 décès chaque année aux États-Unis exclusivement due à des réactions indésirables aux médicaments
 
Au cours des 10 dernières années, il a été estimé que la médecine a blessé 191 millions d'Américains et tués plus de 8 millions - plus de la totalité des pertes américaines à l'ensemble de nos guerres mondiales combinées
 
"La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur"
 
Et cependant, la FDA continue à dealer encore plus de médicaments auprès des Américains, battant tous les précédents records en la matière, tout en prétendant que ces substances seraient efficaces et inoffensives
 
L'association Iatrogenic américaine est consacrée à l'étude et au reportage sur les erreurs médicales qui mènent à la maladie et à la mort.
 
Les scandales
 
des drogues psychiatriques qui ne sont pas seulement inefficaces mais toxiques et trop souvent mortelles.
 
AMESSI
 
L'experimentation médicale humaine à l"époque moderne.
 
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que 33% des maladies d'aujourd'hui sont causées par un traitement médical ou le médecin iatrogène (c'est-à-dire maladie induite par le medecin.)
 
La seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 /an, dont une partie évitable ».
 
144 000 hospitalisations par an sont causées par ce qu’on appelle la iatrogénie médicamenteuse.
 
Meurtre ou erreur?
 
Ci-dessous, il est spécifiquement démontré que les accusés entretiennent et répandent délibérément les maladies contemporaines les plus communes en dépit du fait que ces maladies auraient pu être efficacement guéries
 
médecine dangereuse. Natural news
 
100.000 personnes sont tuées et plus de 2 millions de personnes mutilées et handicapées chaque année.. par la médecine moderne (aux USA)
 
Notre système de santé tue en moyenne 30 Canadiens par jour. Voyage dans l’enfer des erreurs médicales.
 
Près de 400 de ces accidents seraient évitables, avance une étude nationale.
01 SEP 2013 

quelques sites, blogs, vidéos ...de victimes

A la mémoire d'anabelle Morin

Le blog de laura (France)
dont la soeur est une victime du gardasil

site mémorial pour les victimes et leurs familles
 
cynthia Janak

interferon
histoires de survivants

Le 15 Juillet 1974, mon fils Franck décédait le jour de ses dix ans dans une ultime crise d'asthme et suite à un surdosage de théophylline dû à une erreur de délivrance de suppositoires "adultes" au lieu et place "d'enfant".

victime des médecins et de leur médecine.
 
A présent, je souffre d'une atteinte sur tout le long du plexus brachiale et en pleine évolution suite à un liquide toxique (Chlorure de potassium, toxique à l'organisme humain) injecter par ERREUR
 
A ce jour j'ai perdu 90 % de ma vue au deux yeux, je ne supporte plus la lumière du jour ou du soleil, je garde des séquelles physiques, oculaires et morales
 
Ces pages ont été réalisées en hommage à mon bébé de 8 mois disparu le 23 décembre 1998 à l'hôpital de Nantes, aprés 5 semaines d'hospitalisation et une succession d'infections nosocomiales (une grippe, une bronchiolite et une gastro-entérite)!
 
a la mémoire de Kaitlyn Sierra Langstaff
 
Le site de Charly Groenendijk
 
base de données mondiale de certaines des victimes de l'Ambien, Ambien CR et Zolpidem 

victime du stilnox
Frrance
 
Comment Cipro et Flagyl vous tue 

victime des antibiotiques quinolone : LA JOIE DE VIVRE EMPOISONNÉE 
Sachant qu'entre 30% et 40% des preneurs de quinolones souffrent des effets advers, où sont-ils? Chez leurs médecins, à renouveler leurs ordonnances pour d'autres poisons afin de "soigner" (je plaisante, bien sûr) leurs fibromyalgies, dépressions, schizophrénies, insomnies, arthroses, angoisses, migraines, bronchites, problêmes cardiacs et n'importe quoi, voilà où ils sont. Ils ne savent pas d'où viennent leurs "maladies"; ils ne savent pas que presque toutes sont une seule maladie, celle de Big Pharma
 
ATTENTION !!!!!!! Cela pourrait arriver à votre bébé. GSK savait que le Paxil peut causer des malformations à la naissance, mais ils ne dit rien.
 
Enantone, de Gardasil enfant nounours.jpgGonapeptyl, Décapeptyl, Diphéréline, Trelstar, Prostap, Procrin, etc.,
 
parlons statines (anglais)
 
Le site de phil
 
Mon histoire de statine. Effet secondaires...
 
le site du Dr Graveline victime du lipitor (statine)
 
Le responsable de votre pharmaco-vigilance m’a dit qu’il n’avait rien à faire de la mort d’Alexandre, avant de nous raccrocher au nez ! Voilà ou est l’ethique des laboratoires Pierre Fabre.
 
la vie et de la mort de Tal
 
Le site de ray Nimmo 

Les méfaits des benzodiazépines et des somnifères, dépendance et sevrage
le blog d'audrey (survivante)

Maori : droguée sur ordonnances
le site de maori (survivante)

Le monde de carole
le site de carole (suisse)

benzombie
le blog de marianne (survivante)

danger benzodiazépine
blog

régis Deheurle
Victime des benzodiazépines et de la justice française
 
Le site de Colin Downes-Grainger
 
le site de sandy
 
le site de ross
 
Le site de corinne
 
Le site du docteur reag Peart
 
Le site de pam Amstrong
 
Le site de Sue Bibby
 
le site de Will
 
Le site de Betty Foote.
 
Benzo Aren't Us
 
Non Aux Benzodiazépines
 
Carol's blog (en français)
 
Brain Underwood : sevrage des benzodiazépines, bienvenu en enfer !
 
le blog de marianne
 
Les médecins qui m'ont prescrit des benzodiazépines ne m'ont jamais averti des dangers associés à l'usage de ces médicaments et des risques de dépendance dans le cas d'une utilisation prolongée.
 
Le site de catherine
 
Le site de victimes du Laroxyl
France
 
Les secrets du deroxat
 
Justice pour Seroxat /Déroxat/ Paxil / Paroxétine utilisateurs.
 
ils sont certainement conscients du fait que ce médicament doit être tiré d'urgence? comment pouvez-vous dormir la nuit ?
 
mort par deroxat / paxil
 
Ce site est un mémorial à Matt Burne, un homme de 37 ans chef d'entreprise prospère
 
Ce site web est dédié à la fin de ma soeur Sharise Gatchell.
 
David Carmichael
 
famille Crespi
 
Seroxat WEBLOG Nouvelles et opinions sur Seroxat / Paxil / Paroxetine
 
en memoire de Kara, âgée de 12 ans.
 
thepaxilprotest : protestations déroxat / paxil
 
Ce site web est dédié à mon défunt frère Sharise Gatchell
 
PAXIL WITHDRAWAL HELL
 
mon cauchemar : le deroxat !
 
In Memory of Indiana (en mémoire d'indiana)
 
In Memory of Matthew Schultz (en mémoire de matthew)
 
Ma fille avait 15 ans lorsque, à mon insu, on lui a prescrit un antidépresseur et un antipsychotique suite à une opération au genou. Ce fut le début d’un long cauchemar qui l’amènera jusqu’au suicide..
 
site à la mémoire de Kate 16 ans
 
Mon travail que je fais pour Sarina et tous les autres qui sont là-bas, ont été et pourraient être les victimes innocentes de ces drogues mortelles.
 
en memoire de Christopher Pittman agé de 12 ans
 
Pour woody victime du zoloft a 37 ans
 
benzoinfo
 
Le site de jane
 
Mourir sur Internet La navrante et triste histoire de Brandon Carl Vedas
 
à la mémoire de notre fils Matthew 14 ans
 
est utilisé pour traiter les acnés importantes et d'autres troubles cutanés.
 
En mémoire de Christophe
 
NON AUX ANTIDEPRESSEURS
 
Le blog de yagmur
 
Kurt Danysh
 
le site de gianna kali
 
 
 
Le blog de daniel
 
Sachez que que tant que nous aurons de l'air dans nos poumons nous nous battrons pour la mémoire de notre fils,

victimes des vaccins
expo-vaccins

Cordarone Amoidarone 
traitement des troubles du rythme cardiaque.

01 SEP 2013 

Maladies

"Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements …"

Les traitements les plus populaires contre l’ostéoporose sont, en fait, dangereux pour la santé de la femme - on sait que l’oestrogène de synthèse est carcinogène

J'accuse ! le Pr. François Bernard Michel, le Pr. Godard et l'association Asthme et allergies de ne servir que les intérêts financiers des grands laboratoires pharmaceutiques

le plus grand scandale médical de tous les temps : l’escroquerie du cholestérol. Une supercherie à l’échelle mondiale dont le chiffre d’affaires est astronomique
 
Seuls certains médicaments diminuent efficacement le cholestérol, mais ni la mortalité cardio-vasculaire, ni la mortalité totale n'ont été améliorées avec des médicaments dont le seul effet est de réduire le cholestérol. Au contraire, ces médicaments so
 
on risque d’en tuer plus que l’on n’en sauve
 
une grande fréquence de mammographies : un risque accru de cancer
 
Et si tout ce que vous avez appris à propos du $IDA était faux ?
 
L'argent des laboratoires est partout et sert à financer la corruption des "hommes clés" pour leur permettre d'accéder au pouvoir et de renvoyer l'ascenseur. Quand ils n'installent pas dans les postes clé de l'État, directement des hommes à eux 

"LE SCANDALE DE LA SCLEROSE EN PLAQUES" 
Docteur JP Marchi
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01 SEP 2013 

Association de victimes de la médecine sur le net

Nos filles sont en danger

Association de victimes du Gardasil
Les filles du Gardasil France

Espagne 

Association d'Aide aux Parents d'Enfants victimes du Syndrome de l'Anti-Convulsivant (dépakote, dépakine....
Pourquoi parler du scandale du syndrome de l'anti-convulsivant ? Pour deux raisons simples :
1- les connaissances autour des effets tératogènes du valproate de sodium remontent au début des années 80, mais ne sont prises en compte en France qu'en 2008 !
2- encore aujourd'hui, de nombreuses femmes donnent naissance à des enfants atteints par manque d'information.

association des blessé par la drospirénone
pilules contraceptives ( Allemagne)
 
l’industrie pharmaceutique intervient également dans le financement d’associations de malades, au point, parfois, de les créer de toutes pièces
 
antibiotiques ibuprofen allopurinol sulfamides paracétamol lamotrigine
 
Syndrome de Stevens-Johnson / nécrolyse épidermique toxique
 
infos, vidéo...
 
APVPC (Association des patients victimes potentielles de la cérivastatine): 400 PLAINTES CONTRE LE FABRICANT (France)
 
L'organisation a été créée en 1998 et composée d'individus et de familles de personnes qui ont souffert, et dans bien des cas, continuent de souffrir des effets secondaires graves, y compris des troubles psychiatriques, les tentatives de suicide, des idée
 
France
 
Association des victimes du Roaccutane et génériques (isotrétinoine) Suisse
 
 
 
 
 
 
Informations à propos du Distilbène
 
Les experts évaluent à 160 000 le nombre d'enfants exposés pendant la grossesse.
 
 
neuroleptique caché
 
10 ans apres son intediction des millers de femme souffrent toujours des effets secondaire de l'isomeride
 
l'intérêt financier du médecin en question est opposé à l'intérêt de la santé du patient...
 
Le plus grand problème de drogue das le monde !
 
BCNC (england)
 
TRANX Australie
 
CITA
 
benzo group support site
 
BAT
 
Avril a été fondée par Millie Kieve qui a commencé ses recherches pour obtenir des renseignements sur les réactions indésirables aux médicaments (ADR), après la mort de son Karen fille en 1995
 
prozac survivor
 
paxilprogress.
 
seroxatusergroup
 
the effexoractivist
 
FQ victims
 
 
 
Nombre de victimes graves chaque année : 30000.- Nombre de victimes mortelles chaque année : quelques centaines, de l'ordre de une par jour.
 
 
maladies de la guerre du Golfe
 
Environ 15000 personnes regroupées en 15 associations sont devant le tribunal de Paris contre les personnes responsable du vaccin Hépatite B
 
 
 
les survivants
 
Nous sommes nés sans membres, avec des membres foreshortened, avec des déficiences de l'audition et de vision, ainsi que des blessures aux organes internes.
 
La Société de la thalidomide a été formé au Royaume-Uni en 1962 par les parents des enfants déficients de la thalidomide dans le but d'aider et de soutenir les familles touchées et à faire campagne pour le soutien du public et la reconnaissance...
 
La thalidomide est un handicap du fait de l'homme par un médicament, ce qui aurait pu être facilement évitée si les fabricants et les fournisseurs ont effectué les tests adéquats sur la drogue
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Interviews vidéo du Dr Berthoud, de Sylvie Simon, Michel Georget et Edith Gallay
 
Ce site est un lieu pour les gens à se rendre pour obtenir les dernières nouvelles, et de prêter leur voix à la lutte pour obtenir l'égalité de traitement pour toutes les victimes de Vioxx.
 
France
 
Le LIEN est une Association visant à aider les victimes d'infections contractées dans une clinique ou un hôpital.
 
Quebec
 
dentiste sans frontiere
 
PsychRights®
 
MindFreedom international
 
France
 
 
 
5 500 victimes de surirradiation au service de radiothérapie
 

victimes du lariam : stop lariam (contre le paludisme)

Méfloquine (lariam) action
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01 SEP 2013 

Les forums de victimes 

douleurs musculaires et articulaires, fibromyalgie, vertiges, neuropathies, troubles neurologiques, visuels, endocriniens (hypophyse, thyroïde, ovaires), cardio-vasculaires, (auto)immunes, diminution des capacités intellectuelles, dépression...

soutient au sevrage des benzos

forum roaccutane
victimes roaccutane et médiaments (France)

forum victime Enantone, Décapeptyl (anglais) 
anglais
anglais, français espagnol
 
France
 
isotrétinoïne
 
anglais
 
2082 membres (anglais)
 
ISRS et toutes antidépresseurs
 
forum d'entraide en anglais
 
 
 
Forum de discussion sur les effets indésirables des antibiotiques quinolones
 
Norfloxacine Zoroxin® Pefloxacine Peflacine® Ofloxacine Tarivid® Ciprofloxacine Ciproxine
 
anglais
 
fluoroquinolone Antibiotic Victim Community
 
deroxat : paxilprogress - Paxil Withdrawal - Paxil Support
 
effexor activist
 
mad seroxat
 
anglais
 
anglais
 
site et forum de soutient pour le sevrage aux benzodiazépines
 
bienvenue sur benzoisland où nous nous consacrons à aider les individus qui souhaitent se libérer d'une dépendance aux benzodiazépines.
 
uniquement pour les syndromes prolongé de sevrage aux benzodiazépines (plus de trois ans)
 
Forum sur le sevrage aux benzodiazépines
 
benzo free
 
BENZOPROTRACTED group
 
forum d'action et de soutient
 
ect.org forum
 
sida santé
 
roaccutane, lexomil, clebrex, neurontin...et bien d'autres.
 
PROPECIAHELP effets secondaires info & forum
 
 
 
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01 SEP 2013 

Les pétitions des associations des victimes de la médecine

sur le net

Ceci passe par la reconnaissance de la sévérité et la durée du syndrome de sevrage aux benzodiazépines, qui est totalement nié à la fois par les professionnels de santé et par les autorités françaises.

Il s'agit là d'un problème mondial de proportions épidémiques
 
pour l'interdiction de l'oxycontin
 
 
 
Nous, soussignés, demandons à l'Organisation mondiale de la santé à lancer une enquête impartiale et globale sur les dommages causés par des doses thérapeutiques de statine
 
interdire immédiatement le zolpidem, la zopiclone et toutes les autres benzodiazépines hypnotiques pour le traitement de l'insomnie et autres troubles liés au sommeil.
 
 
 
 
 
protestation!!!
 
 
 
 
 
Pétition pour aider les victimes et protéger les autres MALADIES APRES VACCINATIONS
 
inutile mais dangereuse
 
Veiller à ce que la santé et la sécurité des personnes, soit la première priorité avant les médicaments et avant que les médicaments ne soient vendus à au grand public
 
un cauchemar vivant
 
France
 
docteur Rath
 
Ma campagne est de transmettre un projet de loi qui deviendra finalement Sarina's Law.
 
Cette pétition est destinée a porter des accusations criminelles contre GlaxoSmith Kline. Les médicaments fabiqués ont causé de nombreux morts parceque les dangereux effets secondaires n'ont pas été mentionnés.
01 SEP 2013 

Quelques sources

Tout les sujets importants de santé. Médicaments, cancer, sida, hopitaux, vaccins, médecins, ritaline, benzodiazépines... Tout savoir pour ne pas se faire tuer par son médecin.

LA MEILLEUR INFORMATION MONDIALE. Public citizen, organisation d'intéret public sans but lucratif. Nos médecins et pharmaciens analysent les données propres de la FDA. Notre conseil : NE PAS EMPLOYER 214 médicaments comprenant :...

L'association Iatrogenic américaine est consacrée à l'étude et au reportage des erreurs médicales qui mènent à la maladie et à la mort.
 
Depuis le début des années 1970, le docteur Peter Breggin a été trés actif comme expert médical
 
Ce site explore les menaces à la sécurité publique et la liberté académique entourant les ISRS du groupe de médicaments - Prozac, Zoloft (Lustral), Paxil (Seroxat, deroxat / Aropax).
 
Un groupe de médecins, des chercheurs, des journalistes et des citoyens concernés consacré à l'éducation sur les dangers posés par de nombreux médicaments.
 
 
 
Psychiatric Medication Awareness Group
 
solutions de santé
 
Index des medicaments. Premier site mondial.
 
Les droits de l'homme, la dignité et le bien-être des sujets humains doivent etre protégés.
 
La Commission européenne persiste à faire passer l'intérêt des firmes pharmaceutiques avant la santé publique.
 
Les liens
 
Une organisation à but non lucratif internationale pour chaque personne intéressée à améliorer la santé. La promotion fallacieuse des médicaments nuit à la santé et gaspille l'argent.
 
une information sur les medicaments.
 
Liens medicaments
 
Action de santé internationale 
politique pharmaceutique mondiale
 
 
Expression libre sur la santé et tous les lobbies et conflits d'intérêts qui la mettent en danger.
 
25000 articles sur la santé
 
L'information des consommateurs sur lesmédicaments dangereux et les erreurs de médication
 
 
 
La médecine autrement : les sites.
 
Nous sommes un groupe qui représente aujourd'hui quelques dizaines de milliers de personnes en France. Ce groupe est composé de scientifiques (physiciens, biologistes, chimistes, ...), de médecins (du professeur de faculté au généraliste),
 
 
 
Afin d'être en conformité avec la loi française:
Nous vous signalons que vous ne devez tenir aucun compte de tout ce qui est dit dans ce blog. En cas de maladie, vous devez consulter un médecin et vous conformer à ses prescriptions.
 
l'utilisateur doit vérifier si l'information fournie ici lui convient ou non
Quelque soit les dommages ou pertes de revenus faisant suite à l'emploi de ce blog directement ou indirectement et de l'information fournie sur ce blog seront de la responsabilité unique de l'utilisateur de ce blog.
01 SEP 2013 

avocats et justice : les sites

Stevens-Johnson Syndrome Avocats 

Myra faillit mourir d'une réaction allergique grave aux Bactrim qui est Stevens-Johnson Syndrome.

condamnations, clas action, medecins et médicaments
 
recherche
 
recherche
 
Syndrome de Stevens-Johnson (SJS) information
 
Trasylol: poursuite en recours collectif contre Bayer. Risques accrus d'accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques et rénaux et d'insuffisance rénale et décès
 
recherche google
 
recherche google
 
Bristol-Myers Squibb, responsable de la fabrication de cette drogue, a annoncé le retrait de Serzone le 20 Mai 2004, après des tentatives infructueuses faites par Public Citizen
 
il existe de nombreux rapports de décès associés à l'utilisation de ce stimulant. Dosage élevé de ce stimulant mai causer des accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques et des convulsions.
 
Des études préliminaires ont indiqué que le Bextra (valdécoxib), un médicament anti-inflammatoire fabriqué par Pfizer, Inc, pourrait être l'une des principales causes de syndrome de Stevens Johnson (SJS)...
 
recherche
 
www.JURISQUES.com
 
recherche
 
recherche
 
recherche
 
Des recherches récentes ont révélé au moins 19 cas d'enfants qui ont connu une mort subite après la prise de médicaments contenant du méthylphénidate
 
procès gagnés contre les antidépresseurs, le prozac, le déroxat, xanax, zyprexa, ritaline. reconnaissance des dysckinésies tardives...
 
2 millions d'euros pour une famille victime du Distilbène
 
Tous les patients ont développé une toxicité hépatique aiguë dans les 3 mois. La FDA recommande aux consommateurs de cesser immédiatement d'utiliser le produit Lipokinetix
 
Prescrit poour diarrhée sévère prédominante, syndrome du côlon irritable;
 
dommages au foie et insuffisance hépatique
 
LAMICTAL est utilisé pour traiter l'épilepsie après échec d'autres traitements. Syndrôme de stevens johnson : 1 sur 1000 chez l'adulte et 1 sur 50 chez l'enfant.
 
De nombreux groupes de consommateurs ont demandé à la FDA pour le retrait immédiat de Meridia
 
recours collectif contre Sanofi-Aventis,
 
 
 
recherche
 
recherche
 
de graves effets secondaires tels que la maladie musculaire grave et mortel d'insuffisance rénale,
 
Un laboratoire pharmaceutique qui commercialise un médicament cancérigène, donc défectueux, peut être poursuivi par les patients qui ont été victimes de son produit. Le laboratoire est tenu à un "devoir de vigilance" qui l'oblige à prendre connaissance...
 
antidepresseur
 
neuroleptique
 
 
 
Un petit nombre d'hommes ont perdu la vue d'un œil un peu de temps après la prise de Viagra
 
 
 
 
 
le Japon et l'Union européenne inclue des avertissements sur le Zyprexa, parfois mortels,
 
 
 
28 000 personnes ont été indemnisées par Lilly pour que cessent les poursuites relatives à l’olanzapine (Zyprexa°)
 
 
 
recherche
 
L’Union des consommateurs vient de déposer, devant la cour supérieure, une demande d’autorisation d’exercer un recours collectif contre la compagnie pharmaceutique Pfizer Canada
 
Anti-inflammatoire non stéroïdiens (AINS) de la famille des coxibs.
 
vioxx
 
 
 
recherche google
 
vioxx infos
 
 
 
recherche de : recours collectif contre le risperdal
 
Les procès en class action contre l'accutane (en France : roaccutane)
 
 
 
recherche
 
recherche
 
recherche
 
recherche
 
Demande de recours collectif contre l'analgésique
 
La Cour de Cassation, dans un arrêt rendu le 13 mars 2007, a reconnu que les parents d'une jeune victime d'erreur médicale devaient être indemnisés au titre de la perte de chance de pouvoir vivre plus longtemps.
 
Malgré toutes les évidences, la firme n'a jamais été condamnée. Tous les recours en justice se sont soldés par un règlement à l'amiable et par une forte prime au silence.
 
recherche
 
recherche
 
recherche
 
Le droit de tuer pour des maladies inventées ou non...
 
vioxx pour la France (le site n'existe plus, mais on peut consulter les pages cachées)
 
inibiteur selectif de recapture de sérotonine: ISRS. Zoloft, prosac, deroxat, ritaline (assimilé amphétamine), déroxat...
 
cabinet avocat USA
01 SEP 2013 

Maladies iatrogènes (provoquées par le médecin)

scanners : cancers
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers

le plus souvent liée à des benzodiazépines, des opiacés, les antidépresseurs tricycliques et les anticonvulsivants (médicaments utilisés pour traiter et prévenir les crises d'épilepsie)
 
accident vasculaire cérébral et accident cardio-vasculaire par prescriptions
beta-bloquant, antidépresseurs, benzodiazépines, antibiotiques….
médicaments et Alzheimer
 
La médecine est une des princales causes de l’augmentation des cancers
 
Le diabète provoqué par les médecins
Beta-bloquants, anticholestérol, antidépresseurs….
Entre 1994 et 2008, la fréquence des seules SEP était passée de 20 000 à 83 000 cas.
Les syndromes de Lyell ou de Stevens-Johnson sont des réactions aux médicaments gravissimes
Vidéo : les médicaments qui nous tuent.
Apprenez comment vous pouvez protéger vos oreilles des ravages de la ototoxiques des médicaments et des produits chimiques
La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains ! Et en France ?
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d’AVC, de crises cardiaques et le diabète
ACICLOVIR ALBENDAZOLE ALLOBARBITAL ALLOPURINOL AMOBARBITAL AMOBARBITAL SODIQUE AMOXICILLINE AMPICILLINE AMPICILLINE SODIQUE AMPRENAVIR APROBARBITAL AZAPROPAZONE BACAMPICILLINE CHLORHYDRATE BARBITAL BARBITAL SODIQUE…
la piste d’une origine toxique
Antidépresseurs. Antiépileptiques. Benzodiazépines , Atomoxetine , Interférons , Varénicline. Rimonabant…
”Ce sont des substances extrêmement dangereuses qui auraient dû être interdites, comme des médicaments similaires l’ont été dans le passé”
Ces maladies inventées par les médecins et provoquées par les médicaments psychotropes
antidepresseurs, benzodiazépines, neuroleptiques…
On estime que les médicaments sont responsables de 15 à 20 % de toutes les causes d’hépatites fulminantes ou subfulminantes dans les pays occidentaux et d’environ 10 % au Japon.
Plus de personnes sont mortes de la vaccination que de la grippe de cochon. 500 cas de GBS ont été découverts
Souvent iatrogène
Certains médicaments sont connus pour induire un SJSR. C’est le cas par exemple de nombreux antidépresseurs, de la plupart des neuroleptiques, des broncho-dilatateurs contenant de la théophylline,…(très important les…)
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
 les patients traités par thiazolidinediones ont un risque accru de 60% d’insuffisance cardiaque congestive, un risque accru de 40% d’infarctus du myocarde et un risque accru de 29% de décès
Une étude américaine qui vient d’être publiée dans la revue Nature éclaire l’un des mécanismes fondamentaux par lequels les glitazones (Actos – pioglitazone, Avandia – rosiglitazone, et les médicaments composés qui en contiennent) induisent des troubles osseux, de l’ostéoporose, et donc des fractures.
ils sont passés de la tête de grandes directions des entreprises à ne pas être capable d’équilibrer un carnet de chèques et de feu de leur entreprise.”
Certains types d’antidépresseurs peuvent doubler le risque de développer un cancer du sein, selon une étude canadienne de repère.
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas
En effet, chaque année, 17 000 hospitalisations sont dues aux complications hémorragiques issues du traitement par AVK.
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
Tranquillisants et sédatifs Antihstaminiques Bêta bloquants Thérapies hormonales Antidepresseurs Corticostéroïdes Chimiothérapie Relaxants musculaires Coupes-faim Antipsychotiques Amphétamines
“La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine.”
Un syndrome démentiel est un effet indésirable de certains médicaments, et plus particulièrement de médicaments psychotropes.
Les réactions paradoxales aux benzodiazépines : l’insomnie par prescripiton
Les effets paradoxaux des benzodiazépines (effet contraire à l’effet recherché) sont à distinguer des effets secondaires (aussi appelés effets indésirables).
Selon le professeur Malcolm Lader, 5% des gens à qui l’on prescrit des benzodiazépines réagissent par des réactions psychiques, appelées “paradoxales”.
le vaste problème des réactions indésirables aux médicaments
pseudodémence et pseudo alzheimer : benzodiazépines
Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amnésie, de l’ataxie (perte d’équilibre), des maux de cœur et de la pseudodémence (souvent attribué par erreur à la maladie d’Alzheimer) chez les personnes âgées
“Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne.” professeur m Lader (1999)
“Certains de ces groupes de victimes des tranquillisants peuvent documenter sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l’arrêt. “
La cour d’appel de Versailles vient de confirmer le lien de causalité entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques
L’akathisie est le chaînon qui relie la prescription d’antidépresseurs par des médecins soucieux du bien-être de leurs patients et certains meurtres et suicides étranges.
maladie iatrogène, véritable torture chimique
Syndrome des jambes sans repos.. Peut-être induit par les médicaments, impliquant une incapacité à rester en position assise, la promotion nervosité et un sentiment de frousse musculaire.
SJSR : Il est soit idiopathique avec des antécédents familiaux fréquents, soit iatrogène
Des médicaments entraînent ou aggravent les jambes sans repos: ce sont les antidépresseurs, les neuroleptiques et les anti-histaminiques
Bien que d’autres antidépresseurs, ainsi que le lithium et la venlafaxine 5, 6 ont été signalés à être en mesure de produire des jambes sans repos
la fibromyalgie, la piste d’une origine toxique par accumulation chronique de produits comme les organo-phosphorés, les carbamates (insecticide, Atrium, Equanil, Meprobamate, Mépronizine.), les pyréthroïdes.
douleurs musculaires et articulaires, fibromyalgie, vertiges, neuropathies, troubles neurologiques, visuels, endocriniens (hypophyse, thyroïde, ovaires), cardio-vasculaires, (auto)immunes
les symptomes de la fibromialgie font partie des symptomes de sevrage aux benzodiazepines. Ils disparaissent a la fin de la periode de sevrage qui helas peut dans certains cas durer plusieurs années.
Le syndrome de sérotonine, une complication iatrogenique potentiellement mortelle de thérapie psychopharmacologic, le plus généralement est rapporté avec des combinaisons des médicaments serotonergique
on peut éstimer que cela representent près de 200.000 Américains pour l’année 2001.
La mort est survenue par arrêt cardiorespiratoire ou déficience rénale.
Les dyskinésies tardives surviennent dans 20 à 40 % des traitements chroniques. Peuvent survenir plusieurs années après l’arrêt du traitement et sont irréversibles.
syndrome malin des neuroleptiques qui peut engager le pronostic vital..Au vû d’un taux sous-évalué de 1%, Maxmen et Ward (1995,p33) estiment que 1000 à 4000 morts aux Etats-Unis résultent chaque année du syndrome malin des neuroleptiques
Ces réactions de sevrage peuvent être douloureuses, défigurantes et débilitantes.
maladie et mort des bébés et antidépresseurs
risque de malformations cardiaques, risque d’hypertension artérielle pulmonaire persistante du nouveau-né
Jusqu’à 78% des utilisateurs ont des symptomes de sevrage
Les inhibiteurs de recapture de serotonine peuvent entrainer un dysfonctionnement sexuel permanent
Les vaccins pourraient avoir causé l’autisme chez des milliers d’enfants
au lieu de décider d’alerter immédiatement le public et de débarrasser les vaccins du mercure, les intervenants passèrent le plus clair de ces deux jours à discuter sur les moyens de dissimuler les données alarmantes.
8.000 procès en cours, y compris les cas dans lesquels des personnes sont mortes de coma diabétique aiguë ou d’une pancréatite,
La liste des médicaments provoquant les symptomes de parkinson iatrogéne
De nouveaux cas de syndromes parkinsoniens induits ou aggravés par la trimétazidine ont été observés en Espagne et en France. Ces troubles, réversibles, justifient d’arrêter ce traitement et de ne pas l’instaurer chez de nouveaux patients.
sclérose en plaques,symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de lancements d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphène, douleurs articulaires, dépressions, crises d’angoisse…
Le risque d’AVC était 1,7 fois plus élevé comparativement à ceux qui n’en avaient pas eu.
Ainsi parmi les principaux effets secondaires de l’aspirine on retrouve des lésions digestives (gastrite) et des troubles hémorragiques, dont des saignements digestifs. 
80 000 cas de sclérose et vaccins hépatite B
Le Dr Marc Girard, qui fut l’expert nommé par la Cour d’appel de Versailles, estime à plus de 80 000 les cas de sclérose en plaques associés à ce vaccin, ce qui est très loin du chiffre officiel. Il a découvert un rapport de la Direction générale de la santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit "la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974", alors que tous nos responsables (mais pas coupables) de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Il a aussi constaté que le centre de pharmacovigilance de Strasbourg esttellement efficace qu’une victime, décédée en 1998, était alors déclarée toujours vivante, et une autre victime aurait été vaccinée deux mois après son décès. De même, 99 % des dossiers de l’enquête auraient été "perdus" en cours d’analyse. Il est certain que, dans le domaine de la santé, les pertes de dossiers s’accumulent, comme c’est aussi le cas dans le scandale de l’hormone de croissance..
Dystonie aiguë d’origine neuroleptique
01 SEP 2013 

Livres

« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur." Ce livre te montrera comment se prot
prevention des morts induitent par les médicaments. Les effets indésirables sont la quatrième cause de décès chez les Américains, tuant 100000 personnes chaque année
Il relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle. 

« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr.
 
La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens

Le livre noir du médicament
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? [...] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire.
L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d'antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »

Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l'industrie et de l'inefficacité d'un certaine agence de réglementation.
 
"la deuxième étude réalisée en Amérique latine, en Europe et ailleurs, révélait que le placebo était plus efficace que l'antidepresseur"
 pharmageddon (anglais) : l'hisoire d'une tragedien par le prof david Healy
les antidépresseurs - maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse - alors même que les preuves s'accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. 
L'espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d'espérance de vie que nous l'étions il ya 100 ans. 

Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.
Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.
Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ....Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia... 

mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : "voila un exemple flagrant d'une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l'augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d'enfants mouraient à la naissance et...Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l'équation, l'espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans !"

Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.

Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, Philippe Even
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales?
Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. 
...Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.

Confession d'un médecin révolté
Un logiciel créé par Buljakin a mis en lumière que 700 médicaments, au lieu des 70 000 actuellement commercialisés, servent réellement à quelque chose et parmi eux, 600 sont destinés à des maladies aiguës.
Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine!
 
DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène.
 
Des films et livres pour ne pas mourir idiots. (4 pages développent et illustrent le roman. )

Les leçons du Médiator : L’intégralité du rapport sur les médicaments par le professeur Even
Le drame du Médiator et la liste aberrante des 77 médicaments sous « surveillance renforcée » ont révélé la faillite de notre système de contrôle de sécurité des médicaments.

Les premiers éléments laissant suspecter la possibilité d'une telle toxicité remontent à 1997, date à laquelle un médicament proche et commercialisé par le même laboratoire, le coupe-faim Isoméride, est interdit pour les mêmes raisons.
 
Les cartels et multinationales disposent de moyens financiers illimités pour faire taire toutes les consciences. Pour comprendre les interconnexions de ces systèmes mafieux, il fallait dresser leurs portraits et pratiques dans un même ouvrage.
 
Les médecins et infirmières tuent plus de personnes que le Cancer ? 
Les preuves montrent qu'avec le cancer et les maladies circulatoires, les médecins et infirmières sont maintenant l'un de nos trois meilleurs tueurs ; ils tuent beaucoup plus de gens que les infections (y compris la grippe), les accidents de la route, les terroristes et criminels mis ensemble. Chaque médecin tue chaque semaine plus de gens que les terroristes ont tué dans les 50 dernières années. Le résultat est que les médecins et infirmières maintenant presque certainement tuent plus de personnes que le cancer. 
 
La médecine serait-elle devenue folle?
 
"la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies"
 
"Les vaccins sont inefficaces et dangereux, la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent... "
 
Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la majorité d'entre nous persiste à croire que ces traitements sont la panacée et n'ont pas d'effets délétères sur nos organismes, alors qu'en vérité, les médicaments peuvent tuer
 
dénonciation des maltraitances à l'encontre des personnes âgées hébergées dans les hôpitaux et les maisons de retraite
 
"Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd'hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée"
 
L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?
 
C’est que le corps médical français est particulièrement mal formé. C’est sa compétence qui est en jeu. Mais qui osera mettre en cause la formation des médecins dans les facultés de médecine alors qu’ils représentent dans de nombreux pays un puissant « par
 
Jamais l'actualité n'a autant tourné autour de la santé et jamais le monde médical n'a été autant ébranlé.
 
Nous ne connaissont pas 50% des effets secondaires des médicaments avant leurs mise sur le marché !
 
Les horreurs perpétuées par la médecine moderne sont aggravées par le fait que celle-ci exerce un véritable monopole.
 
trop souvent, notre système de santé est pris au piège d'intérêts économiques qui n'ont plus grand-chose à voir avec la santé de tous.
 
Textes en main, preuves à l'appui, elle démontre la culpabilité des responsables et l'imbroglio politico-médical qui plongent la France dans les ténèbres. En dépit des efforts de la presse dénonçant les scandales de la médecine, les "intouchables"
 
Il ya plus de 2 180000 décès chaque année aux États-Unis exclusivement due à des réactions indésirables aux médicaments
 
 
 
" les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m'apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée..."
 
 
 
Overdosed Amérique révèle la cupidité et la corruption qui poussent les coûts des soins de santé vers le ciel et menace désormais la santé publique.
 
La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n'ont pas commis d'actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
 
How and Why to Stop Taking Psychiatric Medications
 
Voici le récit émouvant d’une fille qui a sauvé sa mère d’une mort certaine. Vous la suivrez dans ses démarches auprès de professionnels de la santé. Mauvais diagnostics, mauvaises médications et effets secondaires pervers en découlent. Tandis que les méde
 
Il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il souhaite se protéger, mais aussi sur les risques qu'il court en se faisant vacciner. Or, l'histoire de la vaccination
 
Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge.
 
 
 
Bitter Pills est une enquête intense de l'industrie pharmaceutique internationale.
 
Thalidomide and the Power of the Drug Companies
 
Le principal problème de la drogue aux États-Unis aujourd'hui n'est pas l'utilisation de drogues illicites est-il l'utilisation de drogues légales.
 
La désinformation orchestrée par certains groupes d'influence dépasse tout ce que l'on peut imaginer. Elle a permis de collecter de colossales subventions provenant en majeure partie de l'argent public. Le lobby du virus ne peut plus faire machine arrière,
 
Chaque année, en France, les effets indésirables des médicaments provoquent 130 000 hospitalisations et 32 000 décès. Le principe actif d'un médicament allopathique n'est jamais sans effets secondaires. L'opinion publique en prend conscience à cause d
 
Depuis quelques années, les laboratoires pharmaceutiques ont délocalisé une partie de leurs essais dans les pays d'Afrique et en Inde, où ils trouvent des cobayes humains en grand nombre et à moindre coût. Non-respect des conven­tions internationales, essa
 
L'Imposture De La Biologie Et De La Médecine
 
De nouvelles recommandations de traitement du cholestérol transforment des gens bien-portants en malades.
 
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien !
 
ce médecin dresse un véritable réquisitoire contre la "course folle" à la baisse du taux de cholestérol."
 
 
 
l'Ordre des médecins ne désirait pas que la population fût informée de l'activité de si nombreux médecins aux postes de commandement des lieux d'extermination.
 
Entre 1940 et 1944, 40 000 malades mentaux sont morts de faim dans les hôpitaux psychiatriques français.
 
de Jean Peneff 

 
 
 
01 SEP 2013 

La vérité sur l'industrie médicaMENTEUSE par Gwen Olsen (ex cadre pharma)


Fraude scientifique ! Gwen Olsen balance le... par RegisDanse
01 SEP 2013 

les médicaMENTEURS

01 SEP 2013 

escroquerie :l es vendeurs de maladies

01 SEP 2013 

LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES: un LOBBY EN PLEINE SANTE

01 SEP 2013 

Les nouveaux jackpots des laboratoires pharmaceutiques


Labos rapaces 1/3 (le jackpot) par JaneBurgermeister 
Labos rapaces 2/3 (le jackpot) par JaneBurgermeister 
Les nouveaux jackpots des laboratoires... par tchels0o
01 SEP 2013 

'SIDA' : Mensonge Traitement 'VIH'

01 SEP 2013 

le guide des médicaments inutiles... ou dangereux


Médicaments dangereux : "Laxisme, démagogie et... par LeNouvelObservateur
01 SEP 2013 

« 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux »



Un système au mieux incompétent, au pire corrompu par l’industrie pharmaceutique
Les auteurs fustigent un système gangréné par « le laxisme, la démagogie, l'incompétence et la corruption".
Les protestations de l’organisme professionnel qui fédère et représente les laboratoires pharmaceutiques (LEEM) ne se sont pas fait attendre, dénonçant « amalgames et approximations », sinon « une confusion regrettable et néfaste à l’égard des autorités sanitaires, des médecins et de l’ensemble des salariés des entreprises du médicament » ; on comprend leur inquiétude de voir mis en cause « les 20 % de bénéfices qu'elle (l’industrie pharmaceutique) s'accorde chaque année … En 3 ans et demi, elle double son capital et elle le quadruple en sept ans ».

Une industrie prédatrice qui a brillamment manœuvré en mettant en place un système imparable pour assurer des revenus toujours plus importants à ses actionnaires, dans un contexte où les découvertes de nouvelles molécules efficaces se sont drastiquement réduites ces 20 dernières années :
- Inventions de nouvelles maladies et affections créées de toute pièce ; le nombre d’hypertendus, d’hypercholestérolémiques, d’ostéoporotiques sans parler des déprimés chroniques, est en progression inflationniste.
- Lancement de « produits de prévention » destinées à des personnes en bonne santé pour prévenir des risques parfaitement illusoires. Le Professeur Philippe Even dénonce notamment les statines prescrits dans la prévention du cholestérol, « avalés par 3 à 5 millions de Français", qui coûtent "à la France 2 milliards d'euros par an … et complètement inutiles ».
...
« Nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. Quant à la pharmacovigilance qui devrait permettre de suivre attentivement les médicaments pour repérer les accidents, il s’agit davantage d’une pharmaco-somnolence … »
01 SEP 2013 

80% des médicaments sont inutiles (mais très dangereux !)

01 SEP 2013 

antidépresseur : la molécule qui rend fou

01 SEP 2013 

antidépresseurs : l'overdose ? dangers et dépendance

01 SEP 2013 

Le monde des médicaments en France : dangers et dépendances

01 SEP 2013 

Des médicaments inutiles et parfois même dangereux

01 SEP 2013 

Cholestérol, un business qui rend malade !

01 SEP 2013 

“Même pour interdire le cyanure,

il faudrait au moins deux ans"


Parlons Net Philippe Even par FranceInfo
01 SEP 2013 

L'industrie pharmaceutique au service de l'assurance maladie : on vous assure la maladie à vie !

L'industrie pharmaceutique au service de l'assurance maladie: on vous assure la maladie à vie!

 

Voici quelques extraits de l'excellent et audacieux article de la revue "Protégez-vous" du mois de mai 2010.  Un dossier à lire et à conserver dans vos archives!   Un dossier sur la collusion entre l'industrie pharmaceutique et le monde médical, sur les études bidons réalisées par des équipes de scientifiques financées par des compagnies privées, rédigées par des "écrivains fantômes" et cautionnées par des "éminents" scientifiques qui n'ont jamais participé aux études...


Journaliste responsable du dossier : Rémi Maillard pour l’édition de mai 2010.

. . .

"Voire à l’apparition de nouvelles pathologies créées de toutes pièces et popularisées par des "campagnes d’information" souvent alarmistes à la télévision et dans les grands journaux."

"Une maladie pour chaque pilule".

"La timidité, par exemple, est devenue un "trouble d’anxiété sociale", la brûlure d’estomac a été rebaptisée "maladie du reflux gastro-oesophagien" et la tension prémenstruelle s’est métamorphosée en "trouble dysphorique prémenstruel". Quant à l’impuissance, elle porte désormais le nom savant de "dysfonction érectile"... Le but ? Faire de chacun de nous un consommateur de pilules en puissance, si possible sur une longue durée, estime Dr. Marc Zafran."

"Cette stratégie fonctionne : les dépenses en médicaments des Canadiens ont été multipliées par quatre en 20 ans, pour atteindre 30 milliards de dollars en 2009. Dans le seul domaine de la psychiatrie, le nombre de maladies mentales officiellement reconnues aux États-Unis est passé de 26 à 395 depuis la Seconde Guerre mondiale, rapporte le journaliste scientifique allemand Jörg Blech, auteur d’un livre-enquête sur les dérives de l’industrie pharmaceutique.

"Coïncidence troublante, 95 des 170 experts qui ont participé à l’édition la plus récente du DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) de l’Association américaine de psychiatrie, la "bible" des psychiatres en Amérique du Nord et en Europe, entretenaient des liens financiers avec l’industrie."

"Il n’est donc pas étonnant, relève-t-il, que "certains nouveaux médicaments, notamment pour traiter l’hypertension et la schizophrénie, s’avèrent en fin de compte cliniquement moins efficaces que leurs prédécesseurs bien qu’ils soient vendus jusqu’à 10 fois plus cher."

"Au total, les pharmas investisssent plus de 60 000$ dans chacun des quelques 700 000 médecins étasuniens ; au pays, ce montant serait de l’ordre de 20 000$."

"Cela va du financement commercial des universités aux essais cliniques biaisés, des pseudo-publications scientifiques à l’abaissement régulier des seuils de facteurs de risque pour certaines maladies, de l’éducation continue des médecins aux visites incessantes des représentants pharmaceutiques, qui nous apportent des échantillons gratuits. Sans oublier le financement des congrès, les repas payés à l’hôpital ou au cabinet, les réunions commanditées et les soupers-conférences dans de grands restaurants."

"Même le médecin le plus compétent n’est plus en mesure d’obtenir des informations neutres et objectives lui permettant de prescrire les produits les plus efficaces pour ses patients." - Marc-André Gagnon, Université McGill

"Les laboratoires financent des essais cliniques dont ils analysent eux-mêmes les résultats. Ils font ensuite appel à des "ghoswriters", des "auteurs fantômes", pour écrire des articles qu’ils font souvent revoir et signer par des "leaders d’opinion", c’est-à-dire des chercheurs reconnus pour leur expertise. Puis ils s’arrangent pour les faire publier, si possible dans des revues prestigieuses. Finalement, ils obtiennent une masse critique de littérature scientifique qui détaille les bienfaits du médicament pour diverses utilisations, mais omet, ou mentionne à peine, ses effets secondaires. Ils envoient alors leurs représentants montrer cette documentation aux médecins afin de les convaincre que leur produit est le meilleur."

"À l’arrivée, on finit donc par se retrouver avec une littérature biaisée".

"Plusieurs études indiquent que les essais financés par l’industrie sont de trois à cinq fois plus susceptibles de fournir des résultats favorables que ceux qui sont réalisés avec des fonds indépendants."

"Les médecins ont beau protester qu’ils sont autonomes et insensibles aux pressions extérieures ou à la publicité, toutes les études montrent que ces visites modifient leurs habitudes de prescription."

"Des documents internes d’Eli Lilly, le fabricant du célèbre antidépresseur Prozac, montrent qu’au début des années 2000 ses représentants avaient pour mission d’inciter les médecins de première ligne à établir un diagnostic de "trouble bipolaire"... et à prescrire à leurs patients son antipsychotique Zyprexa."

"Les abus sont si fréquents que la plupart des grandes pharmas doivent régulièrement répondre d’accusations de pratiques commerciales frauduleuses. En 2004, par exemple, Pfizer a accepté de payer 450 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites engagées à son encontre aux États-Unis."

"De 2004 à 2009, Pfizer, Eli Lilly, Bristol-Myers Squibb et quatre autres compagnies ont ainsi déboursé plus de sept milliards en amendes et pénalités de toutes sortes."

"Les pharmas débordent d’imagination. L’an dernier, à l’occasion d’un procès en Australie, on a découvert que pour faire mousser les ventes de son très controversé anti-inflammatoire Vioxx, Merck avait créé un faux journal médical, publié sous le label d’Elsevier, un éditeur scientifique réputé."

"Lorsque les facultés sont massivement financées par des sociétés privées, que celles-ci s’associent à tous les évènements organisés sur les campus, le risque est grand qu’elles finissent par faire partie de l’univers mental et culturel des étudiants."

"En 2008, un article du New England Journal of Medecine a passé en revue 74 essais cliniques d’antidépresseurs. Ses conclusions sont édifiantes : 37 études positives sur 38 avaient été publiées tandis que 33 des 36 études négatives ne l’avaient jamais été, ou seulement sous une forme mettant en évidence un résultat positif."

"Une fois sur cinq, d’importantes informations concernant l’innocuité d’un médicament n’apparaissent qu’après sa mise en marché, affirmait en 2006 le Dr. Robert Peterson, directeur général de la Direction des produits thérapeutiques à Santé Canada de 2000 à 2005."

"Mais quand vient le temps de vérifier qu’ils n’ont pas d’effets indésirables, il n’y a plus d’argent".

01 SEP 2013 

Ces médicaments qui nous tuent





01 SEP 2013 

"La médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent" Dr G. Lanctot

"L'intérêt des patients n'a aucune importance"    

Docteur Ghislaine Lanctôt  extrait de la "Mafia médicale "

 

01 SEP 2013 

Ces traitements dont il faut se méfier de Jörg BLECH

VOTRE SANTÉ

 

Les gens les moins bien informés sont aussi ceux qui se soumettent le plus souvent à un traitement médical. Ce sont des médecins qui ont attiré mon attention sur ce phénomène, me révélant au cours d’entretiens, dans des lettres et des confidences, l’ampleur de cet acharnement thérapeutique. On importune systématiquement les gens avec des actes médicaux qui ne leur sont d’aucune utilité. Chacun d’entre vous a déjà fait ou fera un jour l’expérience de traitements superflus.
Que le présent ouvrage ne vous trompe pas : je suis parfaitement conscient des nombreux bienfaits de la médecine, dont je souhaite moi aussi profiter. Mais ignorer le mal que peut faire la médecine sous prétexte qu’elle fait aussi beaucoup de bien ne rendrait service à personne. La plupart du temps, d’ailleurs, les personnes à l’initiative des travaux et résultats que je présente dans ce livre sont des médecins. Je partage leur avis : la médecine ne peut s’améliorer que si elle surmonte ses erreurs. Porter un regard réaliste sur la médecine permet en outre de modérer des attentes démesurées. Dans de nombreux cas, l’individu peut plus pour sa santé que la médecine moderne.
Le vieillissement de la société nous obligera à bien gérer les ressources de la médecine. En Allemagne, par exemple, aucune tranche d’âge ne connaît une croissance aussi rapide que celle des centenaires. En 2050, les soixante ans et plus représenteront un tiers de la population. Cette évolution nous offre une chance extraordinaire : celle d’améliorer, pour chacun d’entre nous, la qualité des soins médicaux. Nous ne pourrons et ne voudrons plus nous permettre de recourir à des traitements superflus, absurdes ou faisant appel à une débauche de moyens. Il n’y a aucune raison de croire qu’on doive se battre un jour pour la répartition de médicaments ou de thérapies. C’est le message positif de ce livre : les gens les mieux informés sont aussi ceux qui se soumettent le plus rarement à un traitement médical.


Jörg Blech, 
Hambourg, juillet 2005.


I

LE CÔTÉ OBSCUR DE LA MÉDECINE

L’INUTILITÉ TOTALE DE NOMBREUX TRAITEMENTS

Le médecin Dierk Maass tire avec un canon laser sur un cœur battant, le transperçant de vingt à trente trous. Des nuages de fumée blanche montent de la cage thoracique du patient. Pour refermer les plaies, le professeur n’a qu’à poser son doigt sur les points d’impact. Les trous pratiqués au laser sont censés faire apparaître de minuscules vaisseaux à l’intérieur du muscle cardiaque et approvisionner le cœur malade en oxygène tout frais.
Maass, chef du centre de cardiologie de Kreuzlingen, en Suisse, annonçait il y a dix ans que le succès de cette méthode était “évident”, ajoutant que 90 % des patients n’avaient “plus aucun symptôme” ou que leur état s’était du moins “nettement amélioré*1”. A l’époque, Maass s’était présenté comme le pionnier de cette spectaculaire opération. Le chirurgien cardiothoracique originaire de Hildesheim avait reçu une standing ovation lors d’un congrès se déroulant à Paris.
Des centaines de milliers de patients avaient repris espoir, la profession était électrisée. La revascularisation transmyocardique au laser (RTML), comme on l’appelle, a également eu tôt fait de conquérir le cœur des médecins allemands. A Marbourg, Lübeck, Hambourg, Völklingen, Berlin et Fribourg, on a acheté des machines à 600 000 euros l’unité. Les docteurs, mais aussi les professeurs, se sont empressés de trouer les cœurs malades. Seules les difficultés de livraison du fabricant pouvaient freiner, provisoirement, la diffusion de la RTML.
Un jour pourtant, la revue spécialisée anglaise The Lancet a consacré un article au laser fumant. Au cours d’une étude clinique, les Anglais avaient réparti en deux groupes 188 malades du cœur. Les médecins ont fait bénéficier le premier groupe de la RTML et d’un traitement médicamenteux classique, tandis que l’autre moitié recevait uniquement des médicaments. Voici comment se portaient les sujets douze mois plus tard : ni l’électrocardiogramme après effort ni le test d’endurance ne donnaient un avantage au canon laser. On constatait au contraire de graves effets secondaires : 5 % des patients étaient morts sous le feu du laser ou immédiatement après ; au total, seuls 89 % des patients soumis à ce traitement avaient survécu un an. La situation était meilleure pour les patients du groupe témoin : 96 % d’entre eux étaient encore en vie au bout d’un an. La conclusion de cette étude publiée en 1999 était claire : “L’utilisation du procédé de la RTML ne saurait être approuvée2.”
D’autant plus que l’examen du cœur de personnes traitées a montré que le feu du laser n’avait fait apparaître aucun nouveau vaisseau sanguin – les chirurgiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Les appareils de RTML posent un problème de déchets dangereux à de nombreux hôpitaux allemands, rapporte Axel Laczkovics, chef du service de chirurgie cardio-thoracique du centre hospitalier universitaire Bergmannsheil de Bochum : “Les coûteux appareils encombrent aujourd’hui les caves des hôpitaux, car on ne peut pas s’en débarrasser facilement. Cela fait bien longtemps qu’on ne les utilise plus.” Pourtant, dans certaines salles d’opération, on continue de pointer le laser sur des malades qui ne se doutent de rien. Le centre de cardiologie de Kreuzlingen, lui aussi, propose toujours la RTML. Le procédé y est vendu aux assurés des caisses privées comme un “nouvel espoir3”.
Ces traitements superflus constituent le côté obscur de la médecine. Les malades viennent se placer sous la protection de la médecine moderne. Ils voient des blouses à la blancheur éclatante, des cachets de toutes les couleurs, des instruments étincelants. Mais que reçoivent-ils en échange de leur confiance ? Le New England Journal of Medicine, référence mondiale dans ce domaine, nous dit que 20 à 40 % de tous les patients sont soumis à des traitements qui ne leur sont d’aucune utilité, ou d’une utilité minime4.
Il ne s’agit pas ici des pannes, d’une jambe amputée du mauvais côté ou d’une agrafe oubliée dans le ventre du patient. Il s’agit de thérapies dont on sait, avant même d’y recourir, qu’elles sont absurdes et nuisibles. Il s’agit des escroqueries au sein du système.
Ne ressentez-vous pas parfois, vous aussi, comme un pincement ou une douleur lancinante dans le genou ? L’arthrose du genou due à l’usure des articulations est un mal très répandu, des centaines de milliers de personnes sont opérées chaque année en Allemagne. On nettoie les articulations, on lisse le cartilage. “Je suis à la fois médecin et patient, déclare William Tipton, cadre de l’Association américaine des chirurgiens orthopédistes. J’ai un genou cabossé, mais je ne ferai pas d’arthroscopie : je sais que ça ne sert à rien5.”
La médecine nous offre beaucoup de bonnes choses, mais trop de thérapies sont de parfaites impostures. C’est cette histoire que nous allons raconter ici. L’histoire de ces diagnostics, de ces prescriptions et de ces opérations dépourvus de toute nécessité sur le plan médical. Ils s’expliquent par des erreurs, de fausses conclusions – ou des intérêts financiers.
Dans le cadre de la “commercialisation totale de notre système de santé”, nous prévenait la revue Deutsches Ärzteblatt il y a des années déjà, les médecins deviennent “des mécaniciens de la santé et/ou des entrepreneurs et des commerçants6”. La raison de leurs agissements : l’idée quasi pathologique selon laquelle on pourrait guérir des malades comme on répare des voitures cabossées. “Le système est fondé sur la technique et les machines, déclare Marcus Schiltenwolf, professeur d’orthopédie de l’université de Heidelberg. Or l’homme n’est ni un objet, ni une machine.”
De nombreuses actions entreprises dans le cadre de ce marché de la réparation, qui pèse des milliards, s’avèrent n’être que du bluff. Maintes études, dont celle menée par l’Agence américaine d’évaluation technique, l’ont montré : seuls quelque 20 % des médicaments courants ont un effet assuré7. “La médecine clinique, pouvait-on lire dans The Lancet, la plus grande revue spécialisée, semble englober les quelques choses que nous savons, les quelques autres que nous croyons savoir (mais que nous ne savons probablement pas), et toutes les choses dont nous n’avons aucune idée8.”
La plupart des thérapies ne sont mises en œuvre que parce que les médecins y croient.
La chirurgie attire depuis toujours les procédés absurdes. Selon des chirurgiens du CHU de Heidelberg, qui se sont exprimés dans le Deutsches Ärzteblatt, il est difficile de justifier d’un point de vue scientifique le fait de découper les chairs et scier les os : “On ne dispose aujourd’hui de données provenant d’études randomisées* et contrôlées que pour moins de 15 % de toutes les questions que soulève la chirurgie9.” En clair, cela signifie que pour six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout.
Le manque de preuves ne signifie bien évidemment pas que la totalité des nombreuses méthodes non vérifiées ne vaut rien et est donc superflue. Mais il nous aide à comprendre comment il est possible que tant de traitements inefficaces fassent partie du répertoire de la médecine.
Avez-vous déjà eu les oreilles qui sifflent ? On estime entre 17 000 et 250 000 le nombre de gens qui, chaque année en Allemagne, sont atteints d’une perte subite de l’audition. Des milliers d’entre eux se voient administrer des perfusions de dextran en solution aqueuse, de glucocorticoïde, de narcotiques, d’hydroxyéthylamidon, d’extraits de gingko, etc. Le patient reste perfusé plusieurs heures, et peut subir cette procédure jusqu’à une dizaine de fois. Pourtant, ce traitement apparemment si élaboré est une imposture sur le plan thérapeutique. Des études ont comparé ces substances avec d’autres thérapies et des placebos : l’efficacité de ces substances n’a jamais pu être prouvée, ni même considérée comme probable10.
Bien au contraire : Johannes Köbberling, spécialiste de médecine interne à Wuppertal, nous met en garde contre le danger de mort que peuvent constituer ces perfusions. Lorsque, par exemple, le tuyau de la perfusion contient des bactéries qui passent dans le corps et, cela est déjà arrivé, provoquent un empoisonnement du sang fatal au patient. Beaucoup de thérapies par perfusion se passent pourtant très bien, ce dont on peut se réjouir, mais il y a à cela une raison toute banale : dans 70 à 90 % des cas, les symptômes de la perte subite de l’audition disparaissent tout seuls. Il n’est donc pas étonnant que les médecins fassent volontiers passer diverses substances et produits chimiques dans le corps des gens, et qu’ils justifient cette activité par les “expériences traditionnellement bonnes” qu’ils ont pu faire. La Société allemande d’oto-rhino-laryngologie propose dans une directive le recours à cette lucrative thérapie, dont on estime qu’elle rapporte chaque année à ses membres et à d’autres médecins quelque 500 millions d’euros – ce qu’elle justifie en invoquant “l’intuition” et “l’expérience personnelle11”.
Dans les hôpitaux, il est tout à fait courant de soumettre les femmes atteintes d’un cancer du sein à une intervention chirurgicale afin de leur ôter les ganglions lymphatiques situés sous les aisselles. Cette opération, qui part d’une bonne intention, est censée endiguer la maladie. Or, des études l’ont montré, elle n’a aucun effet positif sur les chances de survie. Et elle inflige aux femmes des cicatrices, ainsi que des douleurs dont de nombreux chirurgiens n’ont pas conscience. Souvent, les patientes ne peuvent plus bouger les bras comme avant. Des médecins du centre hospitalier universitaire Großhadern de l’université de Munich affirment qu’au lieu de les aider cette opération entraîne une détérioration de leur qualité de vie. Par le passé, Jutta Engel opérait elle-même les ganglions lymphatiques de ses patientes ; aujourd’hui, elle se bat pour qu’on soumette ce traitement superflu à un examen critique12.
La médecine moderne connaît une évolution paradoxale. Malgré les énormes progrès qui ont été réalisés, les gens ne sont pas en meilleure santé. La médecine a-t-elle franchi le seuil au-delà duquel ses bienfaits se changent en nuisances ? Certains chercheurs répondent par l’affirmative et nous donnent des exemples concrets : si l’on fait une comparaison au niveau mondial, l’Allemagne est un des pays qui consacrent le plus d’argent au complexe médico-industriel, or, par rapport à ceux des autres pays industrialisés, ses habitants ne sont nullement en meilleure santé que la moyenne ; au contraire, ils se situent plutôt en queue de peloton. Les Etats-Unis sont les champions du monde des dépenses ; comparés à leurs voisins canadiens, les citoyens américains subissent sept fois plus de pontages et leurs dépenses de santé sont de 75 % plus élevées. L’espérance de vie des citoyens américains est plus basse que celle des Canadiens, et les médecins américains gagnent presque le double de leurs collègues canadiens13.
Il serait naïf de croire que les arguments qui décident du sort d’un patient sont d’ordre strictement médical. Le fait que quelqu’un soit opéré, ou non, dépend beaucoup de l’endroit où il habite. Par rapport au nombre d’habitants, il y a trois fois plus d’oto-rhino-laryngologistes en exercice à Bâle que dans le canton des Grisons. La conséquence : 40 % des adultes bâlois n’ont plus leurs amygdales, alors que, dans les Grisons, ce n’est le cas que de 25 % d’entre eux. Le pourcentage de femmes à qui on a enlevé l’utérus est deux fois plus élevé en Suisse qu’en France – on ne dispose d’aucun argument médical pouvant expliquer cette différence14. Les Allemands sont les champions de la cardiologie interventionnelle : par rapport au nombre d’habitants, l’examen avec cathéter n’est jamais pratiqué aussi souvent qu’en Allemagne.
Outre le lieu de résidence, ce sont aussi les préférences du médecin consulté qui nourrissent cette médecine arbitraire. Admettons qu’un seul et même patient, qui souffre d’un mal donné, consulte plusieurs spécialistes, ils lui découvriront les maladies les plus diverses et leurs prescriptions seront complètement différentes : c’est le principe du “dis-moi qui tu consultes, et je te dirai ce que tu as” (who you see is what you get).
L’équipe de Richard Deyo, de l’université de Washington à Seattle, a étudié ce phénomène en prenant l’exemple du mal de dos : les chercheurs ont présenté à des médecins des résultats clairs et standardisés, et leur ont demandé comment ils traiteraient ces cas. Les rhumatologues, deux fois plus souvent que les autres médecins, étaient d’avis qu’il fallait faire certaines analyses en laboratoire car ils pensaient à une maladie arthritique. Les neurochirurgiens, deux fois plus souvent que les autres, préconisaient une radio du dos : selon eux, des disques intervertébraux endommagés étaient la cause du mal. Quant aux neurologues, ils plaidaient, trois fois plus souvent que leurs confrères, pour que l’on procède à une électromyographie, afin de repérer, à l’aide d’électrodes aiguilles, les nerfs ou les muscles déficients. “Si les patients sont déconcertés, qu’ils sachent bien qu’ils ne sont pas les seuls”, déclare Deyo15.
Ce manque de clarté entraîne des thérapies inappropriées. C’est ce que nous montre le destin des personnes qui souffrent du syndrome du côlon irritable et vont chez le médecin parce qu’elles se plaignent de maux de ventre, d’intestins qui gargouillent et autres douleurs caractéristiques. Eh bien, on leur enlève gaiement des organes – et, curieusement, ce ne sont jamais les mêmes. Les patients qui souffrent du syndrome du côlon irritable se font enlever l’appendice et l’utérus deux fois plus souvent que le reste de la population, quant à la vésicule biliaire, elle leur est ôtée trois fois plus souvent. On s’attaque même à leurs disques intervertébraux ; ils sont 50 % de plus à subir une opération du dos. Cette manie de l’opération n’est nullement justifiée – les gens qui souffrent de ce mal n’ont en général rien à faire sur le billard16.
Selon les calculs de Nicholas Talley, médecin à la Mayo Clinic de Rochester (Etats-Unis), l’ablation de la vésicule biliaire, que l’on fait subir sans raison à ces patients, entraîne à elle seule d’importants préjudices. Les symptômes typiques du syndrome du côlon irritable : maux de ventre, diarrhée, constipation, concernent environ 29 millions de personnes aux Etats-Unis (soit 10 % de la population en 2003). Admettons que 30 % d’entre elles (9,6 millions de personnes) aillent consulter, 8 % se voient tôt ou tard enlever la vésicule biliaire ; le nombre des ablations inutiles s’élève à 768 000. En rapportant ce chiffre aux statistiques des risques que présente l’opération, on peut voir les conséquences fatales de cette pratique : 770 personnes meurent pendant ou juste après l’opération ; 38 000 autres sont blessées en raison d’erreurs thérapeutiques. Pour Talley, il est urgent de prendre des mesures contre cette chirurgie inutile, et ce “afin de protéger les gens17”.
Les patients souffrant du syndrome du côlon irritable ne sont pas les seuls à obtenir systématiquement des diagnostics erronés. L’équipe du médecin Kaveh Shojania, de l’université de Californie à San Francisco, a exploité des rapports d’autopsie établis sur quatre décennies (entre 1959 et 1999). Dans un quart des cas, l’autopsie a révélé un diagnostic erroné. Dans 9 % des cas, le mauvais diagnostic lui-même était la cause partielle, ou parfois même exclusive, du décès18.
Certains médecins qualifient cette errance des gens dans le monde médical de “syndrome d’Ulysse”. La plus grande menace, dans ce labyrinthe, c’est l’excès de médecine. Lucian Leape, chirurgien et chercheur spécialisé en santé publique à l’université Harvard de Boston, a été l’un des premiers à décrire toute l’ampleur de la chirurgie inutile. Les chiffres varient selon la nature de l’opération et la spécialité. Dans certains domaines, ce sont 8 % des interventions qui sont inutiles, dans d’autres, on ne trouve pas moins de 86 % d’opérations non justifiées d’un point de vue médical. Dans ce cas, les chirurgiens responsables ne peuvent que provoquer des lésions ou des décès19.
Quelques années ont passé depuis l’analyse de Leape mais, selon Christian Köch, titulaire de la chaire de politique et management en matière de santé publique à l’université de Witten/Herdecke, ce problème n’est nullement résolu. “Selon le domaine, entre 15 et 50 % de toutes les interventions sont inutiles.” Le fait qu’une grande partie de la population soit systématiquement importunée par des interventions et des traitements absurdes est mis en évidence dans le rapport rédigé en 2001 par le conseil d’experts chargé de l’évaluation des développements du système de santé allemand20. On peut y lire qu’une caractéristique essentielle de ce système est d’être marqué par la dominance d’une “surabondance structurelle de soins”. Concernant le très répandu mal de dos, les experts constatent “un recours démesuré à la radiographie diagnostique ainsi qu’à des procédés thérapeutiques invasifs”. En Allemagne, on recourrait également bien trop souvent au cathéter pour traiter les malades du cœur, à la radiographie, à l’ablation des seins et à des chimiothérapies à haute dose pour les patientes atteintes d’un cancer du sein.

01 SEP 2013 

La plupart des médicaments sont en fait des poisons dangereux

 

de Radu Alexandru

Devise: „Le bon médecin recommande toujours très peu de médicaments” 
– Benjamin Franklin 

„Si le patient savait qu'une seule capsule de Chloromycetin détruit irréparablement la moelle épinière ou provoque la leucémie, pensez-vous qu'il continuerait de prendre ce médicament ? En 1976 ont été écrites (seulement aux USA) plus de 500.000 recettes pour ce médicament” 
– Dr. Keith A. Lasko 

Nous vous présentons dans cet article une série de scandales qui ont impliqué au fil du temps les industries pharmaceutiques du monde entier et les dénominations de quelques médicaments qui ont tué des milliers de gens. Dans le cas d'un tel médicament nous précisons s'il est commercialisé ou non en Roumanie et éventuellement par quelle compagne et sous quel nom (si celui-ci est différent du nom original). 

À cause des effets secondaires graves, une série de médicaments ont été retirés du marché de certains pays. Cependant, ils continuent à être commercialisés dans d'autres pays. La Roumanie est un bon marché pour des médicaments criminels interdits dans d'autres pays.

Les effets secondaires graves peuvent signifier la mort et des maladies sévères dues aux médicaments en question. En général, du point de vue légal, seulement la mort ou les lésions majeures de santé chez ceux qui ont utilisé un certain médicament peuvent conduire à son interdiction. De rares fois on arrive à interdire un tel médicament seulement à cause de certains symptômes considérés comme „mineurs” et cela se passe d'habitude après des décennies d'utilisation.

L'irresponsabilité, le cynisme et l'avarice de ceux qui détiennent ces firmes de l'industrie pharmaceutique sont si grands, que même dans le cas d'interdiction, les médicaments continuent à être fabriqués et vendus dans d'autres endroits sur le globe. Cela parce que l'interdiction reste valable seulement dans le pays où il existe des “victimes reconnues” et où les autorités médicales ont pris des mesures. En conséquence, les médicaments interdits en Angleterre ou Allemagne continuent à être vendus aux USA, en Afrique ou dans d'autres pays ou l'inverse. Donc l'industrie pharmaceutique continue à vendre des substances qui produisent des maladies et la mort, bien que CELA SOIT TRÈS BIEN CONNU. 
L'industrie pharmaceutique est-elle intéressée pour guérir les gens, ou plutôt à gagner de plus en plus d'argent gràce à la vente de médicaments ?

Des dizaines de médicaments sont retirés annuellement du marché
à cause des effets secondaires graves

Un premier exemple est le sirop contre la toux avec du Clobutinol. Celui-ci, après avoir intensément été utilisé pendant plus de 40 ans, a été interdit en 2007, étant constaté qu'il produisait une arythmie des battements du coeur. Voilà quelques-uns des noms sous lesquels il a été commercialisé : Silomat, Clobutinol, STADA, Tussed, Rofatuss, Nullatuss.
En Roumanie, le médicament Silomat à base de Clobutinol, produit par la compagne Boehringer Ingelheim a été disponible dans les pharmacies sans prescription médicale jusqu'en 2007. Ensuite il a été retiré du marché, suite à une directive de l'Agence Européenne pour l'Évaluation des Médicaments.

Les vieux médicaments, qui sont en circulation depuis des décennies n'ont été soumis à aucun test, et ils continuent à être vendus dans certains pays, bien que dans les pays où ils ont été soumis aux tests, ils ont été interdits. Jusqu'en 1978 l'industrie pharmaceutique n'était pas obligée de prouver que les médicaments ont les effets mentionnés dans les études. Depuis il est montré - d'après des tests sur les animaux, tests qui ne prouvent rien en fait - que les médicaments ont des effets sur les animaux. Plus précisément que les animaux ne meurent pas immédiatement après avoir ingurgité ces médicaments, conçus en fait pour les humains. Sauf que les tests sur les animaux n'ont aucune valeur scientifique.

Nous énumérons ci-après quelques-uns des scandales choquants liés aux médicaments : 

Le spray pour l’asthme Isoproterenol, commercialisé sous le nom de Isuprel, a tué durant les années '60 environ 3500 patients. Cependant, il continue d'être commercialisé dans notre pays et il est recommandé pour différentes affections du coeur. 

Il a été prouvé que le médicament Stilbestrol provoque des tumeurs utérines et mammaires chez les femmes et il a été interdit dans certains pays européens. En Roumanie il est produit et commercialisé par quatre compagnes pharmaceutiques : Amniocen, Farmacom, Imedica, Mediplus Exim.

Un scandale lié au bien connu Paracetamol a eu lieu en Angleterre en 1971. 1500 patients ont été admis à l'hôpital après avoir utilisé du Paracétamol. La plupart d'entre-eux ont eu des problèmes encore plus graves à l'hôpital à cause du traitement ultérieur. 

Aux USA le médicament Orabilex a créé des maladies de reins qui ont conduit à la mort. 

Le somnifère Contergan a fait en sorte que des dizaines des milliers d'enfants soient nés dégénérés du point de vue physique. En Allemagne, en 1958, le producteur de ce „médicament” a envoyé plus de 40.000 lettres chez les médecins pour les convaincre qu’il s’agissait du meilleur somnifère pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent. Malgré le scandale lié au Contergan, les sociétés pharmaceutiques concernées ont continué à vendre des poisons aux femmes enceintes et aux enfants. En 1978 il a été rendu public que les médicaments Primodos, Amonorn, Duogynon, Bebendox et Bendectin ont produit des malformations chez les nouveaux-nés. 

En 1970 ont été retirés du marché les tranquillisants Pronap et Plaxin parce qu’ils provoqueient la mort des nouveaux-nés. 

Trilergan a été confisqué par la police en 1975 en Italie parce qu'il produisait de l'hépatite (donc l'hépatite ne provient pas forcément d'un virus, tel qu'il était cru jusqu'à cette époque).

Flamanil, un médicament rhumatoïde, a été retiré en 1976 du marché, après que l’on ait constaté qu'il conduisait à la perte de conscience. Ce médicament continue à être commercialisé en Espagne.

En 1979 il a été officiellement reconnu que le Valium crée une dépendance, même à des petites doses. Plus de 15% des américains adultes ont pris régulièrement du Valium.

Les inhibiteurs d'appétit Preluin et Maxiton ont été retirés du marché en Allemagne après que l’on ait constaté qu'ils provoquaient des effets négatifs graves au niveau coeur et du système nerveux. 

Le médicament pour les affections du coeur Eraldin, recommandé entre 1970 et 1975 à un nombre de plus de 100.000 britanniques, a provoqué des problèmes des yeux et des intestins, aussi que des nombreux décès. Eraldin existe aussi dans les pharmacies roumaines. 

Il a été constaté que l'antinévralgique Phenacitin, vendu dans le monde sous 200 noms différents, empêche le bon fonctionnement des reins, en les détruisant même complètement, qu’il produit des tumeurs aux reins et qu’il détruit les globules rouges du sang. Un autre antinévralgique, Amydorphirin a été interdit en plus de 160 pays (mais il continue d'être vendu dans certains) parce qu'il empêche la formation des globules blancs du sang, ce qui conduit à la mort. Les antinévralgiques et les antirhumatismiques Tanderil et Butazoludin (Ciba-Geigy) ont conduit dans le monde entier à la mort de plus de 10.000 patients. 

Un des pus populaires médicaments de Roumanie, l'algocalmine, est un des remèdes les plus toxuiques qui se trouvent sur le marché. L'algocalmine est interdit dans la plupart des pays et il est drastiquement restreint dans le reste des États. Les médecins disent que ce médicament peut provoquer une maladie fatale, qui détruit les cellules de la moelle osseuse, se trouvant en étroite liaison avec les cellules sanguines. 
Par cause de la désinformation ambiante, les roumains profitent du prix accessible de ce médicament, en l'achetant à large échelle, même si dans d'autres pays comme la Belgique, il est sur la liste des poisons.

En 1978 le médicament complètement inutile Oxichinolin, recommandé pour les problèmes digestifs, a provoqué un scandale mondial : plus de 30.000 personnes ont été rendues aveugles ou ont subi des paralysies des jambes suite à son utilisation. Ce médicament a provoqué aussi de nombreux décès (plus de 1000 seulement au Japon). 

En 1977 a été retiré du marché le Phenformin, un médicament pour les diabétiques, après avoir fait plus de 1000 victimes chaque année! 

Le Rasperpin, médicament contre l’hypertension, fait augmenter trois fois le risque de cancer du sein, il provoque des cauchemars et des dépressions et il est soupçonné de produire des tumeurs au cerveau, à l'hypophyse, à la peau, aux ovaires et à l’utérus. 

Le New York Post a écrit que plus de 852 patients auxquels on a été injecté le médicament pour le coeur Epinepheren sont décédés. 

Le Daily Telegraph a rendu public en 1983 que l'anesthésique Hypnomidate a conduit dans un hôpital d'urgence de Glasgow à la croissance rapide des décès. Mais les médecins ont refusé de rendre public le nombre des décédés suite à l'application de ce traitement. En Roumanie, il continue d'être utilisé dans des hôpitaux, comme anesthésique administré comme solution injectable. 

En 1983 ont été rendus publics en Suède des dossiers secrets de la firme Ciba-Geigy d'où il ressortait que le consortium Ciba-Geigy était informé de la mort de plus de 1182 personnes à cause de l'antirhumatismal Butazolidin et Tanderil. Selon d'autres sources, les vrais chiffres des décès à cause de ces médicaments sont de plus de 10.000. Dans notre pays (la Roumanie), le Tanderil continue à être commercialisé comme médicament antirhumatismal.

Le New York Times a écrit en 1984 que le médicament Selacryn 1980 a été retiré du marché après avoir été reconnus comme cause de 510 cas de destruction du foie et des décès. 

Selon le journal Guardian du 4 janvier 1985, le médicament contre les infections provoquées par des champignons, Nizoral, a conduit à plus de 5 décès et à 77 cas de maladie graves. 

En mars 1985 le journal Neue Presse, a rapporté que le Fansidar, médicament contre la malaire, a conduit à des maladies graves de la peau, avec danger de mort. En Roumanie, le médicament est recommandé par les médecins parasitologues pour traiter la toxoplasmose. Il continue à être commercialisé dans certaines pharmacies. 

En juillet 1985, le journal Guardian écrit que les somnifères Largactil ont été retirés du marché parce qu'ils ont conduit à des dysfonctions graves du cerveau. La substance connue aussi sous le nom de largactile ou torasine est un neuroleptique d’ancienne génération, utilisé encore dans certains hôpitaux psychiatriques. Il a des effets désastreux sur l'organisme. Le chiffre des victimes se monte à un million de gens qui sont tombés malades de dyschinésie, de déréglages de l'appareil locomoteur après lesquels ils ont perdu pour toujours la capacité de contrôler les muscles de la langue ou leur corps tout entier. 

En décembre 1985, le consortium Ciba-Geigy a été mis dans la situation de reconnaître publiquement qu'il a falsifié les données de 46 antibiotiques et d'autres médicaments lorsque le Ministère de la Santé les a sollicités. 

En mai 1985, les autorités des USA et de la Grande Bretagne ont interdit la recommandation des hormones de croissance, parce que les patients qui les utilisent tombent malades d'infections incurables, même plusieurs années plus tard. Les hormones en question ont été obtenues du cerveau des morts ! 

En décembre 1985 le Guardian a rapporté que les antidépresseurs Merital et Nomifensin produisent l'arrêt de fonctionnement des reins, de l'anémie et de la pneumonie. Le Nomifensin est recommandé en Roumanie pour les consommateurs de drogues. Toujours en décembre 1985 le même journal a rapporté que plus de 2000 personnes sont tombées malades à cause du médicament Felden administré par voie rectale. Ce médicament se trouve à présent dans les pharmacies roumaines. 77 patients sont morts, presque tous parce que les intestins se sont rompus ou ont commencé à saigner. Le consortium Pfitzer (le producteur du Viagra) a déclaré comme auparavant, que ce médicament est „bien toléré” par les patients. 

Le vaccin HEXAVAC utilisé depuis l’an 2000, avec lequel ont été vaccinés déjà 1,5 millions d'enfants en Allemagne a été retiré du marché en 2005 parce que „il ne fonctionne pas tel qu'attendu et il n'offre pas de protection”. C'est la déclaration officielle, il se peut qu'il produise des maladies ou la mort évidente. Les morts et ceux qui sont restés malades pour toute leur vie à cause des vaccins n'apparaissent pas trop dans la presse. Ce vaccin a aussi été utilisé en Roumanie, mais à présent il est retiré du marché.

Le vaccin contre les maladies crées par les tiques, TicoVac, le seul vaccin de ce genre pour les enfants, a été retité du marché en 2006 parce qu'il provoquait une puissante fièvre et des effets secondaires massifs. 

Le médicament Vioxx de la Firme Merck pour traiter l'arthrose et les douleurs aux articulations, utilisé par plus de 120.000 patients en Allemagne a été retiré du marché en octobre 2004 parce qu'il produisait des attaques et des maladies de coeur. Bien que la firme que le produisait connaissait depuis longtemps les effets négatifs provoqués par ce médicament, il n'a été retiré du marché qu'en 2004, sous la pression des autorités. Ce médicament a aussi été retiré du marché roumain.

L'antiinflammatoire Prexige de la compagne Novartis contre l'arthrite a été retiré du marché en août 2007 parce que plusieurs patients sont morts après l'avoir pris. Le médicament Bextra pour soigner l'arthrite, et produit par la firme Pfizer, a été retiré du marché en 2005 à cause du risque majeur d'attaques et de congestion cérébrale. Ces médicaments n'ont pas d'autorisation de vente en Roumanie. 

Il a été constaté que les barbituriques ne calment pas l'insomnie, mais l'aggravent.

Le Zelmac, médicament utilisé contre les affections digestives, qui est vendu en Roumanie à l'heure actuelle, produit par la compagne Novartis, a été retiré du marché en Allemagne en avril 2007, bien qu'il ne soit même pas encore approuvé, et étant utilisé de façon illégale par les médecins dans le but de le tester pour l'industrie pharmaceutique. 

Un très grand scandale avec beaucoup de victimes :le Lipobay, un médicament qui diminue le cholestérol, il a été retiré du marché en 2001. Il avait provoqué des centaines de décès. La firme Bayer, qui l'a produit a été convoquée en justice plus de 1000 fois à cause de ce médicament. 

Le Thyreotom forte, un médicament pour remplacer l'apport d'hormones thyroïdiennes chez les patients souffrant d'hypothyroïdie a été retiré du marché en Allemagne en 2005. En Roumanie il continue à être recommandé par les médecins et il se trouve en pharmacie.

Le Ketotifen, un médicament pour le traitement de longue durée de l'asthme bronchique allergique ou avec composante allergique et des troubles asthmatiques a été retiré du marché en 2006 marché en Allemagne, à cause des effets secondaires. En Roumanie il se trouve en pharmacie. 

Le Terfenadin, un antiallergique, il a été retiré du marché dans plusieurs pays européens. En Roumanie il se trouve encore sous le nom d’Histadin, un sirop utilisé dans le traitement des symptômes de plusieurs affections allergiquse et dans la prévention et le traitement des réactions allergiques à la transfusion de sang.

Le Tenuate Retat – un médicament qui diminue l'appétit, a été retiré du marché en Allemagne en 2000. 

Le Merzol, médicament contre l'allergie solaire, il a été retiré du marché en 2005 à cause d’effets secondaires graves. 

La FDA (Food and Drugs Administration – USA) a recommandé en 2000 à la firme Glaxo-Welcome de retirer du marché le médicament Lotronex pour les intestins, à cause du décès de quelques patients qui ont utilisé ce médicament. 

L’ Exanta, à base de Ximelatragan et approuvé en 2004 contre les thromboses, a été retiré du marché en février 2006 en Allemagne à cause des graves effets négatifs sur le foie. Ce médicament n'a pas été commercialisé dans notre pays.

Le Trovan, un antibiotique, a provoqué des décès et de graves lésions, à un point qu'il a été retiré du marché à peine moins d’un an après sa mise sur le marché. Bien que les tests réalisés avant d'être approuvé aient montré que le Trovan nuisait au foie, la firme Pfizer ne l'a pas considéré comme dangereux. Le commentaire de la firme : „Le Trovan a été le médicament le mieux testé du marché, bien mieux que la pénicilline, par exemple”. 
Lié au même médicament, les autorités nigériennes ont accusé au tribunal la firme Pfizer et accusent la compagne pharmaceutique d'implication dans la mort de quelques enfants auxquels a été administré du Trovan, dans la période où cet médicament n'était pas encore approuvé, pendant une épidémie de méningite. 

Le Parkinsan, médicament contre la maladie Parkinson, de la Firme Byk Gulden, vendu à plus de 130.000 exemplaires par an, crée de grands déréglages du rythme cardiaque, qui mettent en danger la vie des patients qui l'utilisent. Des recherches sont réalisées pour décider s'il va être interdit ou pas. La firme s'excuse en disant : „Son fonctionnement et sa garantie ont été prouvés par des études”. 

De l’Urethan les médecins disent qu'il guérit la leucémie. Mais il a été constaté qu'il provoque le cancer au foie, aux poumons et à la moelle osseuse. 

Le Methotrexat, médicament recommandé aussi contre la leucémie, a produit des tumeurs et a conduit à une grave anémie et à la rupture des intestins. En Roumanie il est commercialisé et recommandé pour réduire les douleurs et les douleurs articulaires.

Le Mitothan, un autre médicament contre la leucémie, mène à la mort des reins secondaires. Dans notre pays il se trouve sous le nom de Lysodren et il est utilisé dans le traitement du cancer de la couche extérieure de la glande surrénale. Il est produit dans les laboratoires Hra Pharma, en France.

L'antibiotique Isoniazid mène à la mort du foie. Il est commercialisé en Roumanie.

L'antibiotique Kanamyzin produit une insuffisance rénale et attaque les nerfs de l'audition.

Le Bismut, médicament recommandé contre la diarrhée et même contre la constipation (sic!) produit des intoxications graves. En France ont été rendus public plusieurs milliers de cas de ce genre. 

En 1984, le journal le Daily-Mail a rapporté que le médicament contre l'acné, Roacutan, médicament recommandé à présent aussi, a conduit, pour la moitié des enfants des mères qui l'ont utilisé durant leur grossesse, à des malformations très graves. Le Roacutan continue à être recommandé par les médecins roumains.


Bibliographie:
Hans Ruesch: Die Pharma Story, München 2002, www.wissenschaf%20t-unzensiert.de/med12_2.htm 
01 SEP 2013 

La fraude médicale, les rois de la corruption

extraits :

Le Dr Benjamin Rush, médecin de George Washington et signataire de la Déclaration d'Indépendance des États-Unis en 1776, avait prévenu: 

« À moins que nous n'incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment. » 


Il y a un autre aspect de la fraude à très large échelle au sein d'un paquet d'industries pharmaceutiques, corruptrices jusqu'à la moelle. Cette industrie ne se contente pas seulement de corrompre des ministres, ou des personnes des instances européenne du médicament, elle ne se contante pas seulement de soudoyer des présidents d'ordre de médecin, elle ne se contente pas de faire des tests sur des orphelins pour qu'aucuns parents ne crient au scandale. C'est tout au long de la chaîne que la moisirure morale, l'état mentale MAFIEUX qui fait de cette industrie une usine pire que les cheminées des camps de concentration, car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieur au camps de la mort, même si cela vous semble impossible.

Par exemple les essaies de médicaments biaisés, trafiqués, truqués sont légion, ceci semble pas du tout connu par l'ensemble de la population qui continue à faire des dons pour des tas de recherches médicales "dites" scientifiques pour les rassurer mais mieux les plumer; ce qui semble de plus en plus scientifique: c'est l'opérandi mafieux de cette l'industrie, et là il est tant de dire stop.

Par exemple les essais cliniques biaisés de médicaments pris en dernière phase d'admission sur le marché: 
Le biaisage organisé des résultats commence au moment où on remarque que le médicament est considéré comme n'étant pas plus efficace qu'un placebo --- Alors la société pharmaceutique (qui parraine) biaise volontairement alors les résultats. L'essaie est étudié rétrospectivement, on remonte en arrière pour trouver une date antérieure au moment où les cobayes humains peuvent être affichés comme étant mieux portant que les cobayes humain de l'expérience prenant une pilule en sucre (ou plus le médicament). L'essaie clinique est alors remis en page on lui refait la façade pour la publication comme s'il était un essaie plus court, un test pour commencer alors qu'il a été refondu et écourté. Et les preuves accablantes de l'inefficacité sont sabordées, mises au oubliette, pouff passé au trou noir.

... voir par ici...>

One of the key early studies done on Xanax, funded by the manufacturer, Upjohn, was led by James Ballenger and published in the Archives of General Psychiatry 45 (1988): 413-22. 

Psychiatrist and author Peter Breggin checked out Upjohn ads which were stating that the effects of the drug had been tallied for eight weeks. But the small print indicated Xanax had only been evaluated for four weeks. 


01 Février 2008


La mise en examen de responsables des sociétés pharmaceutiques GlaxoSmithKline et Sanofi Pasteur MSD pour "tromperie aggravée" et celle de cette dernière pour "homicide involontaire" concerne potentiellement la majeure partie de la population du pays. De 1994 à 1998, 14 millions d'adultes et sept millions d'enfants de moins de 15 ans ont été vaccinés contre l'hépatite B.


USA: un laboratoire poursuivi pour vente d'antidépresseurs pour enfants

WASHINGTON - Le gouvernement américain a déposé plainte mercredi contre le laboratoire pharmaceutique Forest qui a selon lui mis en vente des anti-dépresseurs pour enfants, contre l'avis de l'autorité régulatrice, et a payé des pots-de-vins à des médecins pour les prescrire.

(©AFP / 25 février 2009 23h27)


 

News Target a obtenu des
documents de la FDA
(Food and Drug Administration)
et d'autres sources qui révèlent:
la FDA était tout à fait au courant depuis plusieurs années que le Virus Papilloma humain (HPV) n'a AUCUN lien direct avec le cancer du col.
NewsTarget.com a aussi appris qu'il a été prouvé que le vaccin contre le HPV n'avait aucune valeur pour enlever le virus HPV des femmes qui avaient déjà été exposées au HPV (et qui incluent la plupart des femmes sexuellement actives), remettant ainsi en question la justification scientifique de la politique de "vacciner obligatoirement tout le monde". 

Cette histoire révèle l'évidence: le vaccin GARDASIL (de Merck, la même firm produisant le mortel vioxx) couramment administré pour le HPV peut augmenter le risque de lésions cervicales précancéreuses à un taux ALARMANT de 44,6% chez certaines femmes.

Il s'avère que le vaccin peut être de loin PLUS dangereux pour la santé des femmes que de ne rien faire. Cette information révèle des détails sur une énorme fraude à la santé publique qui est pérpétrée sur le peuple américain, incluant les responsables de la FDA, les promoteurs des industries pharmaceutiques et même les gouverneurs de certains états comme le Texas. 

http://www.naturalnews.com/Report_HPV_Vaccine_5.html
Près de 200 écolières de l'État de Victoria ont été touchées et 10 jeunes filles ont été admises à l'hôpital après évanouissement ou effondrement suite à l'injection de Gardasil. 


Les experts chargés de conseiller les services de santé pour la mise sur le marché de tel ou tel médicament sont presque tous salariés des laboratoires fabriquant (pour le GARDASI® les deux experts John Bosnego et Alan Show étaient des biologistes employés par le laboratoire fabriquant le vaccin). 


France:

Les laboratoires Eli Lilly ont mis en place une politique de remises tarifaires sur un médicament, le dobutrex, à la CONDITION que les établissements hospitaliers achètent en même temps de la vancomycine, un antibiotique de Eli Lilly. Les hôpitaux se plaignent de la hausse de prix du dobutrex. Ainsi est mise en évidence la stratégie commerciale des laboratoires Lilly. Cette société a jusqu’en 1988 le monopole de la vente de la vancomycine. Mais, à partir de 1988, d’autres laboratoires proposent aux hôpitaux un générique de vancomycine à un prix inférieur. Afin de maintenir sa part de marché sur la vancomycine, la société Eli Lilly décide donc d’utiliser un autre marché, celui du Dobutrex,qui est lui toujours en monopole. Lilly augmente le prix du dobutrex et propose parallèlement d’accorder des remises sur ce même produit, à condition que les hôpitaux achètent sa vancomycine. Les laboratoires Lilly sont donc en position dominante sur le marché du dobutrex et abusent de cette position dominante pour imposer des achats sur le marché de la vancomycine et évincer leurs concurrents.
Car le dobutrex est indispensable, du fait de ses indications thérapeutiques et de ses propriétés pharmacologiques.


Par Byron Richards le 25 janvier 2008:

Le Wall Street Journal titre maintenant

VYTORIN-GATE ...

L'une des plus grandes fraudes de l'histoire des médicaments.

Les compagnies pharmaceutiques Merck et Schering-Plough en cause; dans des mauvais résultats d'essaies de médicaments contre le cholestérol ont ramassées près de 10 milliards de dollars pour la vente d'huile de serpent. Le médicament en question, Vytorin, était censé prouver qu'il pouvait réduire le risque des maladies cardiaques en diminuant l'épaisseur de la carotide. Cette nouvelle est abscente des médias??
Effectivement une nouvelle étude montre que les statines détruisent les muscles, et le coeur est un muscle? 

L'industrie de la STATINE (molécule) est une machine de propagande de 20 milliards de $ par an, produisant des revenus annuels pour cette seule classe de médicaments supérieur à tous les sports professionnels américains réunis! 


Médicaments dangereux (voire mortels), résultats falsifiés, sang contaminé, pollutions diverses, mensonges sur le cancer, le sida, la grippe aviaire, les hormones, les vaccinations…

Sylvie SIMON indique clairement à qui profite cette désinformation et donne la parole à des chercheurs, biologistes, médecins qui tirent la sonnette d’alarme:

source

Fraudes MEDICALES massives au grand jour: 

Une société pharmaceutique corrompt des médecins pour qu'ils prescrivent des médicaments et se lancent dans un simulacre d'essais cliniques!

Cet article doit être lu par tous ceux qui s'intéressent à la façon dont l'Industrie pharmaceutique opère réellement en coulisse. Il s'agit ici d'un cas agressif de marketing ayant mal tourné avec un mélange de physiciens corrompus et médecins qui se foutent royalement des patients sur lesquels ils se font du blé, c'est de leur part un quasi total dénigrement à l'égard de la santé du patient. Des médecins ripoux... en veut-tu en voilà ... 

Et aussitôt c'est du business comme à l'habitude dans le giron pharmaceutiques ... de la grande industrie.
Des MEDECINS qui prescrivent des médicaments d'une entreprise pharmaceutique bien déterminée touchent du fric pour éviter la concurrence d'autres firmes pharmaceutiques sur le même créneau mais tout aussi mafieuses; ainsi ces médecins étaient PAYÉ sous le label "frais de consultation" pas moins de 10.000 $.

Et quel genre de consultation font ces Médecins?

Le genre de conseil qui requiert rien d'autres que de signer en blanc...

une feuille blanche et à encaisser le chèque, bien sûr.

vous allez dire ils sont une minorité de tricheurs et bien non: ils sont des milliers de médecins ayant participé à cette cabale criminelle.

Incommensurables sommes d'argents en échange de fourger la camelote en provenance de SCHERING PLOUGH

Il y a l'industrie pourrie mais aussi un paquet de MEDECINS ripoux de chez ripoux.

Et cela il était temps de le dire
...

Médicaments dangereux: le patient à la merci des accidents !

Pour maintenir un profit élevé alors que l'innovation ne suivait plus, certains laboratoires n'ont pas hésité à sacrifier leurs principes éthiques. Scandales, fraudes scientifiques, falsifications de données, études truquées ou biaisées, documents secrets, effets secondaires minimisés, mensonges et dissimulations. Autant de pratiques qui ont coûté la vie à de nombreux patients. La confiance du public est aujourd'hui au plus bas.



Un très important chercheur du nom de Pearson "Trey" Sunderland III à l'Institut National de santé Américain le fameux (NIH) a été inculpé lundi de violation de la loi sur le conflit d'intérêt criminelle en omettant de divulguer des liens financiers qu'il avait avec le géant de la pharmacie rien de moins que le groupe Pfizer, les procureurs ont dit. Il a été accusé d'un délit portant sur les 285000 $ qu'il a accepté sans divulguer ces honoraires de consultation en provenannce de Pfizer! Sunderland aurait convenu avoir accepter 25000 $ par année en frais de consultation, ainsi qu'une taxe de 2500 $ pour assister à une journée de réunions avec l'entreprise, qui ont été faites entre 1997 et 2004 et cela pendant que des études étaient en cours entre le NIH et Pfizer. Selon le document d'inculpation, Sunderland avait fait un arrangement similaire pour recevoir 25000 dollars de plus par an de Pfizer au cours d'une autre étude de deux «biomarqueurs» estimés pour identifier la maladie d'Alzheimer chez les patients. 


2 Septembre 2006


Arrestation de Duilio Poggiolini membre influent des instances européennes du Médicament
À l'étranger, un énorme scandale a dénoncé la corruption organisée par les laboratoires, prouvant ainsi qu'ils sont prêts à tout pour vendre leur marchandise. En effet, en 1991, Francesco de Lorenzo, ministre italien de la santé, a touché de nombreux pots-de-vin de plusieurs laboratoires, dont SmithKline Beecham . Le Président de cette firme, qui fabrique le vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné au ministre 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, ainsi que Paolo Cirino Pomicino,ancien ministre du Budget, et le Pr. Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, qui fut aussi à la tête de la Direction du médicament dans son pays et Président de l'Ordre des médecins. Plus d'une soixantaine d'autres membres tout puissants du ministère de la Santé ont également été condamnés pour diverses fautes graves que le Giornale per la protezione della salute (n° 6, mars 1998) qualifi ait de « pratiques mafi euses ». Ce qui n'a pas empêché certains d'entre eux de revenir plus tard dans les coulisses des ministères. 
Extrait de Sylvie Simon

Enquête pour corruption en Italie 



Une enquête policière se concentrant sur les communications entre 30 médecins et 40 VRP du géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline entre janvier 2001 et décembre 2002, suggère après interception par la police, d'e-mails, documents et communications téléphoniques que plus de 3000 médecins professionnels pourraient être impliqués dans un vaste système d' « avantages » servant à augmenter chaque année de 7 à 8% leurs prescriptions en médicaments de GSK! Les enquêteurs estiment que les quelques 100 millions d’euros déclarés par la firme en Juin 2001 au titre d’« investissements pour la promotion des produits pharmaceutiques », auraient été en fait dépensés en cadeaux gratuits, voyages luxueux y compris, à l’attention des médecins italiens et d’autres professionnels médicaux. La police judiciaire affirme détenir la preuve d’un système national de corruption, qui aurait amené les médecins à augmenter chaque année de 7 à 8% leurs prescriptions en médicaments GSK, en contrepartie de « petits extras » genre voyage aux Caraïbes, systèmes stéréos et autres bonnes bouteilles. Dans certains cas, les médecins recevaient des enveloppes de 300 à 1000 livres, a indiqué le procureur chargé de l’enquête!
GlaxoSmithKline et fabricant belge de médicaments UCB ont donné $500.000 à $999.999 sur l'année fiscal 2006 à la fondation national de l'epilepsy, selon son rapport annuel annuel. Abbott Laboratories et une unité de Johnson & Johnson ont chacun contribué $100.000 à $499.999. Les représentants de 4 compagnies de médicaments sont représenté au board de cette fondation, de même que le patron de PhRMA Billy Tauzin. La fondation sans but lucratif pousse pour passer des lois dans plusieurs Etats qui rendraient plus difficile le passage des patients aux médicaments génériques peu coûteux.

extrait du Wall Street Journal du July 13, 2007, 6:53 am:



arrestation 2005 éxecution 2007


Arrestation de Zheng Xiaoyu ancien ministre du médicament
L'ancien directeur de l'Administration d'Etat de l'alimentation et des médicaments en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a étéexécuté mardi pour corruption, a annoncé l'agence Chine Nouvelle.
Zheng, 62 ans (Bien: 62 ans), condamné fin mai, a été exécuté après le rejet par la Cour suprême de son appel, a précisé l'agence.
Il avait été reconnu coupable d'avoir touché 6,4 millions de yuans (620.000 euros) de pots-de-vin d'entreprises pharmaceutiques.
Zheng Xiaoyu avait été limogé en juin 2005 après huit ans à la tête de l'Administration de l'alimentation et des médicaments (SFDA), où il avait mis en place un système d'autorisation des médicaments particulièrement controversé.
Ministre exécuté mardi pour corruption par l'industrie Pharma en Chine

Dans le Guardian britannique du 7 février 2002, la grande éditrice d'ouvrages de santé Sarah Bosely a écrit : "Des scientifiques acceptent d'importantes sommes d'argent des compagnies pharmaceutiques pour prêter leur nom à des articles qu'ils n'ont pas écrits, recommandant de nouveaux médicaments - pratique de plus en plus courante que certains redoutent de voir menacer l'intégrité scientifique ".
John Buse, de l'Université de Caroline du Nord - qui est en liste pour devenir le prochain président de l'American Diabetes Association a averti la FDA que l'Avandia pourraient augmenter le risque de crises cardiaques chez ses utilisateurs. Il a également publiquement critiqué l'entreprise "pour manipulation de données flagrantes et sélectives», at-il dit, ce qui aurait bien fonctionné pour faire apparaître ce médicament comme plus efficace et moins dangereux qu'il ne l'est. The New England Journal de Medecine a annoncé qu'il allait publier une étude reliant Avandia à l'augmentation des problèmes cardiovasculaires. L'étude, publiée le 14 juin, a constaté que ce médicament a conduit à 43 % en plus de risques de crise cardiaque et de 64 % plus de risques de mort cardiaque.

Et oui les français avalent n’importe quelle pilule au sens propre et figuré, quand vont ils comprendre qu’on les manipule!

Le fameux trou de la sécu de 11 milliards d’euros existe-t-il vraiment ?

Voici les chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu pour 2003:
7,8 milliards non reversés à la sécu sur les taxes sur le tabac 
3,5 milliards non reversés à la sécu sur les taxes de l’alcool 
1,6 milliard non reversés à la sécu des assurances auto pour les accidentés de la route 
1,2 milliard non reversé à la sécu de la taxe sur les industries polluantes 
2 milliards de TVA non reversés à la sécu 
2,1 milliards de retard de paiement à la sécu pour les contrats aidés 
1,9 milliard de retard de paiement par les entreprises ... 
20,1 milliards d’euros!!!!!!!!!!!!

entre temps...

180 dirigeants français des caisses de protection sociale ont séjourné, AUX FRAIS DE LA PRINCESSE, dans les plus luxueux hôtels de Pékin. Motif : participer à l’assemblée générale de l’association internationale de sécurité sociale qui se tenait du 12 au 18 septembre 2004, dans cette fameuse patrie des droits de l’ homme. Un millier de délégués représentaient 130 pays dont 30 Allemands, 25 Américains.

Coût du séjour des fonctionnaires de la sécurité sociale française : 700.000 euros ! ! !

La Sécu fait la bombe à Pékin Le Canard Enchaîné 22/09/04 

C'est une méga-arnaque, avec médecins ripoux, ordonnances volées, et au centre, un énorme trafic de médicaments, qui pourrait porter au total sur près de 20 millions d'euros. Jeudi, la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) a annoncé que la Sécurité sociale avait ouvert une enquête sur une fraude aux médicaments, achetés et remboursés en France, avant d'être revendus en Asie du sud-est, en Afrique et en Europe de l'Est.



Un nouveau rapport révèle que des données impliquants l'insécurité de certains vaccinsont été volontairement supprimé!

A.. Les fonctionnaires suppriment délibérément des données sur la sécurité des vaccins 
B.. Ils sous-évaluent délibérément les effets secondaires, qui vont bien au-delà de l'autisme 
C.. Ils manipulent la prévalence et la gravité de certaines maladies afin d'effrayer les parents pour promouvoir la vaccination 
D.. Ils savent que les nouveaux vaccins qu'ils introduisent maintenant au Royaume-Uni ont tué des enfants avant aux Etats-Unis - Ils se gardent bien d'en avertir les parents.
C'est un scandale que les responsables de la santé sont prêts à jouer avec la santé et le bien-être des autres, leurs enfants - juste pour maintenir à niveau le taux de vaccination. 



Pfizer, par exemple, a payé $ 430 millions en 2004 pour régler à l'amiable et éviter un procès sur des allégations selon lesquelles il avait encouragé Neurontin, un médicament anti-épileptiques, pour la douleur et les troubles bipolaires.




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Amende pour la publicité illégale de son antiépileptique Neurontin (gabapentine), incitant les médecins à le prescrire dans des indications non autorisées, ce qui a porté les chiffres de vente à plus de 3 milliards par an. Le New York Times du 8 octobre nous apprend qu’une cour fédérale des Etats-Unis est en charge d’un autre procès intenté par des usagers et des tierces parties. La cour vient de rendre publics les rapports de plusieurs experts sur les essais cliniques et la stratégie commerciale de Pfizer. 

12 rapports d’experts sont accessibles sur Pharmalot.



Les vaccinations figurent parmi les armes de destruction massive les plus efficaces. Les victimes du vaccin hépatite B, progressivement, rassemblent leurs forces et se regroupent. De scandales en scandales, la santé publique s’est tellement sali les mains et a tellement méprisé le citoyen qu’à l’heure actuelle, les morts qu’elle peut afficher sur son tableau de chasse dépassent ceux qu’ont pu faire les maladies naturelles. Aujourd’hui, l’ennemi passe inaperçu, il est même séduisant, de belle allure : costume cravate, blouse blanche, camisole de laboratoire ou safari suit et tee shirt brodé ONG. Dans le discours, que des bonnes intentions. On massacre mieux quand on ne voit pas le sang couler et que la proie ne s’y attend pas. Il faut que les menteurs, les souteneurs, les aboyeurs, les fossoyeurs, les soldats du peloton d’exécution, tous, soient obligés de rendre compte de leurs actes.

En procédant à des plans visant à diffuser la peur et une science pourrie dans le monde, l'OMS vient de mettre en ligne un nouveau jeu.

L'homme peut jouer à ce jeu interactif, mais il est lui même la cible d'une race de personnes: les hommes politiques et les groupes de pression politique. 

Ce jeu devrait s'appeler: Créez votre propre épidémie. 

THE "CREATE YOUR OWN EPIDEMIC" GAME 

2007 Jan 20
Abstract:
The US Center for Science in the Public Interest is calling on organisations and researchers to sign a letter asking the US National Institutes of Health (NIH) to reveal ties to industry among scientists on its advisory committees. The centre's "integrity in science" project is starting by targeting speakers at a national conference next month on screening for neonatal herpes. 


12 October 2006 
Selon un rapport d'enquête publié par le Ministère de la Santé israélien, des médecins ont menées des essais illégaux et contraires à l'éthique sur des milliers de patients âgés pendant des années. 
D'après le quotidien israélien Haaretz, quatre hauts responsables israéliens médecins sont accusés de mener des expériences médicales illégales sans consentement éclairé sur des personnes âgées atteintes de démence, plusieurs-ont été arrêtés. Les détails du du rapport du Bureau d'État dans leurs conclusions critiquent sévèrement les Hôpitaux impliqués ceci étant divulgués au public par une série d'enquêtes Dans Haaretz, ainsi que d'une séried'investigation TV "Fact".


2001: Une entreprise de biotechnologie en Pennsylvanie a demandé à la FDA l'autorisation de mener des essais par placebo sur des nourrissons nés en Amérique latine et ayant une grave maladie pulmonaire alors que de tels essais sont illégaux aux États-Unis!


2001: Le 4 avril Elaine Holden-Able, une infirmière retraitée et en bonne santé, a consommé d'un verre de jus d'orange, qui avait été mélangée à un complément alimentaire pour le bien de la recherche médicale. Ce cas d'expérimentation sur l'Alzheimer par la Western Université et financé par l'industrie du tabac, a tué le cobaye humain dans ce qui fut appelé une tragique erreur humaine''.''l'Office fédéral de la Human Research Protections n'a pas interrogé le personnel des hôpitaux, et a accepté pour la plupart comptant le rapport interne de l'hôpital, n'a demandé aucune pénalités, et a classé l'affaire et n'a pas mentionné la mort dans sa lettre.


1999: A 18 ans, Jesse Gelsinger meurt après avoir été injectés avec 37 milliards de particules d'adénovirus dans une expérience de thérapie génique à l'Université de Pennsylvanie.


1995: 34 enfants mineurs de New York en bonne santé, sans aucun passé agressif tous des garçons âgés de 6 à 11 ans, ont été exposés à de la fenfluramine dans une expérience non-therapeutic à la New York State Psychiatric Institute. Les enfants ont été exposés à ce médicament neurotoxique pour enregistrer leurs réponses neurochimiques dans le but de prouver une théorie spéculative qui ferai le lien entre agression et marqueur biologique.




The Observer en septembre 2000 dans le cadre de la campagne massive de vaccination en Grande-Bretagne : 
4 médecins experts du Ministère de la santé déclaraient des liens d’intérêts avec le laboratoire qui gardait dans ses tiroirs plus de 16 000 effets secondaires du vaccin Méningitec (employé en janvier 2001 à Clermont-Ferrand).

Rita Levi Montalcini (prix Nobel de médecine) avouait dans Le Généraliste:
« La recherche est un milieu redoutable. »

D’autant plus redoutable que les divergences entre la science et l’éthique s’amplifient à cause du profit et des besoins économiques. 
source

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En 1988, Norman Swan a remporté le prix Gold Walkley, la plus haute distinction du journalisme australien pour avoir mis à jour une importante fraude médicale sur les ondes de l’émission The Health Report qu’il anime toujours à la radio d’État australienne ABC. Il a révélé des falsifications dans les travaux de recherche de William McBride. Gynécologue vénéré, le Dr McBride s’était fait connaître en 1961. Il avait montré que la thalidomide, un anti-nauséeux pour femmes enceintes, causait des malformations congénitales. Phil Vardy, son associé de recherche au cours des années 1980, a longtemps eu des doutes sur son honnêteté scientifique sans jamais pouvoir le démontrer. Également présent à la conférence, Vardy a raconté qu’un jour, la preuve écrite est arrivée. Le Dr McBride avait trafiqué les résultats de leur plus récente publication. Vardy le savait puisqu’il avait lui-même fait les expériences. Voyant que son patron niait tout malgré les preuves, Vardy a démissionné en emportant avec lui les données incriminantes. Ce n’est que quelques années plus tard que Norman Swan a été mis en contact avec Phil Vardy et que le scandale a explosé.
14 Février, 2007 
Les firmes GlaxoSmithKline (GSK), AstraZeneca et Eli Lilly et les négociants internationaux en pétrole et les constructeurs de ponts du Royaume-Uni: Mabey et Johnson SONT SOUS LA COUPE D'UNE ENQUETE pour Pots-de-vin versés au régime de Saddam Hussein en Irak dans le cadre du programme pétrole contre nourriture...

29 avril 2007 19H42

On viendrai de découvrir que le diabète pouvait être un facteur de la dépression, or, que lis-je dans un article du New York Times d’aujourd’hui ? ( ) "U.S. Wonders if Drug Data Was Accurate": le groupe pharmaceutique Eli Lilly aurait caché que son médicament vedette, l’antipyschotique Zyprexa, aurait des effets secondaires sérieux, comme le diabète et la prise de poids ! La FDA (Food and Drug Administration), agence du médicament US, est en train d’enquêter sur le fait qu’ Eli Lilly lui aurait fourni des informations inexactes sur les effets secondaires du Zyprexa, notamment la prise de poids et le diabète. Le Zyprexa rapporte à Eli Lilly 4 Millions de dollars annuels. Ce n’est pas la première fois qu’Eli Lilly truque ses études. La même chose s’est produite pour les effets secondaires du Prozac, accusé de déclencher des comportements violents et suicidaires. James B. Gottstein, un avocat qui représente des patients a même déclaré que nombre de ses patients ont été forcés de prendre le Zyprexa contre leur volonté. Bienfaits pour la santé ? Non, empoisonnement et escroquerie,tout simplement.



Une amende de 704 millions de $ pour le groupe pharmaceutique suisse Serono et ses filiales américaines, accusés de fraude pour augmenter les ventes de leur médicament antisida, la Serostim.

Le Monde 16 decembre 2005


Capital, Octobre 1996 :

[SmithKline Beecham et Mérieux] ont déployé pendant des mois des trésors de persuasion, financé des études, abreuvé les pouvoirs publics de statistisques dramatisantes, aidé financièrement l'OMS (qui a fini par appeler à la généralisation à terme de la vaccination), accompagné la création d'associations scientifiques de promotion. Quête classique, pour laquelle SmithKline possédait cependant un atout de plus que son concurrent : son directeur de l'époque, Bernard Mesuré, se trouvait aussi être le président du Syndicat National des Industries Pharmaceutiques (SNIP), autrement dit le patronat des labos.

Or, le gouvernement, qui bataillait alors pour mettre en place des guides de bonne pratique (références médicales opposables) dans le cadre de la maîtrise des dépenses, avait grandement besoin du soutin du SNIP. Pendant ce temps, le SNIP accordait un soutien actif à Simone Veil sur le dossier des références médicales. Quelqu'un en doutait-il ?"source

Je pense que la médecine moderne pourrait disparaître de la surface de la terre à plus de 90% -médecins, hôpitaux, médicaments et équipements- et qu'ainsi l'effet sur notre santé serait immédiat et bénéfique».
Lorsque les médecins se sont mis en grève à Bogota, en Colombie, dans le comté de Los Angeles en Californie et en Israël, le taux de mortalité dans ces trois différentes régions a chuté considérablement. Durant leur grève d'un mois de 1973, les médecins israéliens ont réduit leurs contacts quotidiens avec les malades de 65 000 à 7000. «Le Service funèbre de Jérusalem a rapporté que le taux de mortalité chez les Israéliens avait baissé de 50% durant ce mois, et qu'il n'y avait pas eu d'autre baisse de mortalité aussi considérable depuis la dernière grève des médecins il y a vingt-ans.» Le docteur Mendelsohn termine son livre avec la conclusion inéluctable que la médecine moderne est une industrie gigantesque et lucrative qui détruit la vie humaine en essayant de guérir la maladie. Elle nous nuit avec ses abus, ses surdoses de médicaments et tous ses gadgets: «À chaque minute de chaque jour la médecine moderne va trop loin car elle aime aller trop loin.» affirme ce vétéran de la médecine. 

Des études basées sur des diagnostics alarmants nous apprennent qu'environ la moitié des tests de laboratoire sont inexacts car ils passent souvent d'une main à l'autre, donnant ainsi des résultats différents. Dans l'une de ses études favorites, le docteur Mendelsohn dit: «Parmi 200 personnes, 197 ont été "guéries" de leurs anomalies en répétant tout simplement le test de laboratoire» L'utilisation abusive des rayons X est largement répandue. «Des scientifiques ont prouvé que les rayons X favorisent le développement du diabète, de maladies cardiovasculaires, d'attaques d'apoplexie, de haute tension et de la cataracte. D'autres études ont démontré le lien qui existe entre la radiation et le développement de maladies comme le cancer, les altérations du sang et les tumeurs dans le système nerveux central.» Les conflits d'intérêt entrent aussi dans ce diagnostic car les médecins ont souvent des intérêts financiers dans les laboratoires.

Chronique de livres :


Big Pharma" nous surveille 
Grippe aviaire : le Tamiflu un remède pour les pigeons, une mine d’or pour Rumsfeld et Roche 
La fraude à la pandémie de grippe aviaire 
Géants pharmaceutiques, la première cause du déficit de l'assurance-maladie 
MEDECINS CONDAMNES, PATIENTS EN DANGER GRANDE FETE DE LA LIBERTE THERAPEUTIQUE  
"Big Pharma", ou la corruption ordinaire  
Pneumonie atypique l’intox du siècle   
Scientific fraud and the power structure of science 
Tired Of The Bird or Avian Flu Yet? Some Experts Claim It's A Hoax For Profit 
THE FINANCING SHOW ME THE MONEY: WHO FUNDS WHO 
The bird flu hoax    

Conflict of Interest? Medical Journal Changes Policy of Finding Independent Doctors to Write 
La mafia pharmaceutique 
Empoisonné à l’AZT fraude=MORTS
USA: Hospital Deaths from Medical Errors at 195,000 per Year. 
The rotavirus vaccine was approved---and then later withdrawn from the market because it was injuring and killing people 
100 Years of Medical Robbery [June 11, 2004]  (100 années médicales de plumage de piegons)
Licensed to kill - facts the drug firms conceal  (les faits que l'industrie a MAQUILLIES: volontairement)
Le Pentagone ressuscite le virus de la grippe espagnole  
GlaxoSmithKline tried HIV drug on orphans (des enfants comme cochons d'indes de la junk sciences du SIDA!)
23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne (la junk sciences du SIDA!)
L’Etat de New York porte plainte contre Pharmacia et GlaxoSmithKline 
WHAT KILLS more AMERICANS every year than WW2 and VIETNAM combined?
Inside abusers and large scale violation of privacy of health information
MEDICAL RESEARCH FRAUD DOESN’T QUIT 
THE MASKING AGENT: DOCTORS 
'NO PROBLEM; WE’RE FIXING IT" 
Scientific Fraud and Vaccines 
MEDICAL SCANDAL 
CDC IS A DESPERATE AGENCY 
FOLLOW THE MONEY are scientific and medical experts able to take corporate money without subtly altering their scientific and medical views? 
Doctors can be paid thousands of pounds per patient by pharmaceutical companies!  
Medical research ’often flawed’  
Ritalin Fraud  
How big Pharma caught a cold 
IBM fights to suppress cancer probe 
Signed confessions from corporate mass murderers. 
Donors don’t realize they are fueling a lucrative business!
Making death pay.
CORRUPTION WIDESPREAD by Liz Lightfoot 
Doctors Are The Third Leading Cause of Death in the US, Causing 250,000 Deaths Every Year  

ect...
01 SEP 2013 

Une médecine répugnante

Une médecine répugnante
Chronique de livres

Lorsque des médecins ayant une longue expérience se mettent à écrire des livres sur les dangers que la médecine moderne représente pour notre santé, nous pouvons être sûrs qu'il se cache bien des choses malsaines sous la blouse blanche.

"Confessions d'un médecin hérétique", écrit par le docteur Robert Mendelsohn, un médecin avec vingt-cinq ans d'expérience en médecine moderne, n'est qu'un des nombreux livres qui dévoilent les dessous de l'industrie médicopharmaceutique. Robert Silverman en fait ici un compte rendu bien détaillé.


[ Sickening Medecine ]«Le médecin, qui était une fois notre agent guérisseur, est devenu aujourd'hui celui qui nous rend malade. La médecine moderne est allée trop loin en utilisant massivement des moyens très puissants pour traiter des cas simples, et a altéré et corrompu même la gestion des cas les plus graves.» Cette affirmation si surprenante a été faite par le docteur Robert Mendelsohn, un homme ayant pratiqué la médecine pendant vingt-cinq ans. Dans son dernier livre «Confessions d'un médecin hérétique», il dévoile les conflits d'intérêt, l'avidité, l'incompétence et la corruption qui sévissent dans les hôpitaux, et bien d'autres cauchemars qu'il a dû vivre durant sa longue carrière de médecin.

En se basant sur sa propre expérience, Mendelsohn dit: «Malgré ses belles manières et la haute technologie dont ils dispose pour vous faire sentir qu'il prend soin de vous comme d'un astronaute qui se dirige vers la lune, je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé. Je crois que les moyens que la médecine moderne utilise pour traiter les maladies sont rarement efficaces et qu'ils sont souvent plus dangereux que les maladies qu'ils sont censés guérir. Ces dangers sont d'autant plus aggravés par l'utilisation excessive de procédures dangereuses pour traiter des maladies qui ne le sont pas. Je pense que la médecine moderne pourrait disparaître de la surface de la terre à plus de 90% -médecins, hôpitaux, médicaments et équipements- et qu'ainsi l'effet sur notre santé serait immédiat et bénéfique».

L'hypothèse étonnante du docteur Mendelsohn, selon laquelle les gens seraient en bien meilleure santé si la médecine moderne disparaissait à 90%, avait été confirmée. Lorsque les médecins se sont mis en grève à Bogota, en Colombie, dans le comté de Los Angeles en Californie et en Israël, le taux de mortalité dans ces trois différentes régions a chuté considérablement. Durant leur grève d'un mois de 1973, les médecins israéliens ont réduit leurs contacts quotidiens avec les malades de 65 000 à 7000. «Le Service funèbre de Jérusalem a rapporté que le taux de mortalité chez les Israéliens avait baissé de 50% durant ce mois, et qu'il n'y avait pas eu d'autre baisse de mortalité aussi considérable depuis la dernière grève des médecins il y a vingt-ans.» Le docteur Mendelsohn termine son livre avec la conclusion inéluctable que la médecine moderne est une industrie gigantesque et lucrative qui détruit la vie humaine en essayant de guérir la maladie. Elle nous nuit avec ses abus, ses surdoses de médicaments et tous ses gadgets: «À chaque minute de chaque jour la médecine moderne va trop loin car elle aime aller trop loin.» affirme ce vétéran de la médecine.

L'une des gigantesques usines médicales est la clinique de Cleveland. Un article intitulé «La merveilleuse usine médicale de Cleveland» et publié dans la revue médicale de cette clinique énumère les chiffres de production énormes de cette clinique, tout en vantant ses réalisations de l'année dernière: 2980 opérations à coeur ouvert, 1,3 millions de tests de laboratoire, 73 320 électrocardiogrammes, 7770 radiographies de tout le corps, 210 378 autres recherches radiologiques et 24 368 procédures chirurgicales.

Aucune de ces procédures ne s'est avérée favorable à la guérison ou à la conservation de la santé. L'article a omis de vanter, ou même de mentionner le plus important, à savoir si cette extravagance, si chère, a vraiment aidé des gens. C'est parce que cette usine, comme tant d'autres, utilise des produits tout à fait malsains et nuisibles pour la santé. Lorsque vous allez chez le médecin, on vous considère non comme une personne qui a besoin d'aide pour guérir, mais plutôt comme un marché potentiel pour les produits de l'usine médicale. Dans des chapitres séparés sur les diagnostics, les médicaments, les interventions chirurgicales et les hôpitaux, le docteur Mendelsohn vend la mèche à propos des effets mortels de la médecine moderne.

Des études basées sur des diagnostics alarmants nous apprennent qu'environ la moitié des tests de laboratoire sont inexacts car ils passent souvent d'une main à l'autre, donnant ainsi des résultats différents. Dans l'une de ses études favorites, le docteur Mendelsohn dit: «Parmi 200 personnes, 197 ont été "guéries" de leurs anomalies en répétant tout simplement le test de laboratoire» L'utilisation abusive des rayons X est largement répandue. «Des scientifiques ont prouvé que les rayons X favorisent le développement du diabète, de maladies cardiovasculaires, d'attaques d'apoplexie, de haute tension et de la cataracte. D'autres études ont démontré le lien qui existe entre la radiation et le développement de maladies comme le cancer, les altérations du sang et les tumeurs dans le système nerveux central.» Les conflits d'intérêt entrent aussi dans ce diagnostic car les médecins ont souvent des intérêts financiers dans les laboratoires. Haut de page


Le grand commerce des produits pharmaceutiques

Dans son chapitre «Mutilation miraculeuse» sur les médicaments, le docteur Mendelsohn nous montre comment la pénicilline, à l'origine un produit apprécié et considéré même comme miraculeux, s'est métamorphosée en quelque chose de dangereux, futile et banal à cause de son expansion et de son utilisation abusive. Le docteur Mendelsohn se souvient des résultats miraculeux de la pénicilline, développée durant les premières années de sa carrière: «Toutes les deux ou trois heures, je donnais de la pénicilline intraveineuse à des enfants souffrant des symptômes graves de la méningite bactérienne, puis je voyais des changements miraculeux se produire heure après heure. Ces enfants, qui étaient sur le point de mourir, ont repris conscience et commencé à réagir au stimulus en l'intervalle de quelques heures. Quelques jours après, ces mêmes enfants étaient debout et presque prêts à retourner chez eux.» Le docteur se souvient d'avoir vu des malades sur leur lit de mort, souffrant d'une pneumonie, plier bagage et quitter l'hôpital après avoir reçu une dose de pénicilline «Plusieurs d'entre nous avaient vraiment l'impression de vivre et de produire des miracles, mais ce même médicament, qui était une fois extrêmement bénéfique, est devenu extrêmement dangereux.»

Mendelsohn explique ce changement par le fait que les médecins ont commencé à prescrire ce médicament d'une façon très abusive: «Plusieurs médecins prescrivent de la pénicilline pour des cas aussi anodins qu'un simple rhume, alors que ce médicament peut engendrer des réactions allant de la rougeur de la peau aux vomissements et diarrhées, jusqu'à la fièvre et aux chocs anaphylactiques. Chaque année, huit à dix millions d'Américains vont chez le médecin pour un simple rhume, et près de la moitié d'entre eux en sortent avec une prescription pour un antibiotique. Non seulement ces personnes sont dupées en payant pour un produit n'aidant pas vraiment à les soulager, mais elles sont également exposées aux dangers des effets secondaires et aux risques d'attraper des infections plus graves.»

Il faut des fois plusieurs années pour ressentir l'impact total des effets secondaires sur la santé. Dans les années cinquante, l'hormone DES était largement prescrite pour les femmes ayant des problèmes de fertilité. «Vingt ans plus tard, nous avons découvert que cette hormone cause le cancer vaginal et des anomalies génitales chez des enfants nés de femmes prenant ce médicament durant la grossesse. En 1959, près de 500 enfants en Allemagne et 1000 autres enfants ailleurs étaient nés avec des malformations sévères parce que leurs mères avaient pris de la thalidomide, un somnifère et tranquillisant, durant les premières semaines de grossesse. En 1962, le Tripanorol, un médicament réduisant le taux de cholestérol, a été retiré du marché lorsqu'on s'est rendu compte qu'il avait engendré plusieurs effets secondaires, entre autres la cataracte.» Des désastres comme ceux ci, causés par les médicaments, se produisent chaque jour. En fait, ce sont les usines pharmaceutiques, de plus en plus puissantes, qui continuent de fournir de tels produits dangereux aux médecins, pour qu'ils aboutissent enfin dans les bouches et les corps de malades imprudents.

Le docteur Mendelsohn affirme que 20 000 à 30 000 personnes par année meurent suite aux effets funestes des médicaments que leurs médecins leur avaient prescrits. Les évaluateurs les plus modestes estiment que 5% des gens qui se retrouvent dans les hôpitaux américains et anglais y sont à cause de leurs mauvaises réactions aux médicaments. «L'une des lois tacites de la médecine moderne est de prescrire rapidement un nouveau médicament avant que tous ses effets secondaires apparaissent à la surface ». Le docteur Mendelsohn décrit cette approche très précipitée des médecins en prescrivant les médicaments comme suit: «Les fabricants de médicaments et les médecins entretiennent entre eux des rapports intimes et rentables. Aux États-Unis, les fabricants de médicaments dépensent en moyenne 6000$ par année par médecin dans le but de le persuader d'utiliser leurs médicaments. Les détaillants des compagnies pharmaceutiques, en fait leurs représentants des ventes, nouent des relations amicales et rentables avec les médecins qu'ils rencontrent. Ils boivent et dînent avec eux, leur accordent des faveurs tout en leur offrant leurs échantillons de médicaments. Ce qui est déplorable dans cette affaire c'est que la plupart des informations parvenant aux médecins en ce qui concerne le dosage et l'usage abusif des médicaments proviennent des fabricants de médicaments, par l'intermédiaire du détaillant et à travers la publicité dans les magazines médicaux, alors que la plupart des informations cliniques provenant de ces sources est, elle aussi, très douteuse».

Une commission d'éminents scientifiques, parmi lesquels quatre lauréats du prix Nobel, a trouvé que les tests cliniques sur les nouveaux médicaments étaient «désastreux». L'Office fédéral du contrôle pharmaceutique aux États-Unis a conclu, après une enquête, que le tiers des tests n'avait pas du tout été fait.(1)

Plusieurs médicaments ont les mêmes effets secondaires que les troubles qu'ils sont censés soulager Le valium est supposé réduire l'anxiété, la fatigue et la dépression, mais en lisant la liste des effets secondaires, nous remarquons que le valium peut engendrer les mêmes effets.

Eli Lilly, fondateur de la compagnie pharmaceutique du même nom, a dit une fois qu'un médicament sans effets toxiques n'en est pas un. Chaque médicament doit donc être utilisé avec prudence. Haut de page


Mutilations rituelles

Selon des estimations modestes, comme celles faites par un sous-comité du Congrès, environ 2,4 millions d'opérations inutiles sont faites chaque année, et qu'elles coûtent 4 milliards de dollars et 12 000 vies, soit 5% du quart de million de morts survenues après ou pendant l'opération chirurgicale chaque année aux États-Unis. Le Groupe indépendant de recherche sur la santé déclare que le nombre d'opérations inutiles dépasse les trois millions. Différentes études ont estimé le nombre d'opérations inutiles entre 11% et 13%. «Je pense, de ma part, que près de 90% des interventions chirurgicales sont une perte de temps, d'énergie, d'argent et de vies. Une étude examinant de très près des personnes que les médecins avaient décidé d'opérer a non seulement révélé que la plupart de ces personnes n'avaient pas besoin d'être opérées, mais que presque la moitié d'entre elles n'avaient même pas besoin de traitement médical.» Le docteur Mendelsohn affirme que les principales victimes des ces opérations inutiles sont les enfants et les femmes. Près de un million d'amygdalectomies sont effectuées chaque année aux États-Unis: «Mais ces opérations n'ont jamais prouvé qu'elles sont vraiment bénéfiques pour le patient» rajoute-t-il.

Les hystérectomies semblent être une industrie florissante, et leur nombre total est de presque un million, mais seulement quelques-unes de ces opérations se sont avérées nécessaires. Dans six nouveaux hôpitaux de New York, 43% des hystérectomies réexaminées se sont révélées injustifiées. Les médecins ont effectué des hystérectomies sur des femmes souffrant de saignements anormaux dans l'utérus et de fortes menstruations, alors qu'elles auraient pu bénéficier d'un traitement bien meilleur pour la santé, ou ne pas en recevoir du tout.»

Quant aux obstétriciens, ils sont en train de changer rapidement le processus naturel d'accouchement en une véritable procédure chirurgicale. «C'est avec une multidue de "traitements" consécutifs qu'ils dénaturent ce processus et l'ensevélissent sous la blouse de la maladie, car chaque traitement en requiert un autre pour compenser ses effets contraires. Et chose assez étrange, c'est que vous pouvez être sûr que les médecins vont s'approprier le mérite d'avoir remédier à ces effets, mais jamais ils n'admettront les désastres médicaux qui ont rendu la compensation necessaire en premier lieu».

De plus en plus d'accouchements sont programmés en fonction des heures d'ouverture des hôpitaux. «Dans plusieurs hôpitaux, les accouchements "9 à 5" déclenchés artificiellement sont devenus la règle » Les césariennes prolifèrent comme des champignons, alors que dans le temps, lorsque le taux d'accouchements par césarienne dans un hôpital dépassait 4 ou 5%, une enquête d'envergure était immédiatement ordonnée. Le taux actuel est d'environ 25% et il n'y a pas du tout d'enquêtes. Dans certains hôpitaux, ce taux s'élève même à 50%. «C'est la recherche du profit et non le facteur humain qui expliquent la grande quantité d'opérations inutiles. Si vous éliminez toutes les opérations inutiles, la plupart des chirurgiens n'auront plus de raison d'exercer leur métier. Dans les cabinets collectifs, les chirurgiens, qui reçoivent un salaire régulier non relié au nombre d'opérations chirurgicales qu'ils font, effectuent seulement le tiers des hystérectomies et des amygdalectomies, par rapport à ceux qui sont payés pour chacune de ces opérations. «Les opérations sont souvent effectuées pour permettre aux médecins stagiaires de pratiquer

Le docteur Mendelsohn a usé de son influence à trois différentes occasions pour réduire les opérations inutiles. Une fois, il a biffé une question inutile d'un questionnaire d'examen médical de routine, et le nombre d'amygdalectomies a diminué. «Comme vous pouvez vous y attendre, le président du service d'oto-rhino-laryngologie m'a appelé suite à cet incident pour me dire que je menaçais son programme d'enseignement.» Haut de page


«Temples du malheur»

C'est ainsi que le docteur Mendelsohn décrit les hôpitaux après y avoir passé les dernières vingt-cinq années de sa vie: «Un hôpital, c'est comme la guerre; vous devriez rester en dehors d'elle. Et si vous y entrez, tâchez d'avoir le maximum d'alliés et d'en sortir le plus rapidement possible.» Pour la somme d'argent que coûte en moyenne un séjour à l'hôpital, vous pouvez passer la même période de temps dans n'importe quel lieu de séjour dans le monde, y compris les frais de transport. C'est parce que l'hôpital est le temple de l'Église de la médecine moderne qu'il est l'un des endroits les plus dangereux au monde

Mendelsohn explique les dangers que les hôpitaux représentent pour la santé en disant: «En général, vos chances d'attraper une infection à l'hôpital sont d'environ une sur vingt, mais ce n'est qu'une estimation modeste. La moitié des infections dans les hôpitaux sont causées par des instruments médicaux contaminés, comme les cathéters et les équipements intraveineux, alors que les infections de ce genre étaient pratiquement inexistantes avant l'utilisation massive de tels instruments aux alentours de 1965. Environ 15 000 personnes meurent chaque année suite à des infections attrapées à l'hôpital.

«D'après mon expérience, un risque sur vingt devrait être la ligne de base représentant le danger minimum d'attraper une infection. J'ai vu des épidémies se répandre si rapidement dans les hôpitaux qu'il a fallu renvoyer tout le monde à la maison. Les pavillons de pédiatrie et des nouveaux-nés sont les plus susceptibles de répandre les infections.»

Il n'y a pas que les microbes qui contaminent les hôpitaux. Il y a aussi tous ces produits chimiques dangereux, fournis en grandes quantités et que les médecins aiment utiliser, car les hôpitaux, comme on le sait, sont les temples de la Médecine moderne. Les médecins, ayant tous ces produits pharmaceutiques à leur dispostion, sont tenus de les utiliser, et c'est ce qu'ils font. À l'hôpital, les malades reçoivent en moyenne douze médicaments différents, et même si vous n'êtes pas bourré de médicaments jusqu'à la mort ou l'infirmité, il y a d'autres produits chimiques qui y circulent et qui peuvent affecter votre séjour et votre santé. Votre médecin peut ne pas utiliser ce genre de produits, mais n'importe qui d'autre à l'hôpital peut le faire. Tous ces solvants toxiques utilisés dans les laboratoires, ces produits de nettoyage, ces substances chimiques inflammables et ces déchets radioactifs constituent une menace de contamination pour vous.»

Le docteur Mendelsohn dénonce les autres dangers qui circulent dans ces institutions: «Les hôpitaux sont de véritables modèles d'inefficacité. Ils sont tellement bourrés de petites erreurs, parmi lesquelles vous avez deux ou trois options mais finissez par faire le mauvais choix , que vous devenez extrêmement inquiét lorsque vous ouvrez grands vos yeux pour voir toutes les opportunités qui existent pour les erreurs complexes! «Tout est déboussolé dans les hôpitaux, y compris les patients. Mon frère est allé à l'hôpital pour une opération d'hernie, il y a plusieurs années déjà. Il devait être opéré à 11 heures du matin, selon les médecins. À 9 h30, je montai dans sa chambre mais il n'y était pas. Je me précipitai vers la salle d'opération car j'étais presque sûr qu' il y était, et il y était!. Ils l'avaient pris à la place d'un autre patient et la raison pour laquelle il a échappé à cette opération est que l'autre devait subir une hystérectomie.

Le docteur Mendelsohn se réfère à des études indiquant que la malnutrition est presque omniprésente dans les hôpitaux. «Si les médicaments, les microbes, les interventions chirurgicales, les substances chimiques ou les accidents ne vous affectent pas, vous avez de fortes chances de mourir de faim.» Une étude effectuée sur des malades ayant été opérés par le docteur Georges Blackburn dans un grand hôpital de Boston a révélé que la moitié de ces patients souffraient d'une malnutrition grave. Ils étaient assez mal nourris pour pouvoir guérir et durent rester à l'hôpital plus longtemps. Le docteur Mendelsohn dit à propos de cette révélation si surprenante: «Les résultats de cette étude ne sont nullement peu communs, car plusieurs autres études ont révélé que la malnutrition touche de 25 à 50% des malades dans les hôpitaux américains et britanniques. Le docteur George Blackburn a fini par avouer que la malnutrition est l'une des causes de décès les plus communes parmi les personnes âgées dans les hôpitaux.» Haut de page


Prêtres du diable

Mendelsohn, qui a passé la plus grande partie de sa vie parmi les médecins, les décrit comme suit: «Je suis arrivé à la conclusion que les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m'apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée, pleine de préjugés et vraiment incapable de raisonner et de délibérer. Très peu de médecins que j'ai rencontrés ont réussi à me prouver que ma prédiction est fausse.»

 

La corruption règne parmi les médecins, surtout ceux qui occupent les postes les plus élevés. Mendelsohn rapporte que les doyens des facultés de médecine de Yale et Harvard travaillaient comme consultants payés pour la Corporation Squibb et, en même temps, ils essayaient de convaincre l'Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire de lever l'embargo sur Mysteclin, l'une des plus grandes affaires lucratives pour la Corporation Squibb. Plus tard, le docteur Robert Ebert, doyen de la faculté de Harvard, devint un des directeurs payés de Squibb.

«Les essais expérimentaux sur les médicaments sont très souvent falsifiés. l'Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire a découvert que les procédures de surdosage et de sous-dosage, l'émission de rapports de tests et l'écoulement des médicaments étaient falsifiées, lorsqu'il a ouvert une enquête sur les essais pharmaceutiques expérimentaux. C'est bien évident car les médecins travaillent pour les fabricants de médicaments, et ils veulent produire des résultats qui puissent convaincre l'OCPA d'approuver le médicament.»

L'un des exemples de fraude les plus frappants dans le domaine de la recherche est celui de l'Institut Sloan-Kettering à New York (Sloan aussi bien que Kettering étaient directeurs chez General Motors et Alfred Sloan avait organisé la destruction du système de tramways dans 45 villes américaines durant sa longue carrière de président de cette compagnie d'automobiles). Le docteur William Summerlin, qui travaillait dans cet institut de recherche sur le cancer, a admis avoir peint des souris pour leur donner l'apparence d'un exemple réussi de greffes de la peau.

Les médecins semblent être plus malades que le reste de la société. Des estimations modestes portent le nombre des médecins souffrant de troubles mentaux aux États-Unis à 17 000 ou un sur vingt, le nombre des alcooliques à plus de 30 000 et celui des médecins toxicomanes à 3500, soit 1%. Une étude étalée sur une période de trente ans et comparant des médecins à des professionnels ayant un profil socio-économique et un niveau intellectuel similaires, a conclu que presque la moitié des médecins étaient divorcés ou malheureux dans leur vie conjugale, plus que le tiers prenait des drogues comme l'amphétamine, des barbituriques et d'autres narcotiques, et un autre tiers souffrait de troubles émotifs assez sérieux pour nécessiter au moins dix séances de thérapie chez un psychiatre. Cette comparaison a révélé que ces professionnels, qui n'étaient pas des médecins, n'étaient pas dans une si mauvaise situation.

Mendelsohn affirme que c'est dans les classes sociales les plus favorisées, dont ils font partie, que les médecins tissent leurs liens de solidarité. «Ils se prennent vraiment pour l'élite de la société. Leur train de vie et leur attitude professionnelle favorisent la pensée autocratique, d'où leurs positions politiques et économiques conservatrices. La plupart des médecins sont des hommes blancs et riches, et ils sont rarement prêts à se mettre du côté des pauvres, des personnes de couleur et des femmes.» Haut de page


La formation des médecins

«Les tests d'admission et les politiques des facultés de médecine guarantissent que les étudiants qui s'y inscrivent seront pratiquement tous des médecins médiocres. Les tests quantitatifs, le test d'admission ainsi que les notes, généralement moyennes, passent par une personne qui ne peut pas ou qui refuse carrément de communiquer avec les gens.» «Les facultés de médecine font tout pour rendre les étudiants intelligents stupides, corrompre ceux qui sont honnêtes et rendre malades ceux qui sont sains. Ce n'est pas très difficile de rendre un étudiant intelligent stupide. Premièrement, le bureau des inscriptions fait tout pour que les professeurs aient à leur disposition des étudiants velléitaires et soumis. Après, ils leur donnent un programme d'études qui n'a pratiquement rien à voir avec la guérison ou la santé.»

Les médecins cachent souvent les erreurs, mêmes les plus graves, de leurs collègues. Au Nouveau-Mexique, un chirurgien a fermé le mauvais conduit lors d'une opération de la vésicule biliaire et le patient mourut. Malgré que cette erreur fût découverte lors de l'autopsie, le chirurgien n'a pas été discipliné. On ne lui a même pas inculqué la bonne façon de faire cette opération, car il l'a refaite quelques mois plus tard en commettant la même erreur et un autre patient décéda. Encore une fois, aucune leçon. Ce n'est qu'après avoir effectué l'opération une troisième fois et tué une autre personne qu'on décida de mener une enquête suite à laquelle on lui retira sa license.»

D'aucuns pourraient penser que le docteur Mendelsohn est un homme bizarre et désappointé qui a laissé libre cours à son imagination après avoir échoué dans le milieu médical. Mais ce n'est pas du tout le cas. Il est président du comité qui délivre les licenses médicales dans l'État d'Illinois, maître de conférences pour la médecine préventive et la santé communautaire à la faculté de médecine de l'université d'Illinois et détenteur de plusieurs prix d'excellence en médecine et en enseignement médical. Qu'un médecin avec son expérience et de telles références puisse écrire «Confessions d'un médecin hérétique» indique bien qu'une grande partie de la médecine moderne est une menace pour notre santé.

Le docteur Serge Mongeau est un médecin hérétique d'origine québécoise et un écrivain dont les opinions ressemblent beaucoup à celles du docteur Mendelsohn. Il a écrit plusieurs livres sur la santé et la médecine, entre autres «Survivre aux soins médicaux» et «Adieu médecine, bonjour Santé».

Selon lui: «C'est tout le système médical qui fait fausse route et qui est devenu contre-productif.» Les maladies créées par les médecins sont devenues épidémiques. L'obstination du corps médical à nier l'évidence et à refuser de prendre des mesures pour remédier à la situation perpétue le danger.

Les horreurs perpétuées par la médecine moderne sont aggravées par le fait que celle-ci exerce un véritable monopole. Nous devons payer des thérapeutes alternatifs «illégaux » comme les sage-femmes, les homéopathes, ceux qui pratiquent la méthode du rebirth (renaissance) et d'innombrables autres guérisseurs, alors que la médecine officielle est contre-productive et massivement subventionnée. L'arrêt immédiat du monopole exercé par l'Ordre des médecins du Québec et la reconnaissance des médecins alternatifs donneront aux gens la liberté de choisir quel type de soins médicaux ils veulent. Haut de page


La médecine moderne: c'est seulement une autre grande affaire

Le complexe médico-industriel devient de plus en plus puissant, alors que des milliers de personnes tombent malades ou meurent suite à des maladies inventées par les médecins. L'ex-président américain, Jimmy Carter, l'a considéré comme le deuxième plus puissant cartel aux États-Unis. Les dépenses médicales concurrencent maintenant les dépenses militaires et celles consacrées à la construction de routes dans le partage du budget national. L'édition de juillet du Monde diplomatique mentionne que le capitalisme médical est une industrie florissante aux États-Unis et passe en revue des chaînes d'hôpitaux et des compagnies pharmaceutiques qui viennent d'augmenter considérablement leurs valeurs à la Bourse.

C'est là la contradiction. Votre santé versus leurs profits. Respirez donc profondément et dites «Bye-bye docteur, pour votre propre santé.»


Références

Confessions of a Medical Heretic, par Robert S. Mendelsohn, M.D. Warner Books, New-York.

Survivre aux soins Médicaux, par le docteur Serge Mongeau, Québec/Amérique, Montréal;

Médical Nemesis, Ivan Illich, Pantheon Press.

(1) Confessions d'un médecin hérétique, p. 74.


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Publié dans le journal Le Monde à Bicyclette, automne 1987.

Par Robert Silverman.

Traduction: Saloua Laridhi.

01 SEP 2013 

Quand la médecine rend malade : Némésis médicale

la médecine fait plus de malades qu’elle n’en guérit 
Cet article a paru dans Le Nouvel Observateur n° 519 du 21 octobre 1974


par Michel Bosquet

Au début de l’été, Ivan Illich m’a envoyé la première ébauche de son nouveau livre, « Némésis médicale ». Sa thèse centrale – la médecine fait plus de malades qu’elle n’en guérit – m’a choqué. Il me fallait en savoir plus, mieux connaître les faits sur lesquels l’auteur se fondait. J’ai donc fait le voyage jusqu’à Cuernavaca (Mexique), où Illich m’a ouvert sa bibliothèque médicale du C.I.D.O.C. (*). Muni de ses conseils, j’ai lu pendant tout un mois quelques dizaines d’écrits essentiels sur les trois mille qui ont constitué sa bibliographie. C’est cette « matière première », tout autant que certaines conclusions d’Illich, que je présente Ici. Une « lecture » politisée parmi les nombreuses interprétations qu’autorise cette œuvre explosive.

DEPUIS
 une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène. Prétendant rafistoler cas par cas, individu par individu, des populations de plus en plus maladives, elle masque les causes profondes de leurs maladies, qui sont sociales, économiques et culturelles. Prétendant soulager toutes les souffrances et angoisses, elle oublie que, en dernière analyse, les individus sont ravagés dans leur corps et leur psychisme par le mode de vie. La médecine, en les aidant à supporter ce qui les détruit, contribue finalement à cette destruction.
Telles sont, brièvement résumées, les thèses centrales du nouveau livre d’Ivan Illich, « Némésis médicale » (1). Plus encore que les précédents il choquera. Car, plus encore que la vitesse, que l’école, que les méga-outils de la méga-industrie, cibles des précédents ouvrages d’Illich, la médecine est une vache sacrée. De tous les instruments de notre normalisation sociale et de notre dépossession de nous-mêmes, la médecine – qui s’attaque aux sources les plus profondes de notre autonomie possible : à notre rapport au corps, à la vie, à la mort – est celui que nous revêtons des plus grands prestiges.
Professionnels ou profanes, n’attribuons-nous pas couramment à la médecine l’élévation rapide de l’espérance de vie : vingt ans à l’époque du Christ, vingt-neuf ans en 1750, quarante-cinq ans en 1900, soixante-dix ans aujourd’hui ? N’attribuons-nous pas couramment à Pasteur et à Koch, aux vaccins, à la chimiothérapie et aux antibiotiques la régression des maladies infectieuses et la progression de la longévité ? Ne tenons-nous pas pour évident que l’état de santé d’un peuple dépend du nombre de médecins et de lits d’hôpital dont il dispose, de la quantité de soins et de médicaments qu’il consomme ? Eh bien, tout cela est faux : l’efficacité curative de la médecine est et a toujours été réduite. Il est temps de la remettre à sa place.

I. LES FAUSSES VICTOIRES

Certes, la médecine a appris à traiter la presque totalité des maladies infectieuses, certaines déficiences endocriniennes comme le mixœdème, certains dérèglements métaboliques comme le diabète. Mais, dans l’ensemble, elle est en retard d’une guerre : car elle est impuissante à guérir les grandes maladies chroniques dégénératives qui ont pris la relève des infections en tant que causes principales de mort prématurée. Elle demeure impuissante contre les maux les plus répandus : « rhumatismes », migraines, affections des voies respiratoires, troubles de la digestion. Et, à bien y regarder, il n’est même pas vrai qu’elle ait joué le rôle décisif dans la régression des maladies infectieuses dont on lui attribue couramment le mérite.
Voyez plutôt cette courbe, empruntée à une étude de Winkelstein et French (2) : elle représente l’évolution de la mortalité par tuberculose, aux Etats-Unis, depuis 1900. Que nous apprend-elle ? Ceci : en Amérique comme en Europe, la tuberculose tuait 700 personnes par an et par tranche de 100 000 habitants, au début du siècle dernier. En 1882, année où Koch en découvrit le bacille, la tuberculose avait déjà régressé de moitié. En 1910, au moment où l’on créait les premiers sanatoriums, la tuberculose avait décliné des trois quarts. Et, par la suite, ni la technique du pneumothorax, introduite vers 1930, ni la chimiothérapie, adoptée après 1945, ni les antibiotiques, appliqués avec succès vers 1950, n’ont eu d’effet sensible sur la pente de la courbe.
Bref, la régression de la tuberculose n’est pas due à la médecine. A égalité de soins et de surveillance médicaux, les pauvres continuent à la contracter quatre fois plus souvent que les riches. Certes, la médecine a mis au point des traitements de plus en plus efficaces ; mais la bataille, pour l’essentiel, a été gagnée en dehors d’elle.
Le même genre de démonstration peut être fait pour d’autres grands fléaux : par exemple pour le choléra, la typhoïde, que tout infirmier et même tout profane peut aujourd’hui traiter avec des moyens simples et efficaces. Or la typhoïde et le choléra avaient déjà pratiquement disparu d’Europe avant même que le bacille, et le vibrion qui les provoquent aient été isolés.
Regardez encore le graphique suivant, dû à R. R. Porter (3) : il montre que la mortalité par scarlatine, diphtérie, coqueluche et rougeole avait déjà diminué de 90 % au moment où la vaccination obligatoire et les antibiotiques furent introduits en Grande-Bretagne. La pente de la courbe n’a pas subi d’inflexion notable après cette introduction en 1945.
Ainsi, les maladies infectieuses ont régressé indépendamment des armes, d’ailleurs efficaces, que la médecine a mises au point contre elles, pour être relayées par d’autres maladies épidémiques contre lesquelles la médecine ne peut pas grand-chose. « L’industrialisation, écrit John Cassel (4), a été accompagnée à ses débuts par l’essor rapide de la tuberculose. Celle-ci a atteint son apogée au bout de cinquante à soixante-quinze ans (soit vers 1800-1825) ; pour subir ensuite un déclin régulier, indépendant de ses traitements, et être relayée par des syndromes de malnutrition tels que le rachitisme (en Grande-Bretagne) et la pellagre (aux Etats-Unis). Pour des raisons en partie inconnues, ces maladies ont décliné à leur tour, relayées par les maladies de l’enfance. Le déclin rapide de celles-ci, durant les années 1930, alla de pair avec l’essor spectaculaire des ulcères du duodénum, principalement chez les hommes jeunes. Cette affection régressa à son tour, pour des raisons totalement inconnues, pour être relayée par les épidémies modernes : maladies cardio-vasculaires, hypertension, cancer, arthrite, diabète, troubles psychiques. »

Le savon et les ciseaux

Les maladies, finalement, apparaissent et disparaissent en fonction de facteurs tenant au milieu, à l’alimentation, à l’habitat, au mode de vie, à l’hygiène. Ainsi, la disparition du choléra et de la typhoïde, la quasi-disparition de la tuberculose, de la malaria, de la « fièvre puerpérale » sont dues non pas aux progrès de la thérapie mais au traitement de l’eau potable, à la généralisation des égouts, à de meilleures conditions de travail, de logement et d’alimentation, à l’assèchement des marais, à l’emploi de savon, de ciseaux et de coton stériles par les sages-femmes et les accoucheurs. Des médecins ont contribué au développement de ces pratiques préventives ; mais elles n’ont acquis toute leur efficacité que lorsque l’hygiène et l’asepsie (comme d’ailleurs la contraception) cessèrent d’être des techniques médicales pour devenir les conduites de tout le monde. Ce n’est pas la médecine qui assure la santé mais « l’hygiène » (hygieia) au sens originel : l’ensemble des règles et des conditions de vie.
« Même dans la presque totalité des pays sous-développés, écrit Charles Stewart (5),l’amélioration de l’état de santé a été obtenue presque entièrement par l’amélioration de l’hygiène publique ; la distribution accrue de soins médicaux n’y a joué qu’un rôle marginal, si tant est qu’elle en ait joué un… Le fait que, depuis deux décennies, l’espérance de vie ne progresse plus guère aux Etats-Unis et qu’elle est plus élevée dans plusieurs pays où la médecine est d’un niveau très inférieur à la nôtre suggère une productivité très faible de notre système de soins. »
Le tableau ci-dessous, présenté par John Powles (6), donne une représentation graphique saisissante de cette « productivité très faible » : il met en parallèle l’accroissement des dépenses de soins et l’évolution de la longévité, d’une part, de l’espérance de vie à la naissance, de l’autre. Il montre que le doublement des dépenses de santé, depuis 1950, a été pratiquement sans effet sur la longévité et que l’élévation de l’espérance de vie est presque entièrement imputable, depuis 1920, à la baisse de la mortalité infantile (voir graphique ci-dessous).
Le tableau présenté par Charles Stewart n’est pas moins éloquent : il montre des espérances de vie presque identiques dans des pays très inégalement « développés » du point de vue médical (la densité de médecine y varie dans la proportion de un à quatre).

Espérance de vie Mortalité infantile ‰ Médecins par 10 000 hab.
Barbades 69 47,7 4,2
Jamaïque 69 35,4 4,9
Costa Rica 67 65 5,4
Canada 71 23,1 12,2
Etats-Unis 70 23,3 15,6
Argentine 68 59,3 16,4

Stewart en conclut, avec bon sens, que, si les gens meurent, ce n’est pas la faute des médecins – et, s’ils vivent vieux, non plus. Objecterez-vous qu’on peut vivre vieux sans médecins à la Jamaïque, mais non au Canada ou en France ? Si elle était démontrable, cette objection voudrait dire : plus un pays est riche et plus sa population est sujette aux maladies ; elle a donc besoin d’une grosse quantité de soins pour vivre en aussi bonne santé que les populations pauvres. Si flatteuse qu’elle soit pour les écologistes (et pour les médecins), cette objection ne tient pas : on n’a jamais pu prouver que, dans un même pays, l’accroissement de la densité médicale et des dépenses de soins font baisser la morbidité. Ce peut être le contraire, on le verra par la suite. Si, en France, on meurt plus jeune, dans certains départements à faible densité médicale, la raison en est tout bonnement… l’alcoolisme. Corrigées des effets de l’alcoolisme, les disparités disparaissent (8).
En revanche, selon les calculs de Stewart, deux facteurs ont un effet positif très puissant sur l’élévation de l’espérance de vie : les adductions d’eau potable et l’alphabétisation. A eux seuls, ces deux facteurs expliqueraient 85,8 % des disparités des espérances de vie dans le monde (9).
Au vu de ces données, on ne peut s’empêcher de se demander : à quoi donc rime, dans tous les pays industrialisés, l’expansion foudroyante (10 à 15 % par an, en monnaie constante) des dépenses de « santé » ? Quel sens à la course au nombre de médecins, au nombre de lits d’hôpital, à la production de médicaments ? Si les Américains, qui dépensent 320 dollars par tête et par an en soins médicaux, ne se portent pas mieux que les Jamaïcains, qui dépensent 9,60 dollars, pourquoi gaspillent-ils leur argent ? Et pourquoi s’attaquer à grands frais (et sans grand succès) aux maladies plutôt que d’en éliminer les causes ?
L’une des clefs à ces questions se trouve dans le fait suivant : plus des trois quarts des dépenses de soins, dans les pays riches, visent non pas à soigner des maladies mais à soigner une santé que l’on croit ou que l’on craint menacée. Le but n’est plus de rétablir mais de préserver et d’améliorer. Et, comme aucune limite n’existe aux améliorations, un marché inépuisable s’offre aux fabricants de « préservatifs », d’adjuvants, de réjuvénants, de fortifiants, de tranquillisants, etc. C’est (nous y reviendrons) ce qu’Illich appelle la « médicalisation de la santé ».

Comportement de malade

L’adage selon lequel « le mieux est l’ennemi du bien » s’applique, ici, mieux que dans tout autre domaine : la meilleure santé est l’ennemi de la santé tout court. En suggérant à chacun qu’il risque d’avoir une maladie contre laquelle il pourrait peut-être se protéger par des examens, des traitements préventifs, des soins constants, la médecine fabrique des malades, ses malades. Et il ne s’agit point là de malades imaginaires.

II. UNE MEDECINE PATHOGENE

Les maladies provoquées par la médecine sont de deux sortes. Il y a celles dues aux interventions matérielles des médecins : intoxications, infections, mutilations, blessures,etc. Et il y a celles que les médecins provoquent ou entretiennent en incitant des gens qui ne sont ou ne se savent atteints d’aucun mal à adopter un comportement de malade, fait d’anxiété, d’auto-observation, de crainte de l’effort, de dépendance… Il existe, aux Etats-Unis, une littérature impressionnante sur ces maladies et ces névroses dites « iatrogènes ». Illich y ajoute une troisième dimension, « la iatrogenèse structurelle ou existentielle », par quoi il entend ceci : l’envahissement médico-pharmaceutique, la médicalisation de la santé, de la maladie, de la grossesse, de la naissance, de la sexualité et de la mort, ont détruit, chez les individus, jusqu’aux fondements ultimes de la santé ; la capacité d’assumer leur condition et de faire face, par eux-mêmes, aux événements et aux épreuves de leur existence biologique.
Mais commençons par les maladies iatrogènes au sens étroit.
« Les effets pathogènes de la médecine, écrit Illich, sont, de toutes les épidémies, l’une de celles qui se propagent le plus vite. Les maladies provoquées par les médecins constituent une cause d’aggravation de la morbidité plus importante que les accidents de la circulation ou les activités liées à la guerre. » Exagération ? Jugez-en à partir de ces quelques exemples. S’ils sont, pour la plupart, tirés d’études américaines, ce n’est pas que les hôpitaux soient plus mauvais aux Etats-Unis mais seulement que la mise en question et l’examen du système sanitaire y sont plus francs et plus critiques.

Les dangers de l’hôpital

Cherchant à mesurer les risques auxquels l’hospitalisation expose les patients, malades ou non, deux médecins établirent, en 1965, le bilan suivant (10) : 20 % des patients admis dans leur hôpital pour y subir des traitements ou des examens étaient victimes d’un ou de plusieurs incidents. Il y avait, en moyenne, un incident pour quarante et un jours-patients, un incident sérieux pour quatre-vingt-dix-neuf jours-patients. Les examens ou traitements étaient, à l’origine, de 27 % des incidents, 28 % de ceux-ci étaient dus à des accidents ou des erreurs (notamment dans l’administration de médicaments) et 45 % à des intolérances aux médicaments. Cette dernière cause obligea donc 9 % des patients à prolonger leur séjour à l’hôpital.
Cette enquête artisanale et locale fut évidemment contestée. Les National Institutes of Health (N.I.H.) organisèrent une enquête nationale. Son bilan fut plus consternant encore : sur trente-deux millions de personnes ayant passé, en 1970, par les hôpitaux (chiffre qui comprend les consultations externes), plus de 10 % durent être retenues plus longtemps que prévu en raison d’intolérances aux médicaments qu’elles avaient reçus. De plus, 1,5 million de personnes furent hospitalisées par suite de troubles provoqués par des médicaments que leur avait prescrits « leur » médecin (11).
Peu après, un pharmacien, Marc Laventurier, et un médecin, Robert Talley, estimèrent qu’au moins trente mille personnes meurent annuellement, dans les hôpitaux américains, d’empoisonnements médicamenteux. Contestant cette estimation, l’association des pharmaciens et celle des médecins procédèrent à leur propre enquête en choisissant l’hôpital universitaire de Floride pour terrain d’investigation. Nouvelle consternation dans cet hôpital-modèle, un patient sur cinq cent cinquante-cinq (soit 0,18 %) est tué annuellement par l’administration de médicaments. Dans les hôpitaux de Boston, particulièrement réputés, on constata, peu après, une « mortalité médicamenteuse » plus de deux fois plus forte : 0,44 % par an, soit un patient sur deux cent vingt-huit. (C’est là, également, le taux constaté dans les hôpitaux israéliens.) Bref, dans les seuls hôpitaux, les seuls médicaments tuent entre soixante mille et cent quarante mille Américains par an (12) et en rendent plus ou moins gravement malades 3,5 millions d’autres.
Combien de patients subissent des atteintes autres que pharmaceutiques? Sur les six mille personnes qui, en France, meurent annuellement « sur la table d’opération » – (dont deux mille par la faute des anesthésistes) (13) –, combien sont opérées sans réelle nécessité ? Combien souffrent, leur vie durant, parce qu’un chirurgien les a opérées d’une « descente du rein » dont elles ne souffraient guère ? Combien de femmes sont amputées de leur appareil génital (hystérectomie) sans nécessité ?

Des organes sains

Sur cette dernière question, c’est encore un médecin américain qui apporte une réponse : il s’est fait communiquer les rapports des 6 284 hystérectomies pratiquées en une seule année dans les trente-cinq hôpitaux privés de Los Angeles (14). Bilan : 5 557 (88,5 %) furent pratiquées sans que leur nécessité fût établie au préalable. Selon les propres rapports des chirurgiens, aucune lésion n’a été relevée chez huit cent dix-neuf patientes (qui furent donc amputées de leurs organes sains). Près de la moitié de toutes les opérées (48,2 %) ne présentaient, avant l’opération, d’autre symptôme qu’un « mal aux reins » ou même pas de symptôme du tout (5,4 %). Pis : 30 % des jeunes femmes (vingt à vingt-neuf ans) amputées furent trouvées, après coup, exemptes de toute affection. Le diagnostic post-opératoire ne parvint à justifier l’opération que dans 2 494 cas (40 %). Bref, « on enlève tout », on regarde après : et cela ne se pratique pas qu’en Californie.
Illich résume la situation en notant : « Les accidents sont la cause principale de la mortalité infantile ; les hôpitaux sont, de tous les lieux, celui où il y a le plus d’accidents. De plus, le taux des accidents est plus élevé dans les hôpitaux que dans toutes les autres industries, le bâtiment et les mines exceptés. Les hôpitaux universitaires sont, de tous, les plus pathogènes : un patient sur cinq y contracte une maladie iatrogène exigeant, en général, un traitement spécial et entraînant la mort dans un cas sur trente. Avec un pareil taux d’accidents à son actif, un officier serait aussitôt relevé de son commandement, un restaurant ou un établissement de nuit fermé par la police. »

Le rituel technique

Quoi conclure? Qu’il faut davantage d’hôpitaux plus modernes, davantage de médecins et d’aides médicaux mieux formés, des contrôles plus stricts, des crédits accrus ? Illich tire la conclusion inverse : la médecine est devenue une industrie hypertrophiée ; ses usines, ses bureaucraties, ses patrons, ingénieurs et contremaîtres se sont emparés de tout ce qui touche à la santé et à la maladie, expropriant les individus de l’une et de l’autre : les gens sont incités à s’en remettre à « ceux qui savent » ; la guérison, l’équilibre physique et psychique ne s’obtiennent plus par « l’art de vivre », la « vertu » et « l’hygiène » (hygeia) au sens ancien mais par de constantes interventions techniques. Les ordonnateurs de ces interventions ont persuadé les gens que, pour vivre, survivre, guérir ou supporter leurs maux, ils ont besoin de s’entourer d’une sorte de bulle thérapeutique, chemisée, aseptisée, tranquillisée, stimulée, régulée, contrôlée en permanence.
Et si la médecine a réussi à placer tout le monde sous sa dépendance, c’est bien parce que cette société fondamentalement pathogène a produit une population fondamentalement maladive. Les professionnels de la santé, loin d’attaquer les causes profondes du mal, se bornent à en recenser et en traquer les symptômes, offrant aux gens d’atténuer leur mal-être, de masquer leur souffrance, de les débarrasser de leur angoisse, de les préserver du pire. La médecine devient alors le rituel technique d’une prise en charge relevant, en fait, de l’incantation et de la magie (rebaptisées « suggestion », « placebothérapie », « sécurisation », etc.) et qui sape la capacité d’autonomie des personnes plus radicalement encore que ne le faisaient les prêtres.
« Médicalisés », les individus cessent de considérer comme naturel le fait de tomber malade et de guérir, de vieillir et de mourir. « De nos jours, dit Illich, on n’est plus emporté par la mort mais par une maladie dont on « aurait pu » être « sauvé » ; on ne guérit plus lorsqu’on est malade mais on est guéri » ; on n’est plus bien portant mais bien soigné, bien préservé contre l’infinité des troubles dont on ne cesse de guetter les signes.
C’est par cette médicalisation de la santé, plus encore que par la médicalisation de la maladie, que la médecine finit par rendre malades des gens qui, sans elle, s’estimeraient bien portants. Dire qu’elle rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit n’est pas une exagération rhétorique. Objecter d’avance que les risques auxquels la médecine vous expose sont peu de chose, comparés à ceux que vous feraient courir les maladies qui vous menacent, c’est méconnaître ce fait premier : dans 90 % des cas, les malades guérissent (ou peuvent guérir) sans intervention thérapeutique. Selon le rapport déjà cité des N.I.H., 60 % des médicaments et 80 à 90 % des antibiotiques sont administrés à tort.
Mais voici un second fait dont la presse, en son temps, fit grand cas : lors de la grève (qui dura un mois) des hôpitaux israéliens, le taux de mortalité de la population fut plus faible qu’à aucun autre moment. Seules les urgences étaient acceptées, ce qui fit baisser de 85 % le nombre habituel des admissions. Cette même baisse de 85 % fut enregistrée lors de la grève des hôpitaux new-yorkais. Tout se passe comme si la population se portait mieux lorsque les soins médicaux sont limités aux urgences.

Une prévention douteuse

Mais la médecine préventive, dira-t-on ? Ne réduit-elle pas les risques de maladie ? Eh bien, on va le voir, c’est tout le contraire. Quand, comme c’est le cas actuellement, la médecine dite préventive se préoccupe non pas d’assainir le milieu de vie et de travail mais seulement de dépister les signes précoces des maladies, elle accroît le nombre des malades au lieu de le réduire. Tout d’abord, en effet, comme le notait L. Boltanski (15), les visites obligatoires de dépistage « baissent le seuil de tolérance aux sensations morbides, instaurent un rapport plus douillet au corps, accroissent l’insécurité » et, de ce fait, « augmentent les chances subjectives de maladie et la consommation médicale ». Mais il y a plus. Ce sont encore des Américains qui ont tenté de mesurer les effets pathogènes. Voici, par exemple, une étude de Bergmann et Stamm sur le dépistage scolaire des affections cardiaques (16). Etonnés par la proportion d’enfants auxquels on interdisait le sport et les jeux, qu’on ménageait à l’école, couvait à la maison, bourrait de calmants parce qu’ils avaient un « souffle au cœur », Bergmann et Stamm étudièrent toute la population scolaire de Nashville. Leur conclusion : 44,4 % des enfants ont un « souffle au cœur » anodin, qui ne les empêche pas d’être bien portants. « Les incapacités qu’on leur inflige en raison de cette non-maladie paraissent plus importantes que celles provoquées par la maladie, lorsqu’elle existe. »

Les faux tests

Audy et Dunn, de leur côté, se livrèrent à l’expérience suivante : ils examinèrent quatre mille personnes bien portantes et constatèrent que 30 % avaient des affections manifestes sans le savoir et 60 % des affections latentes bien compensées ; 10 % seulement étaient cliniquement en bonne santé (17). Conclusion : il suffisait d’informer ces personnes bien portantes de leur tableau clinique pour transformer 90 % d’entre elles en patients et provoquer chez la plupart l’apparition ou l’aggravation de symptômes qu’elles avaient ignorés jusque-là.
Objecterez-vous qu’en les traitant dès le stade présymptomatique on avait de meilleures chances d’enrayer ou de guérir les maladies détectées ? Eh bien, détrompez-vous : par l’anxiété qu’ils suscitent, le diagnostic ou le pronostic précoces provoquent généralement une détérioration de l’état de santé. N. J. Roberts l’a vérifié dans une enquête portant sur plusieurs milliers de patients suivis pendant sept ans : le traitement des affections dès le stade présymptomatique donne moitié moins de résultats positifs que lorsque les symptômes sont déjà manifestes (18).
Ajoutez à cela que les tests (examens de laboratoire) sont souvent faux ou faussement interprétés, même quand il s’agit de dosages simples : dans les hôpitaux, où les hémogrammes et les dosages des glucides et de l’urée sont systématiquement pratiqués, 67 % des résultats anormaux passent inaperçus : « Les médecins sont à tel point submergés par le flux des résultats normaux que les résultats anormaux échappent à leur attention » (19).
Sans entrer dans la querelle de la vaccination, voici néanmoins une information toute récente : il y a vingt ans, avant l’introduction de la vaccination obligatoire, cent mille enfants britanniques par an contractaient la coqueluche ; environ cent soixante en mouraient. Actuellement, selon le professeur George Dick, de la Middlesex Hospital Medical School, quatre-vingts enfants par an meurent des suites de leur vaccination et quatre-vingts autres subissent des lésions cérébrales irréparables (20).
Mais les maladies cardio-vasculaires et les cancers, dira-t-on, qui sont la cause apparente de 66,7 % des décès, ne vaut-il pas mieux les détecter le plus tôt possible ? Eh bien, supposons qu’après un « check up » on vous assure que « tout est en ordre ». Cela ne vous prémunit en rien contre une crise cardiaque dans la semaine ou le mois qui suit. Au contraire, remarque Paul Clote : « Le bilan de santé rassurant peut encourager le patient à ignorer des symptômes survenant peu de temps après », alors qu’en l’absence de tout bilan il aurait probablement veillé à ne pas se surmener (21).
Supposons d’autre part que le « check up » confirme ce dont vous vous doutiez et qu’on aurait pu vous rappeler sans user d’un attirail technique compliqué et coûteux : vous avez une tension élevée, un « cœur fatigué », il faudrait ne pas fumer, moins manger, prendre plus d’exercice et de détente, bref, changer votre mode de vie et vos ambitions socioprofessionnelles Or le candidat typique à l’infarctus est précisément le « cadre » qui, plutôt que d’en rabattre sur ses ambitions, accepte le risque d’être « foudroyé en plein effort » : l’hygiène qui pourrait le préserver de l’infarctus lui apparaît comme un handicap professionnel. La médecine ne peut rien pour lui.
Ainsi que le note Clote, « la détection précoce d’une affection cardio-vasculaire sert à bien peu de chose puisqu’il n’existe pas de mesure positive pouvant atténuer ou enrayer le mal ». Il y a certes des hypotenseurs, mais leurs effets secondaires peuvent être redoutables et « rien ne prouve qu’ils présentent plus d’avantages que de risques ». Quant aux essais de prévention médicale des maladies cardio-vasculaires, ils ont été des échecs : l’expérimentation de médications préventives, tentée aux Etats-Unis, a été abandonnée au bout de dix-huit mois, car le groupe qui prenait les médicaments « présentait un taux de mortalité plus élevé et un plus grand nombre d’effets néfastes (infarctus, embolies) que le groupe de contrôle qui recevait des placebos ».
Bref, à quoi bon dépister les maladies que la médecine ne sait ni traiter ni guérir ? C’est la question qui se pose aussi pour la plupart des cancers. Faut-il absolument dépister le cancer du poumon quand 95 % des malades opérés à la suite d’un diagnostic précoce n’en meurent pas moins dans les cinq ans (22), de sorte que le principal effet du diagnostic, et de 1’opération, aura été de leur gâcher le peu de temps qu’il leur restait à vivre « normalement » ? Faut-il absolument « traiter » le cancer du sein quand – passé un stade précoce (23) durant lequel il est guérissable – 70 à 80 % des femmes traitées n’en meurent pas moins au bout de six mois à deux ans, d’un cancer secondaire, et que ces mois qu’il leur reste à vivre seront gâchés par des traitements (radiothérapie, mastectomie, chimiothérapie) éprouvants ?
Au sujet d’autres cancers conduisant à une mort souvent indolore, Turnbull note que « le traitement chirurgical ou radiologique, lorsqu’il vient à bout de l’affection primaire, permet le développement d’un cancer secondaire qui, lui, est souvent douloureux… Le prix de la guérison est souvent plus grand que nous ne l’admettons » (24).
C’est aussi ce qu’affirme Illich. Avec Paul Clote, il soutient que « le traitement précoce de maladies incurables a pour seul effet d’aggraver la condition des patients » qui, en l’absence de tout diagnostic et de tout traitement, « demeureraient bien portants les deux tiers du temps qu’il leur reste à vivre ». Si ces affirmations choquent, c’est seulement dans la mesure où il est devenu choquant d’affirmer qu’il est naturel de mourir, qu’il y a et qu’il y aura toujours des maladies mortelles, que celles-ci ne sont pas un dérèglement accidentel et évitable mais la forme contingente que prend la nécessité de la mort; et qu’à tout prendre il peut valoir mieux mourir de la maladie qu’on a que de celle, iatrogène ou secondaire, qu’on contractera à sa place.
Mais ce sain bon sens tend à devenir la chose la moins bien partagée dans nos civilisations médicalisées. La prétention très récente (elle remonte à 1920) de la médecine que toute maladie doit être ou devenir guérissable a transformé tout décès d’un malade en « mort accidentelle » et donné naissance à l’idée, et à l’idéal, de la « mort naturelle » : c’est-à-dire d’une mort sans cause pathologique, survenant par épuisement d’un corps qui, usé mais intact, s’éteindrait comme une lampe à huile. L’idéal de la « mort naturelle », c’est de mourir en bonne santé, après avoir mobilisé toutes les ressources de la technique médicale.
Du coup, voici la mort médicalisée au même titre que la maladie, la santé et la naissance : quiconque ne meurt pas à l’hôpital meurt d’une mort irrégulière qui fera l’objet d’un contrôle judiciaire ou médico-légal. Il faut mourir à l’hôpital pour être en règle, et à l’hôpital, précisément, vous ne pourrez mourir qu’avec l’autorisation des médecins. Votre mort, tout comme vos maladies et votre santé, devient affaire de professionnels, elle ne vous appartient pas. L’art de mourir (ars moriendi) – qui tenait de la fête d’adieu dans laquelle le mourant, entouré et soutenu dans sa tâche par tous ses proches, résumait le sens de sa vie et « mourait comme il avait vécu » – l’art de mourir a été remplacé dans notre culture par la mort clinique, solitaire, honteuse et absurde.
La boucle est maintenant bouclée. L’homme moderne est né à l’hôpital, soigné à l’hôpital quand il est malade, contrôlé à l’hôpital pour voir s’il est bien portant, renvoyé à l’hôpital pour mourir dans les règles. Le voici dépossédé d’un des derniers fondements de sa souveraineté au profit des mêmes méga-institutions et méga-machines qui, nées de la concentration du capital et de la généralisation des rapports marchands, règlent le reste de sa vie. Illich : « L’individu qui apprenait en voyant et en faisant ; qui se déplaçait par ses propres moyens ; qui enfantait et élevait ses enfants ; qui guérissait et prenait soin de sa santé et de celle d’autrui, a fait place à l’individu véhiculé par des transports à moteur, accouché dans une salle d’hôpital, éduqué par l’école, soigné par les professionnels de la santé. » Il est devenu tributaire pour tous ses besoins de biens et de services marchands, dispensés par des appareils institutionnels échappant à son contrôle et à sa prise, et qui engendrent la dépendance, la rareté et la frustration :
– La vitesse accrue des véhicules paralyse nos transports et nous y fait perdre plus de temps qu’à aucune autre époque ;
– La chimisation de l’agriculture détruit des équilibres fondamentaux, qui ne sont pas qu’écologiques, et place le monde au seuil de nouvelles famines ;
– La scolarisation de l’enseignement détruit la possibilité d’apprendre par nous-mêmes et nous en enlève jusqu’à l’envie ;
– La généralisation du salariat et de la grande production marchande nous rend incapables de produire selon nos besoins, de consommer selon nos désirs, de définir et de mener la vie que nous voulons ;
– L’envahissement médico-pharmaceutique, enfin, nous rend de plus en plus maladifs et détruit la santé dans ses ressorts profonds.
C’est tout cela qu’Illich appelle la Némésis industrielle, dont la Némésis médicale n’est qu’un aspect : nous avons troqué l’asservissement à la nature contre l’asservissement à une antinature plus tyrannique encore, et plus terrible. Et nous y avons perdu la santé.
Car celle-ci n’est pas une donnée biologique mais, dit Illich, « une tâche : la capacité de s’adapter à un milieu changeant [dans certaines limites, évidemment], de grandir, de vieillir, de guérir quand on est atteint, d’enfanter, de souffrir, de faire face paisiblement à la mort…, de vivre avec son angoisse… Quand le besoin de soins spécialisés dépasse un certain seuil, on peut en inférer que la société est malsaine dans son organisation et ses buts… Rester en bonne santé devient alors une activité de subversion de l’ordre social ».
Nous voici au cœur du problème : dans une société pathogène, la santé est aussi une tâche politique. Pas plus qu’une institution spécialisée (l’école) ne peut réellement éduquer quand la vie sociale (métro-boulot-dodo) cesse d’être éducative, pas plus la médecine ne peut donner la santé quand le mode et le milieu de vie l’abîment. Les anthropologues et les épidémiologues le savent bien : les individus ne sont pas malades seulement de quelque atteinte extérieure et accidentelle, guérissable moyennant des soins techniques : ils sont aussi malades, le plus souvent, de la société et de la vie qu’ils ont. Une médecine qui prétend traiter les maladies sans se préoccuper de leur sociogenèse ne peut qu’avoir une fonction sociale très équivoque. Au mieux, elle est une activité charitable par laquelle le médecin occupe, outre la sienne propre, la place vide du prêtre. Au pis, elle est une industrie qui aide les gens malades à continuer leur façon de vivre malsaine, pour le plus grand profit des fabricants de poisons de toute sorte.
Mais, plutôt que de juger, il faut demander : pourquoi la médecine est-elle ce qu’elle est ? Pourquoi le public en a-t-il, partout, une fringale insatiable? La « démédicalisation » de la santé, la « déprofessionnalisation » des soins sont-ils imaginables ?
(1) Une adaptation française paraîtra aux éditions du Seuil. Elle tiendra compte des enseignements du débat contradictoire qui s’ouvrira dans le « Nouvel Observateur » à la suite de cet article, débat auquel Ivan Illich participera.
(2) Warren Winkelstein et Fern E. French, « The Role of Ecology in the Design of a Health Care System », in « California Medicine » 113-7, 12 novembre 1970. Voir aussi René Dubos « l’Homme et l’Adaptation au milieu », Pavot 1978.
(3) Reproduit par John Powles dans : « Science, Medicine and Man », vol. 1, p. 7, The Pergamon Press, London 1974. Première publication dans « Antologia Medicina », t. 7/4, C.I.D.O.C., Cuernavaca (Mexique), 4 volumes.
(4) Professeur d’épidémiologie à l’université de Caroline du Nord. Communication à l’American Sociological Association, 29 août 1973. Reproduit in « Antologia Medicina », tome 8/1, C.I.D.O.C.
1974.
(5) Charles T. Stewart, « Allocation of Resources to Health » in « The Journal of Human Resources », VI, I, 1971.
(6) Dans « Science, Medicine and Man ».
(8) D’après L. Lebart, C.R.E.D.O.C., juin 1970 ; cité par J.-P. Dupuy et S. Karsenty, « l’Invasion pharmaceutique », le Seuil, 1974.
(9) Il n’en faut évidemment pas déduire que ces deux facteurs puissent a introduits isolément : l’assainissement de l’eau et l’alphabétisation (à ne pas confondre avec la scolarisation) impliquent une révolution sociale et culturelle.
(10) J. T. Lamb et R. R. Huntley, « The Hazards of Hospitalization », in « Southern Medical Journal », mai 1967. L’enquête fut faite au North Caroline Memorial Hospital.
(11) Cité par Charles Levinson dans « les Trusts du médicament », le Seuil, 1974.
(12) Voir le « New York Times » du 22 mai 1974.
(13) Evaluation du professeur Montagne, dans « le Monde » du 3 mai 1974
(14) James C. Doyle, « Uunecessary Hysterectomies », J.A.M.A. 151 (5), 53-01-31.
(15) « La Découverte de la maladie », Centre de sociologie européenne. Cité par Jean-Pierre Dupuy et Serge Karsenty, « l’Invasion pharmaceutique ».
(16) « The Morbidity of Cardiac NonDisease », in « The N. Engl. Jour. of Med. », mai 1967.
(17) Ralph Audy et Fred L. Dunn, « Health and Disease », in « Human Ecology », Fr. Sargent éd., North Holland Publishing Co., Pays-Bas.
(18) Cité par Kruse et al., « Bulletin of the N.Y. Academy of Med. », vol. 33, 1957.
(19) Paul D. Clote et John McKnight ; « Automatic Multiphaste Health Testing, an Evaluation », North Western University, novembre 1973. Première publication dans « Antologia C.I.D.O.C. », tome 8.
(20) Voir « The Sunday Times » du 22 septembre 1974.
(21) J.A.M.A., 16 novembre 1970.
(22) D’après Gordon Siegel, directeur (en 1969) du U.S. Public Health Service.
(23) Si précoce que seul l’autodiagnostic mensuel permet de la détecter à temps. Il en va de même pour le cancer du col de l’utérus.
(24) Frank Turnbull, British Columbia Cancer Institute, dans « The Canadian Nurse », août 1971.



nemesis médicale

01 SEP 2013 

France : explosion catastrophique dans la prescription de médicaments

"Catastrophes''n'est pas exagéré.  " La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments, ''note Wurmser. Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75.

"Avec moins de 1 pour cent de la population mondiale, la France représente aujourd'hui près de 10 pour cent de toutes les dépenses sur les drogues du monde entier."

France : ''Maman est une droguee'' une junkie

France : ''
il faudrait une révolution culturelle.''

En 1995, l'Organisation pour la coopération économique et de développement économiques (OCDE) a indiqué que le citoyen moyen de la France a acheté 52 conteneurs de médicaments - plus que le chiffre total combiné pour les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et l'Italie.

les pilules sont reine

Les français chef de file mondial dans l'utilisation des médicaments

Frank Viviano, Chronicle Staff Writer Frank Viviano, rédacteur chronique

Thursday, May 14, 1998 Jeudi, Mai 14, 1998

(05-14) 04:00 PDT Paris - Le dimanche de Pâques, lorsque Marie-Claude Monnet a commencé slurring ses mots après un seul verre de vin et s'est endormi à mi-chemin de l'agneau rôti de vacances, la famille Monnet rendu compte qu'il avait un problème .

Sa fille Jeanne a trouvé plus de 100 boîtes ouvertes de tranquillisants, analgésiques narcotiques et des antibiotiques dans les 79 ans de femme appartement à Paris. `` Nous avons dû faire face aux faits,''dit Jeanne. '' `` Maman est une droguee''- `` un junkie.''

La famille (son nom a été changé, à leur demande). Mais les détails ne sont que trop réels. Dans une nation qui est devenu le leader mondial en fugue en pilule-popping, Marie-Claude Monnet stocke les produits pharmaceutiques c'est typiquement français comme une de cave à vin bien garnie. Avec moins de 1 pour cent de la population mondiale, la France représente aujourd'hui près de 10 pour cent de toutes les dépenses sur les drogues du monde entier.

En 1995, l'Organisation pour la coopération économique et de développement économiques (OCDE) a indiqué que le citoyen moyen de la France a acheté 52 conteneurs de médicaments - plus que le chiffre total combiné pour les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et l'Italie.

Le moyen français femme dans Madame Monnet groupe d'âge a eu des 99 conteneurs de médicaments, alors que la moyenne de 80 ans, l'homme a acheté 91.

``Les médecins français prescrivent quatre fois plus que les Britanniques, Irlandais, Italiens ou Grecs, et six fois plus que le danois, belge et allemand médecins,''dit pharmaceutiques chercheur Berthod Wurmser, un expert européen sur les questions de santé.

Selon l'industrie pharmaceutique ses propres chiffres, les achats de médicaments en France a augmenté de 518 pour cent entre 1970 et 1995.

Il en va de même saut a été enregistré aux États-Unis, où le projet de loi nationale de médication est passé de moins de 10 milliards de dollars en 1970 à près de $ 50 milliards en 1995. Mais ajustés pour la parité de pouvoir d'achat, français annuel de dépenses en médicaments par personne reste n ° 1 sur la Terre, à plus de $ 300, avec les États-Unis de près de 290 $.

De peur que les Américains se sentent béat, ils peuvent prendre note du fait que les fournisseurs américains agressive nourrir le français habitude. Commercialisé et acheté sur Internet, un nombre croissant de médicaments sont transportés illégalement vers l'Europe des États-Unis, les autorités postales dire.

Mais les principales sources restent majoritairement français. En 1991, un rapport du gouvernement a révélé que près d'un tiers des femmes françaises étaient prescrites tranquillisants ou anti-dépresseurs à chaque visite médicale.  En 1996, 30 pour cent de toutes les femmes ont plus de 60 consommateurs réguliers de drogues, de même que 57 pour cent des chômeurs.

Dans un cas extrême dans le centre de la France, un médecin prescrit des médicaments 38 distinct pour le même patient.  Dans un autre cas, un retraité a été retrouvé à prendre 116 pilules par jour.

` `` Si plus de trois composés chimiques sont ingérées par un patient, il est presque impossible de prédire ce que les effets de leurs interactions peut-être,''met en garde le Dr Jean-Pierre Poullier, directeur de la politique de santé études à l'basé à Paris, l'OCDE .

Comme la famille de Madame Monnet, la France sait qu'elle a un grave problème. '' Mais le résoudre, comme un pharmacologue a dit, ``, il faudrait une révolution culturelle.''


Comme aux États-Unis, le problème découle d'une série complexe de relations entre les médecins, les patients, l'industrie pharmaceutique et le plus grand système médical qui les unit.

Il est également un exemple classique d'une fois-un modèle de protection sociale programme qui a défié les meilleures intentions du monde et a erré en cas de catastrophe.

 

Une enquête non scientifique d'experts des deux côtés de l'Atlantique, veuillez consulter unanimement reconnu que les lacunes dans le monde la plus complète du gouvernement-subventionnés système de soins de santé sont principalement responsables de l'explosion catastrophique dans l'usage de drogues.

note NAB :  La sécurité social est responsable de notre empoisonnement

`` Catastrophes''n'est pas exagéré.  ``La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments,''note Wurmser. Sa prescription liée à la drogue taux de mortalité est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75.

En d'autres termes, les prix des médicaments sont conservés si bas que les fabricants de produits pharmaceutiques doit vendre d'énormes quantités de leurs produits pour financer la recherche et le développement.

Aux États-Unis et la Grande-Bretagne, le bénéfice annuel de marge des fabricants de médicaments est près de 20 pour cent. En revanche, les entreprises françaises en moyenne un peu plus de 3 pour cent, selon le professeur Denis Richard, chef de services pharmacologiques au-Henri Laborit École de médecine de Poitiers.

`` En France, le gouvernement contrôle les prix des médicaments, et l'industrie pharmaceutique ne peut pas faire grand-chose pour ses revenus, sauf pourauguementer le volume,''says the OECD'S M. Poullier.

``  les prix des médicamenrs en france ont longtemps été moins de 50 pour cent du prix correspondant allemand'', note le Dr Anne-Laurence Le Faou, auteur d'un livre sur l'économie de la santé publique en Europe.

Les médicaments sont le seul secteur de l'industrie française dans laquelle les prix sont fixés par l'Etat, une politique qui implique 80 pour cent de tous les médicaments sur le marché.

Pour atteindre le volume des ventes, $ 20 milliards par an l'industrie pharmaceutique française va géant des campagnes de marketing, papering ville murs d'affiches pour les médicaments et gonfler la masse des magazines de circulation avec nappe pleine page des annonces. Il assiège les médecins avec plus de 17000 représentants des ventes.

Les coûts sont effectivement transmises au gouvernement.

Nationale d'assurance maladie couvre 99 pour cent du public français. Les patients sont directement remboursés à 65 pour cent de la plupart des médicaments couverts, et 100 pour cent pour les médicaments considérés comme indispensables pour le traitement de maladies graves.

Une grande partie du solde du coût est absorbée par la mutuelle ``,''une police d'assurance privée, généralement payés par l'employeur, qui couvre 87 pour cent de la population.

`` Pour les individus, il n'existe pas de inhibitions financière sur la consommation,''a déclaré le professeur Mike Dixon de l'Université de Caroline du Sud, qui a passé une année à Paris a faire des recherches sur les niveaux comparatifs de produits pharmaceutiques.

Le résultat de l'équilibre entre le contrôle et les prix de détail élevé du volume des ventes, toutefois, est lourde dette publique. Les ménages français ont consacré 126 milliards de francs pour les médicaments en 1995 (environ $ 24,7 milliards). En comparaison, les dépenses des ménages sur le vin et toutes les boissons alcoolisées était de 89 milliards de francs ($ 17,5 milliards).

Les dépenses de médicaments  ont contribué à faire la nation totale du projet de loi de santé de 4,2 pour cent du PIB en 1960 à 10,2 pour cent en 1994, un niveau dépassé seulement par le monde les 14,5 pour cent des dépenses aux États-Unis.

Les coûts des soins de santé représentent les deux-tiers de la France de dollars 10,1 milliards de déficit de protection sociale en 1996, un déficit qui menace l'ensemble du système de faillite.

`` Ce que vous voyez en France est une étude des manuels scolaires d'un environnement réglementaire et ses conséquences,''a dit Dixon.

'' Ce que vous aussi voir, ajoute-t-Poullier, `` est une démonstration du principe que la médecine n'est pas une science, elle est un art - un art qui s'appuie sur les particularités d'une culture spécifique.''


Peu de professionnels de la santé en sont venus à comprendre ce principe, plus intimement que Anne Pietrasik, une infirmière, auteur et interprète médical qui a travaillé avec des dizaines meilleurs du monde pharmaceutique chercheurs.

Formé en Grande-Bretagne et en France, Pietrasik a servi comme une infirmière de soins intensifs pour les malades en phase terminale dans les deux pays, et comme assistant de recherche expérimentale à un pharmacologue, avec des bureaux en Californie et à Paris.

`` Le peuple français, dit-elle'', `` ont un profond respect et la foi en la «baguette magique» - un coup de baguette magique - qui peuvent nous guérir tout mauvais à l'ingestion de 'droit' pilule.''

'' En effet, ajoute M. Poullier, `` le français pense que le médecin n'est pas bon si ils viennent de loin un examen sans une longue liste de prescriptions.''

Il peut être `` énorme variation des hypothèses culturelles comme celles-ci'', at-il fait observer.

Les Américains ont tendance à penser «chirurgie» quand ils tombent gravement malades, beaucoup plus souvent que dans d'autres pays. Pour les Néerlandais, un bon médecin est un qui ne se charge pas avec les prescriptions, même si les Pays-Bas sont à seulement 300 kilomètres (180 milles) de la France.''

Dans la transaction entre surprescription médecins français et de leurs clients overconsuming, Pietrasik d'accord, le problème dans les deux sens.`` Le médecin répond à une demande, l'insistance d'un patient qui est toujours déterminée à trouver que la baguette magique.''

C'est précisément cette décision qui a alimenté Marie-Claude Monnet formidable obtention de la drogue.

'' Troublée par l'asthme aigu et incapables de faire face aux rigueurs de l'âge après une vie frénétique de l'activité non salariée femme d'affaires et chef de famille monoparentale, `` maman est sûr qu'elle peut trouver une pilule qui donnera son dos l'énergie qu'elle a une décennie Il ya, dit Jeanne'', `` si seulement elle recherches assez fort.''

La recherche a pris un autre le long de son bien-parcouru la route en français système de soins de santé, un voyage de clinique à la clinique à la recherche d'une coopérative médecin. Parfois, dit Jeanne, qui trouve wads de bulletins de nomination mixte avec sa mère médicaments, `` elle a vu pas moins de deux médecins différents par jour, tous les jours de la semaine.''

Comme pour les médicaments, il ya peu d'effet dissuasif sur la limitation financière des médecins rendez-vous en France. Recrues dans le système national de santé peuvent aller à tout médecin de leur choix. Ils sont remboursés entre 70 pour cent et 100 pour cent de la taxe.

De plus en plus confuse et déjà soumis à des pertes de mémoire, madame Monnet a eu à plusieurs prescriptions de départ à la fois sur son propre, puis mettre fin à certains avant leur date d'achèvement tandis que le remplissage d'autres.

Convaincue que sa respiration difficultés étaient le résultat de `` tous ces infections,''comme elle l'a vaguement dit à sa fille, elle a convaincu les médecins à prescrire des antibiotiques pour le rhume d'hiver - un dangereux abus de drogues qui n'ont pas d'effet sur les rhumes ou les virus.

`` Pour prescrire un médicament inutile presque chaque jour pour 20 pour cent de tous les patients, même modérée à un coût unitaire, est de détourner de 5 ou 6 milliards de francs par an à partir de ressources publiques qui pourraient apporter des gains appréciables de santé au public que si somme a été utilisée plus efficacement,''a conclu un rapport du gouvernement 1996.

Dans un demi-mille de son appartement, à la lisière sud de Paris, il ya plus de 200 pharmacies. ``They outnumber cafes and grocery stores,'' notes Jeanne. `` Ils sont plus nombreuses que les cafés et les épiceries,''note Jeanne.

Dans toute la France, il ya près de 53000 pharmacies, 107,5 pour 100000 personnes, soit presque cinq fois la part ailleurs en Europe.Pour les politiciens, toute législation visant à réduire ce nombre risque de réaction d'un lobby qui compte 220000 pharmaciens et de la drogue employés de l'industrie - et défend farouchement ses intérêts.

`` Les médicaments sont habituellement le favori objectif, le fauteur de troubles, l'actu mangy qui nous réunit problèmes,''déclare le professeur Jacques Dangoumou, président du Conseil d'administration de l'Agence française du médicament, un homologue de la US Food and Drug Administration.

`` Tout le monde a l'idée que trop d'(médicament) est consommée en France, qui est sans doute vrai.'' Mais il ya aussi des caricatures: à chaque fois que les dépenses de santé sont examinées (dans les médias), l'illustration montre un petit bonhomme ou une petite dame avec un sac plein de médicaments.''


Pourtant, l'illustration est dangereusement proche de la vérité, selon l'industrie pharmaceutique ses propres chiffres.

La situation peut être décrit comme rien de moins que `` le médicament d'existence,''déclare le professeur Edouard Zarifian, un des leaders français de santé analyste.

 

 

01 SEP 2013 

La vérité sur les compagnies pharmaceutiques

"Il n'est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille" Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine,



article

Pour son édition d'avril, le tout nouveau magazine 
Books se penche sur les travers de l'industrie pharmaceutique. Dans un dossier très complet regroupant plusieurs articles et entretiens, il dévoile les conflits d'intérêts survenants à toutes les étapes du cycle de vie du médicament. Et personne n'est épargné ; médecins, universités et même autorités sanitaires. Le constat est clair : "Les médicaments mis sur le marché sont, d'une façon ou d'une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu'il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques". Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef duNew England journal of Medecine, "Il n'est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille" 


Lire la suite

Ce dossier détaille comment de nombreux médecins influant reçoivent des financements ou possèdent des parts dans des firmes pharmaceutiques commercialisant des médicaments pour lesquels ils sont en charge de conduire des études, et comment l'industrie cible particulièrement ces médecins, prescripteurs dans leur domaine, car ils influencent le jugement des médecins dits "de famille", qui eux prescrivent les médicaments à leur patients en se fiant aux études publiées. Les universités, censées constituer le premier rempart contre ces conflits d'intérêts, sont elles même impliquées via le financement de chaires ou pour leur départements de recherche, et se montrent donc facilement conciliantes. Quant aux autorités sanitaires, les experts auxquels elles font appel sont eux aussi liés à l'industrie et les études sur lesquelles elles se basent sont toutes potentiellement truquées en amont puisque ce sont les études issues des laboratoires universitaires. En outre, plus de a moitié du budget de la FDA, référence mondiale en matière de sécurité sanitaire, viendrait de l'industrie. Enfin et pour ceux qui se croiraient à l'abri en Europe, selon Philippe Even, ancien doyen de la faculté de médecine de l'hôpital Necker et professeur émérite de l'institut Paris V, cette situation est aussi bien vraie aux Etats Unis qu'en France.

Facteur aggravant, au delà de la corruption et contre les idées reçues et diffusées par l'industrie, les firmes pharmaceutiques ne contribueraient que très peu à l'innovation. La plupart des nouveaux médicaments étant des copies quasi conformes des anciens (surnommés d'ailleurs ironiquement "me too"), et dont la supériorité sur les anciens traitements serait établie via des études comparatives truquées. Ce manège permettant accessoirement de garder la maîtrise des brevets, un nouveau brevet étant octroyée même pour une modification minime du médicament. Les plus grandes avancées seraient en fait réalisées par les laboratoires publics puis rachetées par les firmes.

Books aborde aussi le thème du marketing pharmaceutique, ou comment les laboratoires pharmaceutiques inventent aujourd'hui les maladies de demain via l'exploitation de troubles mineurs et/ou pouvant se solutionner par d'autres moyens qu'un traitement. Ce serait le cas de troubles comme la timidité (savamment renommée "anxiété sociale"), le dysfonctionnement érectile, l'hyperactivité. Nous avons nous même abordé le sujet dans ce blog avec la pilule contre l'obésité ou le médicament contre les mauvais souvenirs.

Et pour aller plus loin, Books dresse une bibliographie des livres parus sur ces sujets.

Le livre  du docteur Marcia Angell
 

"La vérité sur les compagnies pharmaceutiques"
Les grandes firmes pharmaceutiques affirment faire partie d'une industrie à haut risque, mais, année après année, leurs profits les placent de très loin au premier rang toutes industries confondues.
L'industrie pharmaceutique se présente comme très innovante, mais, depuis vingt ans, seulement un tout petit nombre de ses médicaments sont réellement nouveaux et ils ne concernent que des pathologies ponctuelles, tandis que les pipelines de nouvelles molécules sont à peu près à sec. A l'inverse, la plupart des produits qu'elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l'intéressent. 
Contrairement à ce qu'elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que le marketing.
les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu'elles ne promeuvent des malades pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu'elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles "la préhypertension", "le désordre d'anxiété généralisée", "le dysfonctionnement érectile", "le syndrome prémenstruel dysphorique" ou "le syndrome de reflux oesophagien".
L'industrie exerce encore une formidable influence sur la formation, l'information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers des réunions, conférences, journaux et publicités qu'elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux.
L'industrie exerce un contrôle presque total sur l'organisation, la gestion, l'analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu'elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l'exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l'industrie et de l'inefficacité d'un certaine agence de réglementation.
  

01 SEP 2013 

danger médicaments

nos médecins nous tuent : danger médicaments

la parole aux victimes survivantes
 

"Le vioxx a tué 60 000 personnes et provoqué 140 000 crises cardiaques."
"Les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées." 

"AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA,"

...antidépresseur, anti cholesterol, agreal, thalidomide, benzodiazépine, maladie nosocomiale, roaccutane, zyban, ritaline...
"Il y a plus de 2 millions d'hospitalisations et 180.000 décès chaque année aux États-Unis uniquement due à des réactions indésirables aux médicaments"
"Au cours des 10 dernières années, il a été estimé que la médecine a blessé 191 millions d'Américains et tués plus de 8 millions - plus de la totalité des pertes américaines à l'ensemble de nos guerres mondiales combinées"
"Une médecine répugnante"

"je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé."
"les gens seraient en bien meilleure santé si la médecine moderne disparaissait à 90%"
"Le médecin, qui était une fois notre agent guérisseur, est devenu aujourd'hui celui qui nous rend malade."



Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, "Il n'est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille" 
  


"Les médicaments mis sur le marché sont, d'une façon ou d'une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu'il fait. La raison?Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques". 

"cette situation est aussi bien vraie aux Etats Unis qu'en France." 



La fraude médicale, les rois de la corruption 


4 pages de vidéo pour ne pas mourir idiot 


les pilules qui tuent

 

 

killer pill : les pilules qui tuent


les liens killer pill



medecin assassin1
 

 http://medicament.sosblog.fr/index.htm

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Philippe Pignarre - spécialiste de l'histoire et de l'industrie du médicament

"Comment la dépression est devenue une épidémie" - Philippe Pignarre

Comment la dépression est devenue une épidémie

 

Depuis les années 1970, le nombre de personnes souffrant de dépression a explosé : une véritable épidémie. Comment expliquer un tel phénomène ?

La réponse de Philippe Pignarre en surprendra plus d'un : l'arrivée sur le marché de nouvelles familles d'antidépresseurs s'accompagne toujours d'une flambée des diagnostics. Les psychiatres, se détournant de la psychanalyse, ont opté pour la psychiatrie biologique : l'origine de la dépression serait à chercher dans les neurones. 
Cette hypothèse a mobilisé d'énormes moyens financiers, alors qu'aucun test biologique ne permet de diagnostiquer la dépression. Les industriels testent au hasard les substances et élargissent les définitions des différentes formes de dépression (toujours plus nombreuses) chaque fois qu'ils trouvent un médicament « efficace ».

Chacun se voit offrir la possibilité de traduire son mal-être en termes de « dépression » : la cause déclenchante - deuil, problèmes familiaux, harcèlement moral... - serait secondaire. Aussi est-il devenu inutile de s'intéresser à l'histoire personnelle du patient. Les antidépresseurs sont là pour redonner l'énergie qui manque...
L'auteur, qui a travaillé dans l'industrie pharmaceutique, montre qu'il ne faut surtout pas prendre pour argent comptant le discours officiel sur les médicaments.
Ce livre, devenu classique depuis sa parution en 2001, est complétée ici par deux articles sur le débat entre partisans de la psychiatrie biologique et psychanalystes.

 

http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index.php?ean13=9782707173898

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Philippe Pignarre

Directeur de la maison d'édition Les Empêcheurs de penser en rond et éditteur aux Editions La découverte

Engagé comme cariste puis rédacteur médical aux laboratoires Synthélabo, Philippe Pignarre devint directeur de la communication  et créa l'Institut Synthelabo pour le progrès et la connaissance(1990). Il y fonda la collection « Les empêcheurs de penser en rond ». Il est aujourd'hui directeur de sa propre maison d'édition qui, rattachée un moment aux éditions du Seuil est depuis 2008 intégrée aux éditions La découverte. Ancien chargé de cours sur les psychotropes à l'Université de Paris VIII, Philippe Pignarre est un spécialiste de l'histoire et de l'industrie du médicament.

  • 2009 - Etre anticapitaliste aujourd'hui. Les défis du NPA, Paris, La Découverte
  • 2008 - La cigale lacanienne et la fourmi pharmaceutique, EPEL
  • 2006 - Les Malheurs des psys. Psychotropes et médicalisation du social, La Découverte
  • 2005 - La Sorcellerie capitaliste. Pratiques de désenvoûtement, avec Isabelle Stengers, La Découverte
  • 2003 - Le Grand secret de l'industrie pharmaceutique, Paris, La Découverte
  • 2001 - Comment la dépression est devenue une épidémie, La Découverte

 

Site de Philippe Pignarre

 

Bibliographie de la documentation de Radio France - 2013

Ses publications :

publications
Type Nom œuvre par Nom Auteur 

Comment la

dépression est devenue une épidémie

de Philippe Pignarre
editeur : La Découverte 
parution : 2012
Type Nom œuvre par Nom Auteur 

Le Grand secret de l'industrie pharmaceutique

de Philippe Pignarre
editeur : La Découverte 
parution : 2004

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://www.franceinter.fr/personne-philippe-pignarre

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Zyprexa Side Effects

Zyprexa is a prescription drug and is given to patients suffering from certain mental diseases. The drug has many side effects ranging from commonly observed ones to rare and peculiar cases.

Read more about it here: http://www.unsafedrugs.com/2411/zypre...

To find out more about this and other unsafe products and drugs,

click here: http://www.unsafedrugs.com/

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Oncologie - médecine du CANCER

Inefficacité et effets iatrogènes de la chimiothérapie

Michel Dogna

Si vous êtes sceptique face à la médecine conventionnelle, que vous cherchez d’autres moyens - de préférence naturels - pour retrouver la santéMichel Dogna, célèbre journaliste et dissident de la médecine traditionnelle française, est une source inépuisable d’informations. Il vient de donner de faire paraître un petit livret "Comment échapper aux épidémies". À cette occasion, il a présenté quelques sujets tirés de ses livres devenus des best-sellers: "Prenez en main votre santé 1 & 2".  Dans ce livret il aborde le thème de la protection contre les épidémies.

Au sujet du cancer, il attire l’attention sur les méfaits de la chimiothérapie dont l'utilisation entraîne la destruction sélective des cellules à reproduction rapide; or cette cible vise non seulement les cellules cancéreuses mais aussi les cellules sanguines. Il n’y a qu’à voir dans quel délabrement physique les patients ressortent des séances de chimiothérapie.

D’après lui, les statistiques de l’OMS affichent seulement 2,2 % de survie après cinq ans pour l’ensemble des malades traités par cette "thérapie". Les résultats officiels qui annoncent des chiffres très supérieurs viennent de ce que nombre d’interventions sont effectuées sur de faux cancers (par exemple: de simples kystes au sein considérés comme des états précancéreux). Enfin, il déclare que traiter le cancer donne lieu à un commerce, qui est une véritable vache à lait, exploitée sans modération par lesystème médico-pharmaceutique.

Aussi, adoptant un ton mi-grave mi ironique, Michel Dogna ajoute que le devoir civique de tout cancéreux est d’abord de faire gagner 150000 € aux laboratoires; après quoi seulement il a seulement le droit de mourir.

Par ailleurs, Michel Dogna dénonce le leurre du dépistage, qui n’est qu’un constat de fait (pas toujours juste) que l’on fait passer, à tort, pour de la prévention. La vraie prévention, c’est surtout la grande vigilance pour échapper aux pièges mortels des produits alimentaires industriels. Il rappelle à ce sujet l’un de ses articles intitulé "Cadavres immortels", où il mentionne que les intestins des morts sont maintenant tellement bourrés de produits chimiques qu’ils ne se décomposent plus dans les cimetières!

C’est avec humour qu’il dit: «Vous voyez ce que proposent les publicités, le soir après les infos? Et bien, c’est exactement ce qu’il ne faut jamais faire si vous voulez rester en bonne santé!» Parmi les produits alimentaires nocifs, il insiste sur la viande et les produits laitiers.

Les animaux de batterie se développent dans des conditions de misère concentrationnaire épouvantables et l’abattage industriel relève du pire des cauchemars. Les expériences de Masaru Emoto sur la capacité de l’eau à enregistrer les ambiances vibratoires et les émotions sont incontournables. Or les organismes vivants étant généralement composés de 70% d’eau, il est évident que l’eau cellulaire des animaux martyrisés délivre ses mémoires dans l’organisme du consommateur, qui va devoir digérer et nettoyer ces miasmes vibratoires de souffrance, de désespoir, de peur, voire de folie. Au fil du temps, devant ce travail incessant de dépollution, l’organisme se fatigue, il n’arrive plus à gérer, et c’est le début de la déprogrammation… qui fait le lit du cancer. Oui, ajoute-t-il, manger ce qu’on ne respecte pas est très dangereux.

Il en va de même pour les produits laitiers. Les vaches sont, depuis des années,génétiquement manipulées pour donner plus de lait. Elles sont nourries de façon de plus en plus curieuse, sans compter l’herbe aux pesticides. Tout cela se retrouve inéluctablement dans le lait, d’où le nombre croissant (pour 10 % de la population) d’allergies sévères aux produits laitiers. Mais il y a un autre volet mis en évidence par Thierry Souccar dans son récent ouvrage «Lait, mensonges et propagande», c’est que le nouveau lait des super-vaches contient 10 fois plus d’hormones de croissance que le lait d’antan. L'on comprend donc mieux la propagation actuelle des cancers et pourquoi les produits laitiers sont à proscrire chez les personnes atteintes de cette maladie.

Enfin, Michel Dogna propose une série de remèdes naturels avérés, grâce auxquels il a pu constater de nombreuses guérisons du cancer chez les êtres humains et chez les animaux. Il précise néanmoins que la guérison n’est jamais systématique, surtout si le malade arrive, comme c’est souvent le cas, après les dégâts provenant de protocoles officiels traumatisants.

De même, l'on ne peut pas forcer une personne à vivre si elle a intérieurement, même inconsciemment, de bonnes raisons pour ne pas guérir. Soigner le corps ne suffit pas. Un cancer est souvent la manifestation d’une blessure de l’âme qui n’a jamais pu s’exprimer, ou jamais pu être partagée. Aussi convient-il de suivre une psychothérapiepour se libérer des non-dits afin d'exprimer l’indispensable pardon qui éteindra définitivement les braises de la maladie.

Voici quelques remèdes naturels proposés par Michel Dogna:

Asiasonic de Phyt-Inov (Tél.: 0041 32 466 89 14) est un remède remarquable utilisé dans les hôpitaux chinois. Son effet anti-tumoral a été validé par des scientifiques russes et une équipe strasbourgeoise, qui a pu vérifier l'action des hydroxystérols de l’Asiatonic par diverses expérimentations. Certains cancérologues français l’utilisent avec succès. Il est souhaitable de l’accompagner de propolis purifiée (chez Phyt-Inov aussi), qui permet même de stopper les terribles souffrances du cancer des os.

Le Germanium Catalyons: Sa forme ionique le rend beaucoup plus assimilable que les autres formes d’oligo-éléments. Radioprotecteur, il est conseillé aux personnes soumises aux rayons X. Il stimule fortement le système immunitaire et la sécrétion d’interféron.
Disponible chez Vivre Naturellement.

Les enzymes ont un rôle indispensable dans l’assimilation de la nourriture et interviennent dans des milliers de réactions chimiques de notre métabolisme. L’EMXest un complexe enzymatique qui ne guérit rien en particulier, mais qui offre tel un supermarché un énorme éventail d’enzymes dans lequel l’organisme peut piocher pour rétablir son équilibre général. En vente chez Hector 0033 (0)3 87 95 18 55.

Selon la thèse du docteur Lanka, le processus cancéreux relève au départ d’une hypoxie cellulaire, bien sûr générée par des pollutions. C’est une forme de survie primitive sous la forme indifférenciée. A ce stade, la respiration pulmonaire ne suffit plus. Deux moyens de choix peuvent faire basculer le processus:

- Le Bol d’Air Jacquier, appareil à réoxygénation catalytique par péroxydation de pinènes. En vente chez Holiste – Tél.: 0033 (0)3 85 25 29 27 -http://www.holiste.com

Quantaphylle est un concentré de chlorophylle magnésienne, que l’on trouve chezPhytoquant (Tél. vert: 0805 110 327). Ce produit est reconnu pour être le meilleurassainissant intestinal.

- Réactiva présente d’excellents résultats sur les cancers du sein et de la prostate - voir Phyto-one: 0033 (0)3 88 78 82 35

- La Vitamine C dont le promoteur a été le célèbre Linus Pauling deux fois prix Nobel, pourtant discréditée par la médecine officielle en raison de la dangereuse concurrence qu’elle représente pour les laboratoires pharmaceutiques. Préférer la Vitamine Cnaturelle (Acérola).

La Cure de Breuss - Une méthode vieille de 3 siècles, qui a sauvé des milliers de cancéreux et qui consiste à suivre durant 42 jours une diète exclusive de jus de légumes Breus Biotta (en diététique) et d’une tisane rénale indispensable pour évacuer les déchets.
Consulter Source Claire 0033 (0)1 64 58 64 82 ou http://www.source-claire.com

Le VIOFOR, matelas à champ magnétique pulsé issu de la recherche spatiale russe, qui soigne de nombreuses pathologies même graves du type neurologique, mais qui n’est pas très accessible, 3000 € environ chez Valémis 0033(0)2 47 91 54 57 ouhttp://www.valemis.com

Pour toutes les informations santé de pointe: http://www.infomicheldogna.net/

L’AUTONOMIE est la clef de notre futur - autonomie alimentaire - autonomie thérapeutique - autonomie énergétique - autonomie philosophique et spirituelle.

Le Journal de Michel DOGNA est un mensuel résolument futuriste, POUR UNE SANTE AUTONOME, qui bouscule les traditions éculées et les leurres de la grande information, réconforte les dissidents du prêt à penser et prépare au grand basculement planétaire.

Le journal de Michel DOGNA, nouvelle version du mensuel «Horizons Santé» édité depuis près de 5 années, vous offre non seulement, une information constante pour déjouer les mortelles séductions des lobbies agro-alimentaires et pharmaco-chimiques, mais aussi une précieuse boîte à outils de santé et de (sur) la vie naturelle autonome, dotée de nombreux moyens d’avant-garde occultés - surtout en France.

De plus, il vous propose des avancées confidentielles sur de nouvelles énergies sans limites, ainsi qu’une vue élargie de notre histoire planétaire à l’échelle galactique au travers de dossiers aussi solides que concrets, propres à faire sauter les barreaux de nos prisons mentales.

Si vous faites partie de la «résistance» active ou passive à l’utopie suicidaire de la politique mondiale actuelle, et à la grande manipulation de la pensée collective, vous trouverez tous les mois dans le journal et sur le site www.infomicheldogna.net des informations inédites pour construire ensemble un futur dont nos enfants ne seront pas des victimes sacrifiées d’avance.

Le journal existe en version papier ou en version électronique pour ceux qui ont internet, plus rapide, plus écologique et beaucoup plus simple pour les résidents hors de France.

Merci pour votre fidélité
Michel DOGNA
BULLETIN D’ABONNEMENT À renvoyer à:
INFO Michel DOGNA - La Perrière – 73270 VILLARD SUR DORON — France

Tél.: 06.28.32.16.77- contact@infomicheldogna.net


Extrait des sommaires:

Génocides médicalement assistés: Dès la fin des années 60, dans les principaux milieux induxtriels, on a commencé à réfléchir à des ...

Petits rappels sur le chlorure de magnésium : Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?...

Pourquoi tant de cancers?: La cerise sur le gâteau : se laisser séduire par les nouveaux systèmes WIFI de Télécom, Wanadoo, Free-box, Life-box, etc... transformant votre maison en un énorme four à micro-ondes à cuisson lente. ...

 

La cure du foie méthode Dr Clark: Le nettoyage des canaux de bile du foie représente la procédure la plus puissante que vous puissiez faire pour améliorer votre santé. ...

 

Des extra-terrestres vivant dans l'espace - L'aventure de Daniel Fry : Timothy Good a visité Daniel Fry en 1982. Il a été convaincu que son histoire était authentique. ...

 

Chikungunia: les services médicaux en flagrant délit de malveillance: Marie Billi est conseillère municipale à la ville de Nice. Elle a participé à des missions en Afrique, en particulier au Mali, où le palu fait des ravages. ...

L'imaginaire des jeunes fabrique notre futur: Le Bouddha a dit: ... La CPAM enragée contre l'homéopathie: Tous les moyens sont bons pour ...


ALOE VERA: super plante guérisseuse de toutes les traditions: Christophe Colomb faisait amener l'aloès sur la Santa Maria pour guérir et préserver les marins des maladies, ...
Une contraception efficace et sans danger : Je suis toujours étonné de constater avec quelle confiance aveugle les femmes se soumettent à l'orthodoxie, même au prix de risques connus et dénoncés officiellement, ...
Le syndrome du canal carpien : En france, il se pratique 80.000 opérations chirurgicales par année, liées au traitement du syndrome du canal carpien. ...
Les RESPIRELLES : prothèses nasales : Il y a environ 15 ans, je me suis réveillé en pleine nuit car j'avais du mal à respirer. Pour y remédier, je me suis écarté les narines ...
Remplacer les produits laitiers, mais par quoi? : De la crême d'avoine à la place de la crême fraîche, on y voit que du feu... ...
Ethique humaine et protection animale : Extrait du programme de la France en Action ...
Aviaire : de la psychose à la démence : La vaccination représente 45 milliards de poulets de bouche, et 5 milliards de poules pondeuses dans le monde, sans compter les canards, les dindes, les oies, etc... ...
La lampe chinoise TDP : Tout est parti d'un médecin chinois, le Dr Gou Wenbin qui, en 1970, fut nommé directeur d'une fabrique de céramique dans la Chine rurale. ...
Contact et Impact : la bombe ufologique de Christel Seval : ...s'il y a intervention extraterrestre, celle-ci ne pourra intervenir que lorsque l'humanité aura mis en marche une procédure de suicide. ...


OGM :Organisation du Génocide Mondial : Le 16 février 2006, nous avons pu voir sur la cinq (à 22h40, lorsqu'il est temps de dormir...) une émission très inquiétante sur l'avenir des poissons et par conséquent, de notre propre avenir en ra ...


Etranges humains : Il y a quelques temps, mon ami André me raconta une histoire bien triste de sa jeunesse. ...

Sommaire du Journal de Michel Dogna N°38

ARGENT COLLOÏDAL: prébiotique par excellence: *** ...
OGM, savez-vous que...: *** ...
Maladie de Lyme et TIC TOX: *** ...
Rose et les géants de Sirius: *** ...
22 millions de végétariens en Europe: *** ...
Les visiteurs d'ITIBI: l'histoire de Luwig Pallmann : *** ...
Le grand gâchis: *** ...
L'âme groupe du peuple animal se rebiffe: *** ...


Sommaire JMD N° 60

LA CURE DU Dr MAX GERSON dans le cancer (suite et fin): questions-réponses lors d’une conférence du Dr Gerson. Derniers commentaires de MD…

 

LE LIN GERME EN POUDRE: tout le monde sait que la commercialisation de l’huile de lin est toujours interdite en France. Le lin germé est la meilleure source naturelle d’acides gras oméga 3…

 

COUP DE FOUET POUR LES NEURONES, voici deux produits qui, administrés ensemble, apportent par leur synergie des résultats intéressants sur les dégradations du système nerveux  HERIMYCOS et PHOSPHASERINE

 

L’EAU «POTABLE», UN BOUILLON DE MEDICAMENTS: antibiotiques, anti-épileptiques, hormones sexuelles, analgésiques, hypolipémiants, anxiolytiques, anti-dépresseurs, anti-histaminiques, anti-hypertenseurs… plus de cent produits pharmaceutiques ont été détectés…


OSTEORENOV, contre l’ostéoporose…

MANDAT D’ARRESTATION contre Ghislaine LANCTÔT: Ghislaine Lanctôt est une doctoresse et clinicienne québécoise, auteurs des best-sellers «La Mafia Médicale», «Le Procès de la Mafia Médicale» et «Que diable suis-je venue faire sur cette Terre?»…

 

ENERGIE LIBRE ET ANTI-GRAVITE interdites: au départ ce fut le célèbre Faradet qui fit une découverte remarquablement simple, mais totalement révolutionnaire…

 

ARCHE DE NOE VEGETAL DANS L’ARCTIQUE pour une confiscation de la biodiversité!

 

LA THERAPIE DU DR MAX GERSON (2) - Conférence sur le traitement de cancers à un stade avancé: trente années d’expérimentation clinique ont permis au docteur Gerson la mise au point d’une thérapie extraordinairement efficace pour les personnes souffrant d’un cancer à un stade avancé…

 

PRODUITS ANTI-TRANSPIRANTS: danger, le chlorhydrate d’aluminium des anti-transpirants serait l’une des origines des cancers du sein…

 

L’HUMANITE EN OTAGE DES SEMENCIERS: les semenciers rachetés par les lobbies pharmaco-chimiques sont responsables du plus grand déluge planétaire qui est en cours…

 

QUANTAPHYLLE, merveilleux concentré de chlorophylle: un super oxygénateur, face à la tendance généralisée d’hypoxie cellulaire (manque d’oxygène) de la plupart des citoyens… Ce qui est dangereux, ce sont les processus anaérobies…


TIC-CLIP: médaille anti-tiques pour chien et chat…

UFO, UN ANCIEN ARCHIVISTE TEMOIGNE: depuis 1947, plus de 3.500 pilotes civils et militaires ont bravé la peur du ridicul
e.


http://www.infomicheldogna.net

 

http://artdevivresain.over-blog.com/article-36728344.html

 

 

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Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

La vérité très indésirable sur la chimiothérapie

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)



Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).

À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique).

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ». Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien !

Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998)

Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ».

Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l'usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces 70 dernières années. »

Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. » Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […]

Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[4].

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu'il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu'au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux « habits neufs de l'empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C'est une opinion fondée sur une illusion qui n'est étayée par aucune des études cliniques[5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire. L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. « Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.

Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux. Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire.
 La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre.

De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9].
 L

’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu'une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n'arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n'ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables.

Ce n'est pas une nouveauté d'ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan's Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l'industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s'agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ».

Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).

Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. » Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[12] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[13] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main.

Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l'idée que l'on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d'une protéine alimentant les tumeurs. Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer. Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. « Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.
 Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. »

Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades. Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades. Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans.

L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée. Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis.

Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. » 
Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr 
Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c'est à dire nous tous, fera plier ce système.


[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.

[2] Equinox Press, 1996.

[3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences.

[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.

[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).

[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

[8] Propriété qu'a un agent chimique ou biologique d'altérer et éventuellement détruire des cellules.

[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M. 

[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

Sylvie Simon

 

Article publié le 16 jullet 2013

Vu sur: http://www.naturavox.fr/sante/article/la-verite-tres-indesirable-sur-la

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